In-12, demi-chagrin bleu nuit de l'époque, dos à 4 nerfs orné, titre doré, tranches mouchetées, (2) f., xxxi, 410 p. Paris, L. Hachette et Cie, 1856.
Reference : 37307
Troisième édition parue un an après l'originale. L'auteur reprend les points fondamentaux de la religion naturelle des temps modernes, tout en insistant sur sa dimension éducative (cf. J. Lagrée, 'La Religion naturelle', Paris, PUF, 1991, p. 93-101)."Simon expose la religion naturelle qui convient au philosophe (...). Il recommande un culte personnel mais renonce volontiers au culte public" (G. Weill, 'Histoire du parti républicain', p. 335-336). Mors fendus, coiffes usées, quelques rousseurs et auréoles éparses. Reliure frottée.Cachets de bibliothèque.
Librairie Hatchuel, Livres anciens et rares
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A La Haye, Chez Jean Swart, 1726. In-4 de XVII-(1)-442-(6) pp., cartonnage d'attente, titre manuscrit au dos.
Première édition française dans la traduction de Garrigue. L'édition originale anglaise a été publiée en 1722 sous le titre The Religion of nature delineated. Ouvrage majeur de William Wollaston (1660-1724), l'Ébauche de la religion naturelle connut un grand succès dans la première moitié du XVIIIe siècle. La ressemblance du nom de l'auteur avec celui du fameux Wolston, quelques endroits du livre mal compris à la première lecture, son silence sur la révélation, et l'honneur qu'il fait à la raison d'un beau système religieux, mirent d'abord la joie dans le camp ennemi, et provoquèrent les attaques des apologistes de la religion, entre autres de Clarke. Mais une étude plus réfléchie des principes de l'auteur et les hommages qu'il rend à la révélation firent bientôt changer les idées des uns et des autres. L'ouvrage fut généralement estimé, quoiqu'on en admît pas tous les principes. La traduction française de l'ouvrage entier a essuyé bien des critiques, parce qu'elle s'écarte souvent de la pensée de l'original, qui est fort obscur en bien des endroits ; mais on convient que le traducteur n'a pas mal réussi à débrouiller le chaos des notes. Il y a ajouté d'ailleurs des pièces intéressantes. Il combat son auteur sur certaines idées particulières, et en soutient d'autres qui avaient été critiquées.Très beau spécimen de cartonnage d'attente. Plusieurs feuillets roussis ; petite galerie de ver sur les 4 premiers et 3 derniers feuillets. Brunet, 1799.
A Paris, , 1766. In-12 de 63 pp., veau marbré, dos orné à nerfs, tranches rouges (reliure de l'époque).
Édition publiée l'année de l'originale, non citée par Bengesco. Elle comporte les deux versions, l'une adressée au Roi de Prusse, l'autre à S.A.R. Madame la margrave de Bareith (page 31).Le second poème (page 52) a pour titre de départ Poème sur la destruction de Lisbonne, ou Examen de cet axiome Tout est bien, avec les notes en bas de pages.« Le succès du Poème fut grand ; la seule année de 1756 vit paraître une vingtaine d'éditions. Mais pour les orthodoxes chrétiens, cette oeuvre attaquait directement la révélation, ce qui mena à sa condamnation par le parlement de Paris en 1759. Par ailleurs, le poème ne plut pas davantage à Frédéric II qu'à sa soeur, la margravine de Bayreuth, qui rejette la notion d'une loi naturelle. Nonobstant, la Loi naturelle marque une étape importante dans la pensée de V., en ce que l'ouvrage annonce une campagne qui ira grandissante dans la dernière décennie de sa vie contre le matérialisme tout autant que contre "l'Infâme" (H.T. Mason, in Dictionnaire Voltaire). Bel exemplaire à l’intérieur très frais. Légers frottements et petits accrocs au caisson et mors inférieur du second plat, sans gravité.
Chez Didot, à Paris 1799 - An VII, In 12 (9,5x15,8cm), 202pp. ; (2) 24pp. ; 72pp. ; 24pp. ; 24pp., relié.
