Paris, Hachette, 1884. In-12 reliure dos cuir, 374 pages. Dos très lég. frotté et très lég. passé, Rousseurs page de titre, première page et dernière page.
Reference : 7851
Première édition de ce roman de l'auteur Parisien (1853-1918).
Au Chercheur d'Art
M. Didier Fourquemin
5 rue du Moulin
59219 Etroeungt
France
03 27 61 47 95
Toute commande donnera lieu à une facturation si le ou les ouvrages sont disponibles. Les prix indiqués sont les prix nets auxquels on ajoute les frais de port.
Paris 1912 Paris, 1912. . ÉTONNANT ENSEMBLE DE SIX RELIURES EN CUIR REPOUSSÉétablies par Andrée, relieur amatrice, au début du XXème siècle. Les six pleines reliures en veau possèdent une décor sur le premier plat - cuir teinté et repoussé représentant un visage - reprenant la thématique de l'ouvrage. Les contre-plats sont bordés et ornés de frises dorées, toutes les gardes sont en soie brodée. Geneviève DUHAMELET Ces Dames de l'hôpital 336 Paris, Albin Michel, s.d. [1917]. In-12, pleinveau havane, premier plat orné d'un décor en cuir repoussé et teinté figurant une infirmière dans un grand médaillon. Gardes en soie brodée au motif floral. Signature "Andrée" gravée dans le cuir. ÉDITION ORIGINALE préfacée par de Georges Docquois. Ce rare récit d'une infirmière pendant la Grande Guerre est fréquemment cité dans les études sur l'implication des femmes dans l'effort de guerre. Il reçut la Médaille d'Argent des Épidémies. Henri BARBUSSE Le Feu - Journal d'une escouade Paris, Flammarion, 1916. In-12, pleinveau naturel, premier plat orné d'un décor en cuir repoussé et teinté, figurant la liberté dont le drapé se poursuit sur le dos et le second plat. Gardes en soie brodée au motif floral utilisant un fil métallique. Signature "Andrée" gravée dans le cuir. ÉDITION ORIGINALE, exemplaire du tirage courant sans mention, après 198 ex. numérotés. Ce journal du front d'Henri Barbusse durant la Première Guerre mondiale, parut sous forme de feuilleton dans le quotidien L'uvre à partir du 3 août 1916, puis en volume à la fin de novembre de la même aux éditions Flammarion. Il fut récompensé par le Prix Goncourt. Emir Emin ARSLAN La Verdad sobre El Harem Buenos Aires, Otero & Co, 1916. In-12, pleinveau havane, premier plat orné d'un riche décor en cuir repoussé et peint figurant une concubine de profil sur un fond d'arabesques orientales couvrant toute le reliure. Gardes en soie brodée au motif floral. Signature "Andrée" gravée dans le cuir. Premier plat de couverture conservé. ÉDITION ORIGINALE en espagnol. Diplomate libanais de l'Empire ottoman, Emin Arslan (1868 -1943) fut consul dans les villes de Bordeaux, Bruxelles, Paris et Buenos Aires. Auteur de livres et d'articles en arabe et en espagnol, ainsi que de nombreux articles pour des journaux français. Exemplaire enrichi d'une carte postale à l'effigie d'Emin Arslan avec sa signature autographe. Camille MAUCLAIR Le Mystère du visage Paris, Ollendorff, sans date [1912]. In-12, pleinveau cerise, premier plat orné d'un décor en cuir repoussé et peint figurant le profil d'une visage féminin dans un médaillon semé d'étoiles. Gardes en soie brodée au motif floral. Signature "Andrée" gravée dans le cuir. Quatrième édition. Claude FARRÈRE Fumée d'Opium Paris, Ollendorff, sans date. In-12, pleinveau chocolat, premier plat orné d'un décor en cuir repoussé et peint figurant un visage enrubanné de fumée devant une haute coupe en feu. Gardes en soie brodée au motif floral. Signature "Andrée" gravée dans le cuir. Mention de trente-deuxième édition. Honoré de BALZAC Les Paysans Paris, Calmann Lévy, 1889. Petit in-12, pleinveau chocolat, premier plat orné d'un décor en cuir repoussé et peint figurant un portrait de Balzac. Gardes en soie brodée au motif floral. Signature "Andrée" gravée dans le cuir. Nouvelle édition. Couverture rigide
Edition originale
Paris, A L'Enseigne du Chardon d'Or, Editions Radot, Collection " Nos Jeunes Maitres ", 1926. In-4, broché, couverture rempliée marbrée et illustrée d'un chardon doré, 113 pp.
