Bibliothèque Larousse, s.d. (1913), pt in-8°, 62 pp, 36 planches de photos hors texte, 3 illustrations dans le texte, broché, couv. illustrée, bon état
Reference : 120952
Le fleuret (par Kirchhoffer) ; L'épée (par J. Joseph-Renaud) ; Le sabre (par Léon Lecuyer).
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Paris, Le Fleuret, 1897-1902. 8 plaquette in-12 de [2] ff. (quelques petites taches, 2 petites déchirures marginales sur l'un des prospectus).
Ensemble de 7 prospectus (certains en plusieurs exemplaires) pour la promotion de la Société d'escrime "Le Fleuret" : 1- 3 prospectus comportant le "Salut aux armes", poème de Paul Espéron, illustrés par Émile Boursier en bistre d'une femme à l'épée sur le premier feuillet, de scènes de batailles et d'escrime au verso. Il fait office de programme pour l'assaut du 30 octobre 1897, soit une démonstration d'escrime. 2- 2 prospectus similaires aux précédents par son illustration, ici tirée en bleu et accompagnée d'un poème "Hommage à Cyrano" d'Espéron, pour l'assaut du 17 décembre 1898. 3- 2 prospectus pour l'assaut du 20 décembre 1902. Ils sont illustré en bleu d'un femme à l'épée au premier feuillet et de scènes d'escrime aux suivants d'Émile Boursier et Henri Avelot. Voir photographie(s) / See picture(s) * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
P., J. Dumaine, 1845, in-8°, (10)-319-(4) pp, 20 planches de dessins par Th. Guérin in fine, biblio, reliure demi-veau noir, dos lisse avec titres et filets dorés (rel. de l'époque), un mors fendu sur 4 cm, traces de mouillures anciennes, état correct
Intéressant traité consacré à l’escrime. Edition originale dédiée au comte François-Marie Taillepied de Bondy (1802-1890), haut fonctionnaire et homme politique, fervent soutien de Louis-Philippe, qui le fit pair de France en 1841. Le texte est précédé de la liste des ouvrages que l’auteur a consultés depuis le traité d’Antonio Manciolino (1531) jusqu’à celui de Donon (1843). De A. J. J. Possellier, dit Gomard, on sait qu’il fut professeur des Mousquetaires gris, des Pages du roi, de l’Ecole royale polytechnique et du Conservatoire de musique. — "Édition très recherchée. Gomard mérite d'être classé parmi les meilleurs et les plus pratiques écrivains d'escrime en France. Il a beaucoup contribué à rendre plus applicables les principes et les théories de l'art moderne, dont il a modifié l'enseignement en le perfectionnant." (Gelli, Bibliographie générale de l'Escrime, pp. 369-370).
1934 Nancy, P., Strasbourg, Librairie Militaire Berger-Levrault, 1934, grand in 8° broché, 96 pages ; 52 figures ; couverture fanée.
Bases de l'instruction - Escrime au fleuret - Escrime à l'épée - Escrime au sabre. ...................... Photos sur demande ..........................
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P., Dentu, 1891, in-12, 173 pp, broché, dos abîmé recollé, couv. défraîchie, état correct
Dans cet ouvrage, persuadé que l'escrime doit être encouragée à tous les points de vue, et tout d'abord au point de vue patriotique, le général Lewal demande en premier lieu qu'on en rétablisse l'obligation dans l'armée, ensuite qu'elle figure sur le programme des écoles spéciales en meilleure posture qu'aujourd'hui ; par conséquent, qu'on élève le coefficient attribué aux armes dans les concours de Saint-Cyr ; en un mot, qu'on en encourage la pratique dans tous les établissements scolaires et, pour cela, qu'on crée et prépare des professeurs sérieux... (G. Jollivet, L'Escrime et le duel, 1891)
janvier 1834, 32x50cm, une feuille.
Très beau brevet illustré, aquarellé, gommé et manuscrit, de maître d'escrime, signé par l'ensemble des maîtres de la garnison d'Ancône (66è régiment d'infanterie), à l'occasion de la réception au rang de maître de « contre-pointe » (sabre) de Jean François Victor Léger, élève de Pierre Radulphe :« Nous maîtres de contre-pointe de la garnison d'Ancône après avoir examiné les capacités du sieur Léger Jean François Victor reconnaissons l'avoir reçu en qualité de maître en foi de quoi nous lui avons délivré le présent BREVET pour lui servir et valoir ce que de raison et invitons nos frères d'armes à lui porter aide et assistance partout où il aura mérité leur estime et leur amitié. » Belle scène de combat d'escrime au premier plan du document. Rousseurs marginales ainsi que quelques restaurations à l'aide de bandes de papier au verso. La ville d'Ancône, lieu de réception de ce brevet, fut occupée par les garnisons françaises de 1832 à 1838. C'est-à-dire à l'époque de la crise d'Italie opposant la France à l'Autriche pour la maîtrise de l'influence sur la péninsule. La pratique de l'escrime était largement répandue sous le premier Empire où chaque régiment avait son maître d'arme. Facultative dans l'armée à partir de1815, elle redevint obligatoire en 1824 avant d'être optionnelle en 1834, année de rédaction de notre document. Discipline extrêmement codifiée, l'escrime inspira de nombreux écrivains (Stendhal, Dumas...) avant de devenir un sport olympique en 1896. - Photos sur www.Edition-originale.com -