Paris, Éditions du Seuil, 1961. in-8, broché, 189 pp.
Reference : 7968
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Editions du Fer à Marquer 1989 In-4 relié 32,7 cm sur 24,5. 193 pages. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Bureau de la revue. 4e trimestre 1992. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 105 à 148. Texte en colonnes. Accompagné de 8 planches en couleurs et noir et blanc, numérotées de 1 à 8.. . . . Classification Dewey : 355.021-Militaria
Bulletin des collectionneurs de figurines et des amis de l'histoire militaire. Sommaire : Les parachutistes de France par Hélie de Saint Marc, La genèse du Ier régiment de chasseurs parachutistes par R. Wagener, Les parachutistes français pendant la seconde guerre mondiale par R. Boverat, Réflexions sur le cinquantenaire des troupes aéroportées par Gal Pierre de Haynin de Bry Classification Dewey : 355.021-Militaria
Fayard, 1971 in-8°, 474 pp, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
Qui ose vaincra commence en juin 1940 à Londres où un jeune capitaine de trente ans crée une unité parachutiste dont il est le chef... et le seul soldat. L'épopée se termine en avril 1945 en Hollande quand deux régiments entiers de parachutistes français sautent en avant des lignes alliées pour préparer la mise à mort de l´Allemagne. Entre-temps, ce sont les incroyables péripéties vécues par ces volontaires : le premier saut effectué en opération est l’œuvre d'un stick français ; en Crète un groupe de six hommes réalise une des plus belles actions de commando de la seconde guerre mondiale ; le débarquement du 6 juin est préparé, au Jour J-1, par un largage de parachutistes S.A.S., et le premier mort de la libération n´est pas un soldat américain mais un caporal français ; en Bretagne les 2e et 3, R.C.P. affrontent les Allemands dans la furieuse bataille de Saint-Marcel ; au sud de la Loire, des poignées de jeeps armées de mitrailleuses d´aviation s´aventurent en territoire encore occupé et font prisonniers des unités entières allemandes, abrégeant ainsi la durée des hostilités en France. Au passage, on apprendra, entre autres révélations historiques, que les parachutistes français ont, par deux fois, exercé une influence décisive sur le cours de la guerre : le commando de Crète sauva l´île de Malte et assura la victoire des Alliés en Méditerranée ; les parachutages en Bretagne empêchèrent 150.000 Allemands de déferler sur les plages normandes du débarquement. Du désert de Libye aux frontières de l´Allemagne, les parachutistes de la France libre ont sur tous les champs de bataille fait triompher leur orgueilleuse devise : « Qui ose vaincra ».
Paris, éd. Le livre de Poche, 1977, fort in-12, cartonnage souple, couv. photo coul. éditeur, 576 pp., table des matières, ": la première histoire de la plus glorieuse unité de l’armée française en Indochine et en Algérie. Un auteur : Pierre Sergent, lieutenant, puis capitaine, dans les rangs de ces bérets verts, qui a participé en personne aux événements qu’il décrit et qui en a connu tous les acteurs. Une tragédie : cette unité de légionnaires-parachutistes a été anéantie trois fois. Deux fois en Indochine : 500 bérets verts engagés dans la désastreuse affaire de Cao Bang, 470 morts et disparus ; et un millier à la pointe du combat à Dien Bien Phu, 600 tués, 400 blessés. Et ce troisième et dernier anéantissement en Algérie : après avoir gagné la guerre du djebel et celle d’Alger, le 1er REP a été le fer de lance du putsch du 22 avril 1961. Huit jours après, le régiment était définitivement dissous. Des acteurs à l’inoubliable courage, les plus fins guerriers de la jeune armée française : Jeanpierre, Degueldre, Morin, Martin, Faulques, Cabiro, Tasnady, et cent autres, Français de naissance ou Français « par le sang versé »... Segretain, commandant du 1er BEP, et Jeanpierre, commandant du 1er REP, ont été tués au combat. En Indochine, tous les capitaines, la moitié des lieutenants, la presque totalité des sous-officiers et des légionnaires sont morts au champ d’honneur ou dans les camps viets. En Algérie, en terre maintenant étrangère, les cimetières de Zéralda et de Guelma sont remplis de tombes de légionnaires-parachutistes. En France, le carré des fusillés du cimetière de Thiais a reçu les dépouilles mortelles de deux bérets verts : le lieutenant Degueldre et le sergent Dovecar... Le combat a cessé. Presque tous les officiers du 1er REP ont quitté l’armée. Quelques sous-officiers rêvent de leur passé dans les casernes métropolitaines. Les légionnaires survivants sont repartis dans leurs pays. Mais, dans le cœur de tous, vit le drapeau à la fourragère jaune et verte et aux cinq palmes, qui dort au musée de la Légion. « Non, je ne regrette rien » chantaient les légionnaires-parachutistes en quittant pour la dernière fois, il y a aujourd’hui dix ans, leur camp de Zéralda. Le célèbre refrain d’Edith Piaf les entraînait dans l’Histoire. Le capitaine Pierre Sergent vous entraîne à leur suite sur les chemins de la gloire et de la mort. Personne ne regrettera rien". Pas courant Très bon état
4 vol. in-4 br. sous étui commun illustré, s.l.n.d., 22, 235, 295, 668 pp.
Bon état (petit choc à l'étui, bon exemplaire par ailleurs). Le "8" fut créé en 1951 sous le nom de 8e bataillon de parachutistes coloniaux (8e B.P.C.). Par la suite, il devint notamment le 8e groupement de commandos parachutistes (8e G.C.P.), puis le 8e Régiment de Parachutistes d'Infanterie de Marine (8e R.P.I.M.A.).