Presses de la Cité, 1968, in-8°, 251 pp, 16 pl. de photos hors texte, chronologie, cart. simili-cuir bleu foncé de l'éditeur, sans la jaquette, bon état, envoi a.s. à Philippe Bouvard
Reference : 116348
Charles de Gaulle et les siens ; Charles de Gaulle et les autres ; De Gaulle et lui-même. — Gaulliste de conviction, Pierre Galante a travaillé comme journaliste pour plusieurs journaux et magazines : “L'Époque”, “Le Jour”, “L'Écho de Paris”, “L'Espoir de Nice”, “L'Intransigeant”. Il a été également secrétaire général à “Paris-Match”. Il est l'auteur d'une dizaine de livres, parfois écrits en collaboration, portraits de personnalités ou documents d'histoire contemporaine. Le 2 avril 1955, il a épousé l'actrice américaine Olivia de Havilland avec laquelle il a eu une fille, Gisèle, née en 1956. Le couple a divorcé en 1979.
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Presses de la Cité, 1974, in-8°, 316 pp, 16 pl. de photos hors texte, cartes, cart. éditeur, jaquette illustrée (dos de la jaquette en partie insolé), bon état, envoi a.s. de l'auteur et envoi a.s. de la maréchale Leclerc de Hauteclocque
Un livre qui est en grande partie un témoignage, l'auteur ayant été un des plus proches collaborateurs du maréchal Leclerci pendant sept ans. Il retrace sa prodigieuse épopée, du Tchad à Berchtesgaden et à la réoccupation de l'Indochine en passant par la capitulation du Japon... — "Parmi les nombreux livres consacrés à Leclerc par ses camarades de combat, celui du général Vézinet occupe une place à part pour deux raisons principales. La première, c’est que le général Vézinet s’est essayé à faire de son héros un portrait achevé. Il ne se contente pas de petites touches glanées de-ci de-là dans des conversations de popotes, ou d’anecdotes plus ou moins connues, mais cherche à pénétrer son personnage en profondeur, pour découvrir, sous l’aura que lui donnait un génie militaire exceptionnel, ce qu’était réellement l’homme, les influences qu’il subissait, les principes qui le guidaient dans la vie et la base intellectuelle des jugements qu’il portait sur son entourage et sur les événements. Parmi les compagnons du général, mis à part Repiton-Préneuf et le général Lecomte, nul n’était sans doute mieux placé que le général Vézinet pour s’attaquer à cette tâche difficile. Il a réussi à la mener à bien. Son portrait est à la fois vivant et vraisemblable. La deuxième raison tient au fait que l’auteur a été le premier, croyons-nous, en mesure d’utiliser des documents, communiqués par Mme Philippe de Hauteclocque, qui faisaient partie des archives personnelles du général. Il a disposé en outre des manuscrits inédits de Repiton-Préneuf, ainsi que d’une Histoire du retour de la France en Indochine en 1945-1946, également inédite, préparée et rédigée en 1947 par le capitaine (aujourd’hui général) Philippe Duplay d’après les directives du général Leclerc lui-même. Cet ensemble de documents de première main éclaire d’une façon particulièrement frappante deux épisodes souvent controversés de la carrière de Leclerc : ses différends avec le maréchal de Lattre au cours de l’hiver 1944-1945 à propos de la réorganisation du commandement dans l’armée française et son activité politique en Indochine en 1945-1946. Ils donnent aussi des indications très intéressantes sur les sentiments de Leclerc à l’égard du général de Gaulle, sur les rapports entre les deux hommes, et sur les idées de Leclerc quant à la ligne politique qu’il convenait de suivre en France au lendemain de la Libération. De la sorte, l’ouvrage du général Vézinet déborde le cadre d’une simple hagiographie pour se classer parmi ceux consacrés à une recherche historique. Toutefois l’analyse des documents qu’il nous présente ne permet pas d’aboutir à des conclusions certaines et inattaquables parce que tous ont la même origine : Leclerc et son entourage. Il manque la contrepartie