Edition originale, truffée d'un frontispice par Cochin gravé par Sornique.Les nouveaux saints. Chez Dabin. Paris. 1801. Troisième édition. André Marie Chénier.Qu'est-ce que la théophilantropie ? A la librairie claissique. Paris.1801.La religion naturelle est-elle absurde, intolérante, contraires aux idées reçues, et conduit-elle au fanatisme ? Se trouve à la libraire du Pont Michel. An 6.Sur la philosophie. An 9. S.n. S.l. Reliure en plein maroquin vert d'époque. Dos lisse orné à la grotesque de croisillons, roulette en queue et tête. Pièce de titre en maroquin rouge. Roulette d'encadrement sur les plats. Tranches dorées. Un petit manque en tête. Un coin émoussé. Frottements tête et mors. Le frontispice a été doublé d'un papier au verso. Charmant exemplaire.La guerre des dieux est un poème satirique où les dieux de la religion chrétienne et ceux de la mythologie gréco-romaine s'affrontent ; il donna lieu dès sa parution à de nombreuses plaintes, et on le plaça dans le même temps très haut dans ce type de production, par la qualité de sa langue et de son style. Les premières éditions sont recherchées car les suivantes furent toutes expurgées. A la suite de ce fameux poème de Parny, un amateur a réuni plusieurs textes de la même époque rendant compte de la situation de la religion en France ; les textes s'éclairent entre eux, et permettent de comprendre la conjoncture qui a pu donner naissance au poème de Parny. Le second texte de Chénier est lui également une satire sur la religion et les philosophes. La théophilantropie prit naissance en 1797, mouvement plaçant l'amour de Dieu et des hommes avant toutes choses et s'écartant de l'église. L'article qui suit est une défense de la religion naturelle, et de ses adeptes. Le dernier texte rapproche philosophie et religion naturelle, et rejette toute superstition. Ex-libris Auguste Dide. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Librairie Philosophique J. Vrin , Bibliothèque des Textes Philosophiques Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1973 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche et vert-brun In-8 1 vol. - 128 pages
nouvelle édition 1973 de cette traduction qui date de 1912 "Contents, Chapitres : Les Dialogues sur la religion naturelle sont la dernière oeuvre du philosophe britannique David Hume, publiée à titre posthume et anonymement en 1779. Rédigés à partir de 1750 et achevés peu avant sa mort, ces dialogues traitent de la nature de la religion et trouvent une partie de leur inspiration dans le De Natura Deorum de Cicéron. Dans ce dialogue en douze chapitres, trois personnages de fiction nommés Déméa, Philon et Cléanthe, débattent de la nature et de l'existence de Dieu. Les trois sont d'accord sur le fait qu'un dieu existe (ou puisse exister) ; cependant, ils diffèrent sur la manière qu'ils estiment la plus pertinente de raisonner au sujet des attributs et des qualités de Dieu, ainsi que sur la possibilité pour l'humanité d'acquérir un savoir sur l'Être suprême. Au fil des chapitres, les personnages du dialogue abordent un certain nombre d'arguments au sujet de l'existence de Dieu, ainsi que des arguments dont leurs défenseurs estiment qu'ils pourraient leur permettre de connaître la nature de la divinité. Ces débats incluent l'argument du dessein intelligent - pour lequel Hume donne l'exemple d'une maison - ou la question de savoir s'il y a davantage de bien ou de mal dans le monde. Dans l'Enquête sur l'entendement humain, le chapitre X, Des miracles, réfute a priori la possibilité que les miracles existent, puis démontre que la croyance religieuse se fonde essentiellement sur la foi et non sur la raison. Et dans l'Histoire naturelle sur la religion, Hume explique historiquement l'apparition de la religion, sans chercher son origine dans une quelconque transcendance a priori - ce qui tend à montrer que la religion est une production de l'esprit humain et non d'une transcendance supra-humaine. (source : Wikipedia)" couverture à peine jaunie, avec une légère éraflure à peine visible sur le haut du plat supérieur, sinon bon état, intérieur frais et propre, papier à peine jauni, cela reste un bon exemplaire
Chez H.L. Guérin & L. Fr. De La Tour Paris 1754 2 tomes reliés en 1 volume in-12 ( 150 X 85 mm ) de 360-4 et 335 pages, plein veau fauve marbré, dos lisse orné de caissons et fleurons dorés, pièce de titre de maroquin grenat, tranches brique ( reliure de l'époque ). Bel exemplaire.