Paris, Fayard, 1979 14 x 22, 397 pp., broché, bon état
Reference : 8041
Librairie Ausone
M. Michaël Collet
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1977 1977. Jean-Charles: Sacrés gendarmes/ Presses de la Cité 1977 . Jean-Charles: Sacrés gendarmes/ Presses de la Cité 1977
Très bon état
Reference : 400036130
Laffont Robert Sans date. René Masson: Aux Gendarmes et aux Voleurs/ Robert Laffont . bon état
Bon état
Librio 2004 2004. Les États-Unis gendarmes du monde: pour le meilleur et pour le / Librio 2004
Très bon état
TAM. 1980. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 39 pages - quelques illustrations en couleurs et en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 355.021-Militaria
Sommaire : Le ministre de la défense à bord du Tonnant SPECIAL GENDARMERIE - marin gendarme ou gendarme marin ? - pompier de Paris de père en fils - gendarmes pour un an - le gendarme mobile au service de tous - à l'école de gendarmerie de Montluçon - les gendarmes sur la promenade des Anglais - la femme gendarme vous connaissez ? - le soleil est gratuit et les gendarmes en profitent - au service de l'usager - des gendarmes sur une base aérienne - la tôlerie - en direct de la 1re DB avec Michel Drucker. Classification Dewey : 355.021-Militaria
Presses de la Cité, 1994, in-8°, 269 pp, 16 pl. de photos hors texte, cartes, annexes, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Troupes de choc)
14000 gendarmes ont servi pendant la guerre d'Indochine (un peu moins nombreux que la Légion étrangère, mais beaucoup plus que n'importe quelle autre formation, Paras y compris). Les gendarmes ont tenu des milliers de postes isolés, sans liaisons et bien souvent sans armements lourds, près de 700 d'entre eux y ont laissé leur vie. — "Erwan Bergot, ancien officier parachutiste de la Légion, rescapé de Diên Bien Phu, passé à l'écriture, a déjà produit une liste impressionnante de volumes où il raconte ses militaires, mais aussi celles des autres et pas seulement en Indochine. Sa plume semble intarissable. Mais s'il évoque, il juge également en technicien. Cet ouvrage est intéressant dans la mesure où il apporte des informations souvent reléguées dans l'ombre. Dans une première partie, c'est encore la guerre japonaise qui est au centre du sujet. En 1945, il y avait dans l'Indochine française une poignée de gendarmes isolés, commandant des gardes autochtones et naturellement surveillés de près par les Nippons. Après la surprise du coup de force du 9 mars, certains ont tout tenté pour continuer la lutte et atteindre l'ennemi. Beaucoup sont morts. Les prisonniers ont vécu un véritable calvaire. Là aussi, les survivants furent mal compris par les autorités et les troupes venues pour rétablir la présence française. D'où une amertume bien compréhensible. Les deuxième et troisième parties sont consacrées à l'action des trois légions de marche de la Garde républicaine, constituées dès 1947 pour renforcer un corps expéditionnaire qui faisait flèche de tout bois. Ces unités, formées de volontaires, mais aussi de requis désignés un peu au hasard, ne disposèrent pendant longtemps que d'un équipement et d'un armement hétéroclites, récupérés sur toutes les armées et tous les stocks du monde libre. Les gendarmes, par définition, vivent mêlés à la population dont ils apprennent l'intimité. Mais peut-être était-ce une vue de l'esprit que d'appliquer ce principe dans un pays si différent pour eux et dont la civilisation leur était totalement étrangère. Pourtant beaucoup de gradés et de gardes, isolés seuls ou à quelques-uns, jetés en enfants perdus sur une terre inconnue et sans préparation spéciale, ont réussi à se faire admettre, respecter et même aimer par des populations coincées entre les exigences de l'ordre postcolonial et celles plus cruelles du Viêt Minh. L'auteur relate les épisodes les plus évocateurs de ce travail ingrat, les fatigues, les douleurs, les sacrifices suprêmes, sans oublier ceux que la Garde encadrait, volontaires vietnamiens, surtout catholiques, khmers et laotiens, minorités nung et thai, qui dans la majorité des cas ont lutté et sont morts fidèles à leurs cadres. Il était bon de rappeler ces souffrances et ces sacrifices, qui malgré les apparences ne furent pas vains. Une série d'annexes rassemble les textes officiels sur ce que fut le rôle de la en Indochine de 1945 à 1955, sans omettre la liste des morts." (Pierre L. Lamant, Revue française d'histoire d'Outre-Mer, 1988)