que pourrait produire l’antagoniste, c’est-à-dire, en l’espèce, le maréchal de Lattre ou l’amiral Thierry d’Argenlieu. Les prises de position du premier sont partiellement connues, mais le général Vézinet ne mentionne ni leur existence ni leur contenu. Quant à l’amiral, ce qu’il avait à dire a bien trouvé place dans ses Mémoires, mais celles-ci, sauf un premier volume, n’ont pas été publiées (très certainement en raison d’un veto du général de Gaulle). Le dossier de ces deux « affaires » n’est donc pas complet chez le général Vézinet. Si l’affaire de Lattre peut être considérée comme mineure (et c’était un peu l’avis du général de Gaulle, nous confie le général Vézinet, qui avait été chargé par Leclerc de plaider la thèse de celui-ci auprès du Gouvernement provisoire), l’affaire Thierry d’Argenlieu a, par contre, une tout autre importance historique puisqu’elle a orienté tout le déroulement ultérieur de nos efforts pour trouver une solution au casse-tête indochinois. Les éléments d’information apportés par le général Vézinet et les interprétations qu’il propose sont donc essentiels – même s’ils sont insuffisants à eux seuls pour étayer le jugement des historiens." (André Nolde, revue Défense Nationale, 1975)
P., A. Fayard, s.d. (1887-1891), 3 vol. in-4°, (2)-3191 pp, pagination continue, 400 gravures à pleine page, 400 livraisons reliées en 3 volumes demi-basane vert bouteille, dos à 5 nerfs pointillés, titre et tomaisons dorés (rel. de l'époque), qqs rares rousseurs, bon état. Peu courant
Arthème Fayard, le grand éditeur du boulevard, fit de son entreprise de librairie l'auxiliaire de la propagande du général Boulanger en publiant, de l'automne 1887 au printemps 1891, l' “Histoire patriotique du Général Boulanger” en 400 livraisons. "L’Histoire patriotique du Général Boulanger est le fruit de nombreuses et minutieuses recherches. Cet ouvrage a été rédigé sur des documents authentiques absolument nouveaux qui produiront un énorme retentissement. Il a été écrit en outre d’après les Historiques des Régiments français, les pièces officielles et les narrations militaires les plus autorisées. C’est une œuvre de haute vérité, aussi consciencieuse dans le fond que brillante dans la forme..." C'est dans cette « biographie » illustrée, “écrit(e) sur des documents authentiques”, non signée mais attribuée à la plume de Michel. Morphy, que la propagande boulangiste vante les qualités de leader du général. Distribuée deux fois par semaine, elle obtint un succès énorme. Dans l'avant-propos (“A nos lecteurs”), l'Editeur évoque le général Boulanger comme ancien ministre et commandant du 13e Corps d'Armée à Clermont-Ferrand, soit après le 8 juillet 1887, date du départ du général pour Clermont-Ferrand. Fayard ne cite pas d'auteur "pour empêcher d'inévitables polémiques". A noter que le titre change en cours de route à partir de la 250e livraison : “Histoire patriotique du Général Boulanger” devenant “Histoire politique du Général Boulanger”. — "L'Histoire patriotique du général Boulanger, rédigée par Michel Morphy, est un nouveau réquisitoire contre le gouvernement. Le Figaro a beau affirmer que cet ouvrage de pure propagande a été dicté par le général, l'éditeur Arthème Fayard l’imprime à plus de 3 millions d’exemplaires, et lance une campagne sans précédent, à grands renforts d'affiches et de voitures publicitaires. Plus de 200.000 francs sont ainsi dépensés pour promouvoir le « produit » Boulanger, soit autant que pour Les Mystères de Paris d'Eugène Sue, le best-seller de l’époque. Fayard a flairé la bonne affaire : L'Histoire patriotique du général Boulanger « fait un tabac » en librairie. Désormais, tous les Français connaissent le général Revanche !" (Jean Garrigues, Le général Boulanger, 1991) — Le général Georges Boulanger (1837-1891) fait son entrée dans la vie politique française comme ministre de la guerre dans