‎PROUDHON Pierre-Joseph‎
‎Du principe fédératif et de la nécessité de reconstituer le parti de la révolution.‎

‎Du Principe Fédératif et de la Nécessité de reconstituer le Parti de la Révolution. Si les Traités de 1815 ont cessé d'exister‎

‎Paris.Librairie Internationale.1868.Petit in-8 br.320 p.non coupées.BE.Peu de rousseurs.‎

‎Du Principe Fédératif et de la Nécessité de reconstituer le Parti de la Révolution‎

‎Dentu.1863.In-12 br.324 p.BE avec rousseurs.‎

‎La révolution sociale démontrée par le coup d'état du 2 décembre. Du principe fédératif et de la nécessité de reconstituer le parti de la Révolution. Si les traités de 1815 ont cessé d'exister ? Actes du futur congrès.‎

‎ 3 ouvrages en un volume, in-12 reliure 1/2 chagrin rouge, dos à 4 nerfs orné de lfeurons dorés. (rousseurs. - La révolution sociale. Paris, Garnier Frères, 1852. XII-281 pp. 5e édition parue l'année de l'originale de cet ouvrage que Proudhon rédigea en prison. - Du principe fédératif. Paris, E. Dentu, 1863. 324 pp. Edition originale de cet ouvrage édité peu de temps avant la mort de l'auteur. - Si les traités de 1815. Paris, Dentu, 1863. 108 pp. Edition originale. ‎

‎Du Principe fédératif. et de la nécessité de reconstituer le parti de la Révolution‎

‎Paris, E. Dentu, 1863 in-12, XVIII pp., pp. 19-324, broché (reliure de l'époque). Qqs rousseurs. Déchirure au feuillet de table.‎

‎Edition originale parue le 14 février 1863, de cet ouvrage qui constitue en partie un vrai tournant dans la pensée proudhonienne, généralement répétitive à l'excès. En développant les conséquences d'un "fédératisme" tant au niveau économique que politique, il tourne le dos à l'exigence de destruction du pouvoir politique qui formait jusque là l'axe de sa pensée anarchisante. Désormais, il n'élimine plus le politique, il le subordonne, ce qui constitue une petite révolution dans la Révolution. N'acceptant pas que l'État absorbe toutes les forces sociales dans une unité tyrannique; il considère que seule la pluralité des centres de production et de distribution assurera la liberté. Mais, comme un groupe, en se développant à l'excès, pourrait devenir à son tour tyrannique, le rôle du fédéralisme (où chaque associé garde plus de liberté qu'il n'en aliène) sera de maintenir l'équilibre: l'indépendance et la vitalité de chacun seront garanties par le maintien des contradictions. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Du Principe fédératif. et de la nécessité de reconstituer le parti de la Révolution‎

‎Paris, E. Dentu, 1863 in-12, XVIII pp., pp. 19-324, demi-percaline bleue, filets à froid (reliure de l'époque). Rousseurs.‎

‎Edition originale parue le 14 février 1863, de cet ouvrage qui constitue en partie un vrai tournant dans la pensée proudhonienne, généralement répétitive à l'excès. En développant les conséquences d'un "fédératisme" tant au niveau économique que politique, il tourne le dos à l'exigence de destruction du pouvoir politique qui formait jusque là l'axe de sa pensée anarchisante. Désormais, il n'élimine plus le politique, il le subordonne, ce qui constitue une petite révolution dans la Révolution. N'acceptant pas que l'État absorbe toutes les forces sociales dans une unité tyrannique; il considère que seule la pluralité des centres de production et de distribution assurera la liberté. Mais, comme un groupe, en se développant à l'excès, pourrait devenir à son tour tyrannique, le rôle du fédéralisme (où chaque associé garde plus de liberté qu'il n'en aliène) sera de maintenir l'équilibre: l'indépendance et la vitalité de chacun seront garanties par le maintien des contradictions. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