1764 traduites de langlois par M. labbé Prévôt. A Londres, chez Paul Vaillant, 1764; in-12 (17x10), plein veau de l'époque blond moucheté, dos lisse orné de fleurons dorés, pièce de titre bordeaux, tranches mouchetées, page de titre ornée, bandeau et culs de lampe, Ix, 277 pages, table des lettres in-fine.
Reference : 2381
Edition originale. Reliure solide, manque la coiffe supérieure, un accroc en bordure haute du premier plat jusqu'à la pièce de titre et 3 petites taches, intérieur frais (les dernières pages 265 à 285 sont numérotées 257 à 277 mais le texte est bien complet).
Betan - Livres anciens
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Londres [Paris ?], Vaillant, 1764 ; in-12 de [1] f., lx pp., 286 pp. mal ch. 278, veau marbré de l'époque, dos à nerfs orné, pièce grenat, tranches rouges.
Édition originale posthume de cet ouvrage de l'abbé Prévost (1697-1763), qui en est le véritable auteur et non le traducteur. Ces neuf lettres éducatives traitent de l'étude en général et de l'histoire en particulier, de l'influence de la liberté sur la formation du goût, de la poésie… Pour Henry Harrisse, l'ouvrage est « digne d'attention, tant pour le style que pour les idées, alors nouvelles et hardies qu'il renferme » (L'Abbé Prévost : Histoire de sa vie et de ses œuvres, 1896, p. 415). Une charnière partiellement fendue, sinon bon exemplaire. Tchémerzine, IX, 237. Quérard, VII, 342.
Amsterdam – Londres, Chez Arské & Merckus - chez Paul Vaillant, 1764 ; in-12 (99 x 174 mm), XLVIII-218-LX-278 pp., relié plein cuir (veau), coloris naturel moucheté, dos orné de caissons et de fleurons à 5 nerfs, pièce de titre ocre rouge, tranches marbrées (coiffes usées avec manques, traces de frottement, coins légèrement usés). Antoine-François Prévost est un historien, écrivain et homme d'église français de la première moitié du XVIIIème siècle. Il est également appelé Prévost d'Exil. Après un premier noviciat chez les jésuites, il s'engage dans l'armée. Il prononce ensuite ses voeux. Après la publication d'un premier ouvrage frappé d'une lettre de cachet, il s'enfuit à Londres, où il apprend l'anglais et l’histoire de l'Angleterre. Il voyage ensuite en Hollande, où il publie. Ensuite, il retourne en France, où il termine sa vie chez les bénédictins. Le titre 'Manon Lescaut' fut jugé scandaleux, saisi et condamné à être brulé. Bon état.