Un des 230 exemplaires sur Vergé d'Arches. 10 planches hors-texte bois gravés en noir par Andrée Sikorska. Bel exemplaire.Andrée SIKORSKA (1899-) Romancière, peintre et illustratrice. - A exposé au Salon d'automne. - Épouse du peintre Jean Sikorski, fille du philosophe Victor Boy (1856-19..) et petite-fille de l'écrivain André Theuriet (1833-1907). A aussi utilisé le pseudonyme d'André Narat. Autre forme du nom : Andrée Boy (1899-19..) Photos sur demande.
Paris, Editions Seghers / Collection " Poètes d'Aujourd'hui " n° 232 de 1977. In-12 broché, carré, de 201 pages au format 16 x 13,5 cm. Couverture illustrée par une photo de la poétesse. Dos carré avec petits frottis. Plats et intérieur frais. Etude sur Andrée Chedid par Jacques Izoard, avec quelques photos en noir hors texte. Contient de très nombreux textes, d'Andrée Chedid, avec quelques inédits. Bibliographie en fin d'ouvrage. Edition originale, enrichie d'une belle dédicace autographe, signée, de Andrée Chedid sur le livre ainsi que sur une carte de visite de l'auteure, destinée à l'écrivain et dramaturge Pierre Silvain. Provenance idéale.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
, , 1914-1917. Plus de 1000 lettres et cartes manuscrites.
Correspondance privée exceptionnelle de Léon Meltzheim pendant la Grande Guerre.Cette correspondance privée, rare et volumineuse, comprend plus de 1 100 lettres échangées entre le lieutenant Léon Meltzheim et son épouse Andrée, surnommée affectueusement "Dé", entre juillet 1914 et décembre 1918. Léon, affecté au 30e d’Artillerie, rédigea plus de 750 lettres (84 en 1914, 168 en 1915, 172 en 1916, 117 en 1917, et 150 en 1918), auxquelles s'ajoutent 350 lettres d'Andrée pour l’année 1917, et plus de 120 lettres et cartes manuscrites de la famille et des proches de Léon en 1916.Les premiers mois de la guerre. Dès juillet 1914, Léon Meltzheim, alors âgé de 31 ans, est affecté au 10e SMA sous les ordres du capitaine Desgrais. Ses lettres relatent les conditions difficiles de l'artillerie, les longues marches et le manque de repos, tout en minimisant les détails liés à la guerre pour rassurer sa femme. Léon mentionne parfois la Croix de Guerre qu'il reçoit, tout en minimisant ses activités militaires. Un an plus tard, il évoque des détails sur les gaz de combat et son équipement, notamment des lunettes de protection.La bataille de Verdun et la naissance de Georges. L’année 1916 est cruciale pour Léon, avec la bataille de Verdun et l'attente d'un heureux événement à la maison. Le 30e d’Artillerie est déployé pour protéger les lignes de ravitaillement, mais Léon préfère écrire à Dé pour lui assurer que tout va bien et qu'il se préoccupe de sa santé, notamment de son état de grossesse. En juillet, la naissance de leur fils Georges réjouit Léon, qui écrit : « Quelle joie que ce poupard ! ». Fin 1916, il se dit chanceux d’avoir échappé aux horreurs de Verdun.1917 : Un changement dans la correspondance. À partir de 1917, les lettres de Léon se font plus rares et évitent de décrire la guerre. En revanche, Andrée lui écrit quotidiennement, offrant un point de vue précieux sur la vie à l’arrière. Ses lettres dépeignent la gestion de la vie de famille, les débuts de leur enfant Georges, ainsi que les difficultés économiques de la guerre. Andrée écrit avec une grande fréquence, plus de 300 lettres durant l’année.La correspondance comme témoignage humain. Les lettres échangées entre le front et l’arrière sont d'une valeur inestimable, offrant un témoignage humain des conditions de guerre. Elles reflètent les émotions des soldats et de leurs proches, offrant des détails sur l’expérience vécue, tout en cachant souvent la brutalité des événements. Pour les soldats, la correspondance est un lien vital avec le monde extérieur, et pour les familles, c'est le signe de vie qu'elles attendent avec impatience. L'absence de nouvelles engendre une angoisse partagée entre le front et l'arrière.Documents associés : la correspondance est accompagnée de photographies, de coupons de mandat-lettre, d'un négatif de photographie et d’une monographie rédigée par le fils de Léon, Georges Meltzheim, intitulée Vie de Léon Meltzheim (1883-1972).Un ensemble exceptionnel de lettres conjugales et familiales pendant la Grande Guerre, entre Paris et le front, témoignant des réalités de la guerre et de la vie quotidienne.[Voir : Clémentine Vidal-Naquet, Couples dans la Grande Guerre (Les Belles Lettres) et Correspondances conjugales 1914-1918 (Robert Laffont)].
Editions de la Borne, 1991. In/4 broché, couverture illustrée en couleur, illustrations en couleur, 28 feuillets non paginés.