les cabinets Freycinet et Goblet (1886). Associées à son nationalisme revanchard et à ses partis pris républicains, les mesures qu'il adopte (modernisation de l'armement, améliorations des conditions de vie des soldats, radiation des cadres de l'armée des membres de famille ayant régné sur la France) lui assurent une popularité considérable. Il abandonne son portefeuille ministériel à la chute du cabinet Goblet (1887). Mais l'engouement persistant qu'il suscite agace et inquiète le gouvernement, qui l'écarte en l'envoyant à Clermont-Ferrand. Le jour venu, la foule de ses partisans, réunie gare de Lyon, tente d'empêcher son départ. C'est alors qu'éclate le scandale des décorations, provoquant la démission du président Jules Grévy et affaiblissant considérablement le pouvoir. Plusieurs manquements de Boulanger à ses obligations militaires entraînent sa mise à la retraite. Devenu éligible, il réunit autour de sa personne une hétéroclite coalition de mécontents, allant de l'extrême-gauche à la droite monarchiste et bonapartiste. Par un double jeu périlleux et habile, le « général Revanche » parvient à concilier l'inconciliable, pour bénéficier du soutien financier des uns (la duchesse d'Uzès, notamment), de la logistique des autres (la Ligue des patriotes de Déroulède) et des voix de tous. Il vole de succès électoral en succès électoral, remportant notamment un siège parisien le 27 janvier 1889. Au soir de cette victoire, ses partisans les plus fiévreux (Déroulède, Rochefort) le pressent de tenter un coup d'Etat. Boulanger refuse, par pusillanimité sans doute, mais surtout par légalisme républicain. Pour lui, la conquête du pouvoir passe par les urnes. La déception est grande dans les rangs boulangistes. Rasséréné, le Gouvernement réagit en accusant Boulanger et deux de ses principaux soutiens, Rochefort et Dillon, d'atteinte à la sûreté de l'Etat. Menacé d'arrestation, le général abandonne ses fidèles pour fuir avec sa maîtresse, Marguerite de Bonnemains, à Bruxelles, puis à Londres. Le 12 avril 1889, le Sénat, réuni en Haute Cour, ordonne l'instruction du procès. Les audiences commencent le 8 août. Le dossier d'accusation est faible, mais l'absence des prévenus, présentée comme un aveu de culpabilité, leur nuit considérablement. Le 14, la Haute Cour les reconnaît coupables de « complot et d'attentat pour changer la forme du gouvernement » et les condamne par contumace à la déportation. Cette condamnation et la défaite électorale de septembre 1889 sonnent le glas du boulangisme... (www.senat.fr)
Plon, 1895, 2 vol. in-8°, iv-466 et 477 pp, deuxième édition, 3 portraits gravés (Ducrot en 1839 et en 1870, Joseph Karam) et une carte du Liban en couleurs dépliante hors texte, brochés, C de bibl., bon état
Cet ouvrage rassemble la correspondance importante du général de 1838 à 1870 (parfois une lettre par jour durant les campagnes qu'il effectue). Ducrot est engagé en Algérie de 1838 à 1851, dans la Baltique en 1854, puis en Italie. Il commande ensuite l'expédition de Syrie, puis un Corps d'armée en 1870. Il commande brièvement l'armée à Sedan. Evadé, il rejoint Paris, mais ses souvenirs du siège ne sont pas détaillés. — "Chacun connaît la brillante carrière du général Ducrot et la part qu'il prit à la préparation de la guerre franco-allemande, puis à cette guerre elle-même ; mais suivre pas à pas, jour par jour, toute la vie militaire du général ; être guidé par lui-même dans les méandres d'une existence des plus actives, voilà la rare fortune qui nous est offerte par ce livre. En 1839, 1840, 1841, 1842, le sous-lieutenant Ducrot est en Algérie ; après un court repos, il repart en 1843 ; c'est en cette année, au mois de mai, qu'il appuie avec ses hommes la cavalerie du duc d'Aumale à la poursuite de la smalah d'Abd-el-Kader. En 1845 et pendant les années suivantes, nous assistons aux poursuites exécutées contre Abd-el-Kader