P., Ernest Flammarion, s.d. (1907 et 1924), 2 vol. pt in-8°, 404 et 416 pp, 242 gravures dans le texte et hors texte, 38 plans hors texte, reliures pleine toile crème de l'éditeur, titres ornementés sur les 1ers plats, têtes dorées, bon état
Reference : 104464
Georges-Jules-Auguste Cain (1856-1919), est un peintre historique et un historien de Paris, de ses théâtres et de ses monuments. Il a été conservateur du musée Carnavalet de 1897 à 1919. — "M. Georges Cain, éminent conservateur du musée Carnavalet, nous donne une série de « Promenades dans Paris » dont il connait à fond, avec une érudition pittoresque et documentée, le passé et l'histoire. Les pierres parlent, mais si tout le monde peut les écouter, bien peu savent les entendre. Nul n'était mieux qualifié pour recueillir leurs confidences que M. Georges Cain. Nos lecteurs verront combien les aveux qu'elles lui ont faits sont passionnants et variés, et ils le suivront dans ses promenades, nous en sommes certains, avec autant d'intérêt que de curiosité. « Un des gros chagrins des Parisiennes fut toujours de ne pas connaître Paris : de là des regrets charmants, d'exquises lamentations : Oh ! monsieur, que je voudrais avoir vu la Bièvre !... Il y a, paraît-il, encore d'étonnants hôtels dans le Marais ?... Qu'est-ce donc que la rue Geoffroy-l'Asnier ?... et l'hôtel Scipion ? »" (Le Figaro, 21 mars 1905)
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P., Ernest Flammarion, s.d. (1907 et 1924, 2 vol. in-12, 404 et 416 pp, 242 gravures dans le texte et hors texte, 38 plans hors texte, brochés, couv. illustrées, bon état
Georges-Jules-Auguste Cain (1856-1919), est un peintre historique et un historien de Paris, de ses théâtres et de ses monuments. Il a été conservateur du musée Carnavalet de 1897 à 1919. — "M. Georges Cain, éminent conservateur du musée Carnavalet, nous donne une série de « Promenades dans Paris » dont il connait à fond, avec une érudition pittoresque et documentée, le passé et l'histoire. Les pierres parlent, mais si tout le monde peut les écouter, bien peu savent les entendre. Nul n'était mieux qualifié pour recueillir leurs confidences que M. Georges Cain. Nos lecteurs verront combien les aveux qu'elles lui ont faits sont passionnants et variés, et ils le suivront dans ses promenades, nous en sommes certains, avec autant d'intérêt que de curiosité. « Un des gros chagrins des Parisiennes fut toujours de ne pas connaître Paris : de là des regrets charmants, d'exquises lamentations : Oh ! monsieur, que je voudrais avoir vu la Bièvre !... Il y a, paraît-il, encore d'étonnants hôtels dans le Marais ?... Qu'est-ce donc que la rue Geoffroy-l'Asnier ?... et l'hôtel Scipion ? »" (Le Figaro, 21 mars 1905)