P., Archives et Culture - Collection Les Dictionnaires patronymiques, 1993. In-8, broché, couv. ill., 271 pp.
Reference : 555684
ISBN : 2909530221
On joint une carte postale ancienne : portraits de trois frères Morin (Jean, Pierre et Paul). Bon ex. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
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13 pièces réunies en un volume grand in 8° relié demi-veau marron, dos à nerfs orné, 15-14-8-4-4-26-7-2-3-10-5-4-8-11 pages
RARISSIME réunion. La couverture de "Lamartine à Lyon" a été conservée, avec une dédicace de Morin-Pons à M. Vachez. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Une Gouache Originale en couleurs sur carton fort, Format : 21,5 centimètres de haut par 27 centimètres de large, signée en bas à droite : JORGE MORIN
1909 : Naissance de Georges MORIN à Cholet, Maine-et-Loire, le 4 octobre, d'un père et d'une mère d'origine angevine. Jorj sera le prénom d'artiste qu'il choisira en 1949 .... SUPERBE...........RARETÉ.......en trés bon état (very good condition). trés bon état
[Louis Morin Louis Morin ] - ARTISTES DU LIVRE MORIN 1930 éd. HENRY BABOU complet des 22 planches
Reference : 531
(1930)
HESSE, Raymond ; BONNAUD, Dominique – [LÉANDRE] Louis Morin. Les Artistes du Livre. Paris, Henry Babou, 1930. In-8 carré en feuilles, sous couverture éditeur illustrée rempliée. [2] ff., lettre-préface écrite par Dominique Bonnaud, 1 portrait de Louis Morin par Léandre, titre, 31 pp, 22 planches, [4] ff. dont la table des planches hors-texte et la bibliographie des œuvres illustrées par l’artiste. Cette monographie contient 22 planches, et de nombreuses illustrations in-texte en noir et blanc. L’ensemble étant de Louis Morin. Dix-huitième volume de la collection « Les Artistes du Livre ». Tirage à 700 exemplaires numérotés, celui-ci un des 235 exemplaires sur papier vélin blanc des papeteries Johannot. Bien complet de la bibliographie des œuvres illustrées par Louis Morin in-fine. Dos passé Bon état général.
À Troyes, de l’Imprimerie de Garnier, cour Saint-Martin Es sert, À Troyes, de l’Imprimerie de Garnier, cour Saint-Martin Es sert(1728) ; plaquette in-12, brochée, couverture muette papier marbré. 31 pp.Morin 1094 qui signale des exemplaires avec à la suite un cahier de 2 ff portant l’approbation. Ces 2 ff. manquent souvent.On ignore si Michel Morin a réellement existé. Son histoire a suscité une importante littérature, colportée depuis de nombreux centres “Ce Morin, bedeau à Beauséjour en Picardie, est mort un 1er mai au début du XVIIIe siècle en tombant d’un orme où il allait dénicher des pies. Il n’est guère de village qui n’ait, dans la personne du bedeau de sa paroisse une espèce de factotum tel que Morin et il est si vrai qu’on ne doit voir en lui que la personnification de tous ses pareils, qu’on ne désigne pas autrement aujourd’hui encore, les gens qui se mêlent de tout.” Nisard I, 367.La Vengeance conspirée par les amis du défunt, est suivie de la Donation des biens meubles et immeubles du défunt, et d’une Épitaphe, tout cela en vers facétieux truffés de pédanteries. Pour Nisard, l’origine de ce livret n’est pas douteuse. “C’est encore un produit de l’imagination des gais Troyens, une de ces facéties auxquelles ils exerçaient leur plume indisciplinée avant qu’ils se constituassent en académie. Grosley a probablement participé à ce recueil.
Bel exemplaire conservé dans son vélin souple de l’époque. Paris, Charles de Sercy, 1658. In-12 de (12) ff. dont 1 frontispice, 222 pp., (1) f. d’Avis au curieux. Doublon dans la pagination p. 80 et saut ds. la pagination p. 206 sans manque. Plein vélin souple, dos lisse, titre manuscrit à l’encre en tête du dos, inscription manuscrite à l’encre sur le plat inférieur. Reliure de l’époque. 161 x 105 mm.
Rare édition originale de ce charmant ouvrage destiné aux amateurs de « jardins de plaisir » et aux « curieux de fleurs » par le plus célèbre fleuriste de l’époque, fournisseur des collectionneurs dans l’Europe entière. Plesch, p. 342; Pritzel 6454; cf. Hunt 300. Il comporte un Calendrier des choses qu’il faut faire au Jardin des Fleurs selon chaque Mois de l’An, plusieurs chapitres sur les propriétés de chaque plante, celles qui craignent la gelée ou le froid, celles qui aiment la terre grasse, un Mémoire des Saisons auxquelles chaque belle Plante se trouve en fleur, un Catalogue des Fleurs des meilleures odeurs, etc. Morin n’était pas seulement fleuriste et collectionneur de fleurs. Sa curiosité s’était étendue peu à peu à l’histoire naturelle, aux estampes et aux tableaux. « Ses tulipes, anémones, renoncules et crocus sont des plus rares et attirent chez lui tous les amateurs de fleurs. Il est devenu un des hommes les plus curieux de France grâce à sa collection de coquilles, fleurs et insectes... » note Evelyn en 1644. Il a fait faire « des portraits en miniature de ses plus rares fleurs et plantes ». Le Cardinal Barberini, Marolles, Sauval ont aussi laissé des relations de leur visite au jardin de Morin situé rue de Thorigny dans le Marais. Le Père Mersenne y venait en voisin de la Place Royale. Le traité est suivi de quatre catalogues de fleurs en vente, les quatre espèces qui se collectionnaient parce qu’on pouvait en créer des variétés toujours plus extraordinaires : anémones à pluche, renoncules, iris et tulipes. Les quatre catalogues « des plantes qui sont de présent au jardin de Morin » décrivent en détail chaque fleur – pour que l’on puisse la commander à distance – avec parfois des remarques sur sa rareté, ses couleurs à la mode, l’estime que lui portent les amateurs ou l’enthousiasme du fleuriste lui-même... Morin avertit que « pour ceux qui ne voudraient pas faire la dépense pour acquérir les plus rares, il en conserve d’autres espèces moindres et vulgaires qu’il peut donner à juste prix ». L’ouvrage s’ouvre par un beau frontispice dessiné et gravé par Chauveau. Précieux exemplaire d’une grande pureté conservé dans son vélin souple de l’époque. Il porte l’ex libris de Jean-François Basset, notable lyonnais, dont la belle propriété de Montchat (alors hors de la ville de Lyon) avait reçu l’année précédente la visite de Christine de Suède. La reine Christine qui venait d’Italie y séjourna trois semaines en aout 1657 avant de continuer sa route cers la Cour où elle espérait obtenir de Mazarin la possession du Royaume de Naples. Elle était accompagnée de sa suite et de ses gardes et l’honneur de sa visite ne fut pas sans amertume : les archives de Lyon gardent la trace des 550 livres qu’il fallut débourser pour dédommager le propriétaire des dégâts causés dans ses vignes et du dépérissement de ses meubles.