lui-méme, en une série de coups de main heureux, dans lesquels le capitaine Ducrot joua un rôle des plus importants, comme chef des affaires indigénes du général Yusuf... En 1859, il est en Italie... En 1860, le général Ducrot fait partie de l'expédition envoyée en Syrie pour la défense des populations chrétiennes du Liban. Il envoie, le 13 septembre, une courte mais curieuse description de Malte. Il donne des détails sur le rôle de la France dans ces événements si compliqués d'Orient. Ses lettres sont, pleines d'aperçus intéressants, de vues larges et étendues. Le deuxième volume débute par la constatation des faiblesses du second Empire en Syrie, de 1860 à 1862, puis nous montre le général à Nevers, de 1861 à 1864. En 1864, le général Ducrot fut envoyé de nouveau en Algérie, où venait d'éclater l'insurrection de Si-Hamga ; les années 1864 et 1865 se passent à guerroyer. Le général voyait clairement comment il fallait, pour en finir, organiser le pays. Les propositions qu'il fit alors à l'empereur à ce sujet ont servi de base à l'organisation actuellement en vigueur... Le 20 juillet 1870, le général Ducrot insiste auprès du maréchal de Mac-Mahon pour qu'une ou deux têtes de pont soient établies sur la rive droite du Rhin, à Kehl, à Vieux-Brisach. Le maréchal repousse ces propositions, qui cependant auraient pu changer la face des choses en permettant l'offensive par la droite pendant la mobilisation des Allemands. Le 6 août, à la première heure, le général Ducrot fit tout ce qu'il put, d'accord avec le général Raoult, commandant la 2e division du 1er corps (dont le général Ducrot commandait la 1ère, pour déterminer le maréchal de Mac-Mahon à porter le corps d'armée le dos aux Vosges, pour livrer bataille sans que la disproportion des forces fût aussi préjudiciable ; ils y arrivaient quand, l'ennemi attaquant, le maréchal changea d'avis..." (Revue des Questions historiques, 1896)
Librairie Nouvelle. 5 Septembre 1891. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 8 à 16 pages, paginé de 145 à 160 .Illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc dans le texte et hors texte. Texte sur 3 colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
Journal hebdomadaire. Sommaire :Nos gravures (47 photographies) - Général de Hay-Durand - Général de Jessé - Général Voisin - Général Giovaninelli - Général Hervé - Général Bonie - Général Heppe- Général Saint-Marc - Général Brault - Général Moutz - Général Senault - Général Derrecagaix - Général Schneegans - Général Fariau - Général Moreau-Revel - Général Livet - Général Boisfleury - Général de Sesmaisons - Général Galland - Général de Galliffet - Général Miribel, Général Davout - Général Jamont - Général Zurlinden - Général Cremezel de Kerhué - Général de Négrier - Général Fay - Général Boisdeffre - Général Lacoste de l'Isle - Général Collet-Maigret - Général Moulin - Général de Boysson - Général Darras - Général de Saint-Julien - Général Correnson - Général Leplus - Général Coeuret de Saint-Georges - Général Jollivet - Général Rapp - Général Fleury - Général Riu - Général Rothwiller - Général Guerrier - Général Bichot - Général d'Agou - Général Colbert - Généralde division Brière de l'Isle de l'infanterie de Marine (Arbitres). Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
MILLEREAU JEAN (CAPITAINE DE CAVALERIE DANS L'ARMEE ROYALE DE VENDEE) [MONNIERES]
Reference : 18355
(1820)
1820 un document Original Authentique manuscrit à l'encre brune sur un feuillet de papier vergé ligné filigrané (filigrane à la "Couronne de Lauriers") couleur crème, format :23,5 centimètres de large par 37 centimètres de haut, Liste avec les noms, prénoms, Domiciles, désignation de l'armée ou ils ont servi, emplois qu'ils ont remplis, détails des Services et Blessures, Désignation des personnes qui ont certifié leurs services, Observations.........fait à Monnières, sans date (1820 environ), non signé,
