Discours prononcé par M. Henri Beaune, procès-verbal de la rentrée de la Cour d'Appel de Dijon le 4 novembre 1872. Dijon, Imprimerie Rabutot, Darantière succ., 1872, broché, 16,5x25 cm., 44 pages.
Reference : 6844
importante salissure sur tranches et quatrième plat de couverture.
Le Barde Bourguignon
Madame Florence Bardon
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France
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Gallimard , Bibliothèque des Idées Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1950 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, titre en marron et en bleu grand In-8 1 vol. - 310 pages
1ere édition, 1950 "Contents, Chapitres : Introduction - 1. La vocation théâtrale - 2. L'imitation de la nature : La nature - L'imitation de la nature - Les obstacles à l'imitation de la nature - Comment surmonter les obstacles - 3. Le paradoxe sur le comédien : Le texte et le titre - Analyse du paradoxe - La réforme du théâtre - La sensibilité du comédien - Le paradoxe dans l'esthétique de Diderot - Conclusion - Le ""Paradoxe sur le comédien"" est un essai sur le théâtre rédigé sous forme de dialogue par Denis Diderot entre 1773 et 1777 et publié à titre posthume en 1830. Selon Diderot, qui s'oppose en cela à l'opinion générale de ses contemporains, l'acteur convaincant est celui qui est capable d'exprimer une émotion qu'il ne ressent pas. C'est le paradoxe : moins on sent, plus on fait sentir. - Diderot expose deux sortes de jeux d'acteurs : Jouer d'âme qui consiste à ressentir les émotions que l'on joue Jouer d'intelligence qui repose sur le paraître et consiste à jouer sans ressentir. Ce paradoxe est le contraste entre lexpression du corps et labsence démotion ressentie de la part de lacteur, il joue sans éprouver. Il rit sans être gai, pleure sans être triste. L'acteur se sert de son corps comme dun instrument. Le paradoxe du comédien met donc en évidence lécart qui peut exister entre le corps et le psychisme (ce qui n'est pas somatique et relève de l'esprit et de l'intelligence). Il y a donc sur ce texte de Diderot un paradoxe qui explique bien la forme du comédien. (source : Wikipedia). Comme l'indique Yvon Belaval dans l'introduction de son livre : ""Notre projet initiale était de préparer la lecture du ""Paradoxe sur le comédien"" de Diderot, quelques pages devaient suffire...""." couverture legerement empoussiérée avec deux petites taches sur le plat supérieur, intérieur sinon propre, papier à peine grisonnant, cela reste un bon exemplaire de lecture
In-12 de (2) ff., 224 pp. - 228 pp., veau havane raciné, dos à nerfs orné de caissons de fleurons dorés, pièce de titre de maroquin rouge, coupes, tranches (reliure de l'époque).
"Deux écrits polémiques, pour et contre les physiocrates, en éditions originales. [MORELLET, André]. Théorie du Paradoxe. Abbé des Lumières, Encyclopédiste et lié aux Philosophes, André Morellet (1727-1819), surnommé ""l'abbé Mords-les"" par Voltaire, mit régulièrement sa plume de polémiste hardi, au service de ses amis. Ayant eu pour condisciple durant ses études à la Sorbonne, Turgot, celui-ci l'associa à ses travaux d'économie politique. Morellet prit fait et cause pour la liberté de commerce, attaquant notamment le Dialogue de Galiani. Dans la Théorie du paradoxe, Morellet réfute avec ironie les paradoxes établis par Linguet dans sa Théorie des loix civiles, pamphlet où il se montrait hostile aux physiocrates et particulièrement à la liberté du commerce. I.N.E.D., 3317. - Kress, 7142. Suivi de : [LINGUET, Simon-Nicolas-Henri]. Théorie du Libelle, ou L'Art de calomnier avec fruit, Dialogue philosophique, pour servir de Supplément à la Théorie du Paradoxe. Avocat de quelques causes fameuses, puis journaliste polémique, Simon-Nicolas-Henri Linguet (1736-1794), fut, avec un incontestable brio, l'adversaire de beaucoup de monde, dont le parti philosophique et les physiocrates. Avec sa Théorie du Libelle, Linguet réplique directement à la Théorie du paradoxe qui l'avait attaqué. Il se révèle un bretteur à la plume acérée, taillant une soutane sur-mesure à l'abbé Morellet et à la Secte des Économistes : ""Cet illustre Proxenete de la science, ce Champion invincible du produit net, ce respectable Archimandrite de l'Ordre des Freres de la Doctrine Économique, s'est élevé au-dessus de tous les éloges, en forçant son cœur à outrager un homme renversé […]. Si l'on demande quel est l'Ordre dont il s'agit ici, nous dirons, pour épargner des tourmens aux Commentateurs des siècles à venir, que c'est un Ordre nouveau, fondé aux environs de 1760, sous le nom de Freres Économistes, par le Pere Ques..., qui a eu pour fils aîné spirituel, le Frere Mirab..., qui a engendré en esprit le Frere Beaud...[Baudeau], qui a engendré l'A. M..., qui a engendré la Théorie du Paradoxe, &c."" I.N.E.D., 2931.- Kress, 7135. Très bel exemplaire en veau de l'époque. Étiquette de la Librairie Raymond Clavreuil."
