Paris, Nathan, 1953. 15 x 20, 160 pp., 146 illustrations, cartonnage d'édition imprimé, bon état.
Reference : 22776
introduction de l'auteur.
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Florence, chez Gaspard Ricci, 1827. In-12 de 484 pages, cartonnage imprimé de l'éditeur.
Avec un titre gravé, un plan dépliant de Florence, et 62 gravures hors-texte. Sympathique exemplaire tel que paru. Quelques rares annotations et soulignement du temps, au crayon. Rousseurs. Fossati Bellani,II, p. 448.
Exemplaire dans une condition exceptionnelle, en pleine reliure à la cathédrale. Elle est sortie de l’atelier d’Edme Vivet, relieur et papetier parisien. Paris, Delaunay, 1826. 2 volumes in-8 de I/ (2) ff., 304 pp. ; II/ (2) ff., 348 pp. Veau havane, bordure formée de deux filets noirs et d'une roulette palmée à froid, grande plaque à la cathédrale frappée à froid, dos ornés avec nerfs soulignés d'une roulette dorée, caissons décorés d'une palette à froid, pièces de titre et de tomaison vertes, roulette intérieure à froid, tranches dorées. Reliure à la cathédrale de l’époque signée Ed. Vivet, praticien né à Dresde, actif à Paris entre 1820 et 1850. 200 x 119 mm.
Edition en grande partie originale, augmentée d'un volume, en réalité un nouvel ouvrage, entièrement récrit par Stendhal. « C'est en réalité un ouvrage entièrement nouveau, complètement récrit par Stendhal et augmenté d'un volume ». Le premier texte, fort différent, avait été publié en 1817. « L’édition de 1826 a donc reçu de considérables additions. Stendhal insère des anecdotes nouvelles ou développe celles qu'il n'avait qu'ébauchées ou annoncées, comme les anecdotes de Catalani et de Gina ». (Chuquet, p. 317). Stendhal « officier de cavalerie », « qui a cessé de se considérer comme Français depuis 1814 », y prend le pseudonyme sous lequel il devait devenir célèbre. Le récit s'attache à l'itinéraire fictif d'un voyage que l'auteur aurait fait en 1816 et 1817, de Milan à Bologne, Florence, Rome, Naples, et par la suite de Rome à Florence, Bologne, Ancôme, Padoue, Venise et Milan. En réalité, Beyle vit Padoue et Venise en 1813 et en 1815. En 1826, l’œuvre fut imprimée dans une seconde version entièrement refaite et augmentée du double environ : l'itinéraire y est simplifié, bien qu'il s’y ajoute quelques déviations (par exemple en Calabre), ce qui permet à Stendhal de s'étendre davantage sur les anecdotes et les coutumes. L'Italie de ce temps permettait au jeune auteur de croire qu'il allait au-devant du bonheur : le magnifique développement des arts, la légèreté et tout à la fois le caractère absolu des sentiments, haine ou amour, les habitudes d'une société galante et pleine de vie le rendent intensément attentif au présent et curieux de cette civilisation séculaire. Rome, Naples et Florence lui semblent être les trois villes de l'esprit, pour la liberté des entretiens, l'activité des peintres et des musiciens, et la beauté des femmes. En proie aux transports d'un hédonisme raffiné, Stendhal passe avec ravissement d'un lieu à un autre, des lacs lombards aux rives de l'Arno, et au Vésuve, ne celant point son dédain pour les « âmes sèches » qui ne comprennent pas la beauté de la création artistique et l'agréable vie d'une société qui n'a de compte à rendre qu'à elle-même et qui aspire aux plus hautes destinées. Et c'est dans son éloge de Milan que le livre atteint à une parfaite originalité, sur le plan littéraire. Plus tard, Stendhal devait compléter ce brillant aperçu sur l'Italie au XIXe siècle par ses Promenades dans Rome. Dictionnaire des Œuvres, V, 823. Exemplaire dans une condition exceptionnelle, en pleine reliure à la cathédrale. Elle est sortie de l’atelier d’Edme Vivet, relieur et papetier parisien. Les reliures portant cette signature sont très rares. Cette formule, unique à l’époque, Re[lié] chez Ed[me] Vivet, a amené Paul Culot, Relieurs et reliures décorées en France à l’époque romantique, p.570, à penser que Vivet n’exerçait pas lui-même le métier de relieur. De la bibliothèque B. Loliée.
Centre d'Arts plastiques, Royan, 2004. In-4, broché sous couverture illustrée en couleurs, 55 pp. Gravure, par Claude Arnaud - Textes de Florence Gillet - Florence Gillet, dessaisie, par renaud ego - Vandalousia ou la métamorphose des murs, par Jacques Lamalle -Œuvres exposées - Biographie/Bibliographie
Avec 33 planches en noir et en couleurs.Avec un Envoi A.S. de l'artiste Florence Gillet au critique d'art Gilbert Lascault. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
Phone number : 01 42 73 13 41
Plaquette extraite du catalogue Artistes de la casa de Velazquez, Madrid-Institut de France, 1996. In-4, agrafé, 15 pp. Planches - Dominique Fourcade : Italiques pour Florence Gillet/Cursivas para Florence Gillet.
Avec 10 planches en noir et en couleurs.Avec un Envoi A.S. de l'artiste Florence Gillet au critique d'art Gilbert Lascault. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
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Plusieurs échanges postaux avec l'Associazione Culurale Italia-Francia di Firenze, organisatrice du congrès. Programme du congrès. Invitation à la conférence inaugurale d'Henri Martineau sur " Stendhal et Florence ". Deux lettres de Carlo Pellegrini, président du comité exécutif, suggérant à Pierre Jourda, de faire une conférence sur " Stendhal et Vieusseux ". Une carte postale d'Henri Imbert, envoyée du congrès stendhalien. Une carte postale d'Henri Martineau, de Florence, regrettant de n'avoir pu rencontrer Pierre Jourda au congrès florentin. Bon état.
* Pierre Jourda (1898-1978) fut un éminent professeur de lettres, doyen de la Faculté des lettres de l'Université de Montpellier de 1936 à 1969. Seiziémiste de formation, il fut aussi un spécialiste reconnu de Stendhal, donnant plusieurs éditions critiques de ses uvres, participant à un grand nombre de colloques, produisant une impressionnante quantité d'articles. La ville de Montpellier garde vif le souvenir du Professeur Pierre Jourda ; dans le quartier des Beaux-Arts, une rue porte son nom. La relation d'amitié entre ces deux beylistes de premier ordre que furent Henri Martineau et Pierre Jourda, dura de 1928 à 1958, année de la mort de Martineau. Dans le volume " Hommage à Henri Martineau " qui constitue le dernier numéro de la revue " Le Divan ", Pierre Jourda évoque leur première rencontre - et ses nombreuses suites - dans la librairie du Divan, qui longtemps exista à l'angle des rues Bonaparte et de l'Abbaye (Paris VIe). DEMANDEZ NOTRE CATALOGUE "STENDHAL ET LES EDITIONS DU DIVAN".