Pierre-Marie-Michel Comte de Bruc de livernière, seigneur de la Gillière, de la parentière, de Bourneville, etc Maréchal des Camps et armées du roi, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint Louis, Emigré et ayant rejoint l'Armée de Condé, il rentre en France en 1793 poour rejoindre l'Armée Royale de la Vendée, que commandait en chef, le Général Charrette. Il s'y trouva à toutes les batailles, il a signé avec Charrette la Pacification de Vendée présentée par le gouvernement républicain, en 1814 il commande le 3ème corps de l'Armée Royale aux ordres du général de Suzannet, le roi le charge pour ce qui est de Vallet et des communes Avoisinantes, de faire dresser les LISTES des hommes ayant combattu dans l'Armée Royale de Vendée afin de les dédommager ( par des allocations pour les blessés, par des pensions pour les veuves et éventuellement un emploi dans la Garde Nationale Royale en récompense de leur Fidélité).....Liste concernant 14 Hommes de la Paroisse de MONNIERES.... 1- MILLEREAU, Jean, domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc, Capitaine de Cavalerie, Blessé à la jambe gauche à Remouillé, Toujours sous les yeux du Général De Bruc, à toujours bien servi et montré de l'attachement à sa cause, 2- MESNARD Pierre, domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc, Lieutenant d'Infanterie, Toujours sous les yeux du Général De Bruc, à toujours bien servi et montré de l'attachement à sa cause, 3- LAUDRIN Pierre, domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc, Sous Lieutenant d'Infanterie, Toujours sous les yeux du Général De Bruc, à toujours bien servi et montré de l'attachement à sa cause, 4- GIRAUD François, domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc et a passé la Loire, Simple Soldat, Toujours sous les yeux du Général De Bruc, a montré beaucoup de Bravoure, 5- BROCHARD Joseph, domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc, Simple Soldat, Toujours sous les yeux du Général De Bruc, a montré beaucoup de Bravoure, 6- RICHARD Vincent, domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc, Simple Soldat, Toujours sous les yeux du Général De Bruc, a fait son service, 7- GAILLARD Pierre, domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc, Simple Soldat, Toujours sous les yeux du Général De Bruc, a fait son service, 8- ARIAIL Pierre, domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc, Simple Soldat, Toujours sous les yeux du Général De Bruc, a fait son service, 9- MESNARD Pierre, domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc, Simple Soldat, Toujours sous les yeux du Général De Bruc, a fait son service, 10- POIRIER François, domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc, Simple Soldat, Toujours sous les yeux du Général De Bruc, a fait son service, 11- Vve LOIRET Louis, domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc, Capitaine d'Infanterie, MORT à la suite de la Bataille de La Rocheservière, Par Fatigues faisant son service, Toujours sous les yeux du Général De Bruc, a Toujours bien servi en 1793 et 1815, 12- Vve GARNIER René,domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc, Simple Soldat, MORT à la Bataille de Luçon, Toujours sous les yeux du Général De Bruc, a bien fait son service, 13- Vve BOUYER Louis, domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc, Simple Soldat, MORT à Coueron, Toujours sous les yeux du Général De Bruc, a bien fait son service, 14-Vve DROUET François, domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc, Simple Soldat, MORT à Chateau(gontier,Toujours sous les yeux du Général De Bruc, a bien fait son service .................................DOCUMENT ORIGINAL trouvé dans les papiers du Comte de Bruc de Livernière.....conservés plus tard, par le Baron Armel de Wismes........Unique.....en trés bon état (very good condition).