Société d'Histoire du Théâtre. 1976. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 73 pages. Etiquette collée sur le 1er plat.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : La partition intétieure - Document : la généalogie du Paradoxe - Le Comédien - L'art du théâtre - La naissance du Paradoxe - Textes : Rémond de Sainte Albine - Sticotti - L'art du théâtre à Madame *** par François Riccoboni - La partition intérieure (Peinture, musique, écriture, mécanique) - Vers une nouvelle économie des valeurs esthétiques. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
S.n., s.l. 1949, 8 feuillets in-8 (13,5x21,5) et 11 feuillets in-4 (21x27cm).
Manuscrit autographe de l'auteur de 16 pages in-8 publié dans le numéro 9 (juin 1946) des Temps modernes et repris, légèrement retouché, dans La Part du Feu (1949). Manuscrit recto-verso complet, à l'écriture très dense, comportant de nombreux ratures, corrections et ajouts. On joint le tapuscrit complet avec corrections autographes à l'encre noire. «Le Paradoxe d'Aytré » est le premier texte de Maurice Blanchot que Jean-Paul Sartre publie dans les pages des Temps modernes, fer de lance de la littérature engagée. Trois autres suivront jusqu'en 1952 («Le roman, uvre de mauvaise foi», «A la rencontre de Sade» et «L'art, la littérature et l'expérience originelle»), tous de grande importance. Poursuivant sa réflexion entamée depuis plusieurs années sur le combat de l'écrivain avec le langage et sa relation au silence (notamment dans son article «Le Mythe d'Oreste»), Blanchot appuie ici sa démontsration sur Aytré qui perd l'habitude de Jean Paulhan - influence majeure - qui lui fournit notamment le titre de son article: «De ce petit récit, il ne résulte pas que la littérature ne doive logiquement commencer qu'avec le crime, ou à défaut, avec le vol. Mais qu'elle suppose un écroulement, une sorte de catastrophe initiale et le vide même que mesurent l'anxiété et le souci, c'est ce qu'on peut être tenté de voir. Or, remarquons-le, cette catastrophe ne s'exerce pas seulement sur le monde, les objets qu'on manie [...]; elle s'étend aussi et en même temps au langage, à la possibilité des mots. C'est là le paradoxe d'Aytré.» Et d'ajouter: «L'écrivain ne débute pas toujours avec le sang d'un fait divers ou l'horreur d'un crime qui lui ferait sentir l'instabilité et le vide du monde, mais il ne peut guère songer à commencer autrement que par une certaine incapacité de parler et d'écrire, par une perte de mots, par l'absence même des moyens dont il surabonde. Ainsi lui est-il indispensable de sentir d'abord qu'il n'a rien à dire.» Jean Paulhan, donc, mais aussi Franz Kafka, Herman Melville ou Stéphane Mallarmé, autant d'écrivains admirés par Blanchot, se sont confrontés au paradoxe d'Aytré, au silence, à l'effondrement du langage. Et le critique de conclure: «[...] le silence du langage créateur, ce silence qui nous fait parler, n'est pas seulement une absence de parle, mais une absence tout court, cette distance que nous mettons entre les choses et nous, et en nous-mêmes, et dans les mots, et qui fait que le langage le plus plein est aussi le plus poreux, le plus transparent, le plus nul, car il laisse infiniment fuir le creux même qu'il enferme, sorte de petit alcarazas du vide.» Très beau texte sur le silence du langage, publié par Jean-Paul Sartre dans Les Temps Modernes. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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P. LETBIELLEUX. 1909. In-12. Broché. Bon état, 1er plat abîmé, Dos abîmé, Intérieur frais. 316 pages. Premier plat désolidarisé. Auto-collant et tampon sur la page de faux-titre. Manque au dos.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Les origines étrangères, Le mal de Jean-Jacques Rousseau, Les déséquilibrés du romantisme, Le paradoxe littéraire, La religion romantique, La morale romantique, Le paradoxe social, La déformation de l'Histoire, A l'antipode du romantisme. Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle