P., Librairie de France, s.d. In-4, rel. demi-toile grise, pièce de titre rouge, 442 pp., ill. in et h.-t., qqs unes en couleurs. Exemplaire sur Navarre teinté.
Reference : 546769
Bel ex., relié. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 11 € -Monde (z B : 18 €) (z C : 31 €)
Librairie Le Trait d'Union
Mme Catherine Pierrang
168A Avenue Pierre Brossolette
10000 Troyes
France
contact@librairieletraitdunion.fr
+33 (0)3 25 71 67 98
Conditions de vente conformes aux usages du SLAM - Syndicat national de la Librairie Ancienne et Moderne et de la LILA - Ligue Internationale de la Librairie Ancienne.
Librairie de France, 1926, in-4 rel. cart. brad. (22,5 x 28), 442 p., 2 planches en couleur, 140 illustrations in-texte en noir, reliure passée un peu salie, intérieur frais, assez bon état.
Dans cet ouvrage, l'auteur a tout particulièrement insisté sur tout ce qui intéresse le théâtre à la veille de la Révolution. Voir le sommaire sur photos jointes.
Paris, Payot, 1930. 14 x 23, 237 pp., 17 illustrations hors texte, broché, bon état.
avertissement par Jean Robiquet.
Librairie de France 1926 Grand in-4. Broché, couverture rempliée, 442 pp., frontispice en couleurs, nombreuses illustrations en noir dans et hors texte. Bon exemplaire.
Bon état d’occasion
Librairie de France 1926 In-4 demi-chagrin brun à bande,dos lisse, filets dorés, couvertures cons., 442 pp. 2 planches en couleurs, 140 illustrations in-texte en noir. Dos et coupes un peu frottés, coins émoussés. Int. très frais.
L’évolution de l’art dramatique et les influences étrangères ; les petits théâtres, les théâtres de société, les acteurs et les auteurs, la mise en scène, les décors, les costumes ; les spectacles forains, etc. Bon état d’occasion
Fayard, 2001, gr. in-8°, 394 pp, 16 pl. d'illustrations en couleurs, notes et références, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
C'est par le théâtre que s'illustre avec le plus d'éclat le siècle des Lumières. Voltaire y voit "la seule manière d'assembler les hommes pour les rendre sociables", les philosophes l'opposent à l'église comme lieu de l'éloquence profane et sanctuaire des idées nouvelles, les plus grands architectes édifient des temples à sa gloire ; comédiens, comédiennes, danseurs, cantatrices, "enchanteresses" en tous genres occupent le haut du pavé. Quant au théâtre de société (ou théâtre "chez soi"), il passe pour le plus haut degré de la civilisation : l'esprit y acquiert du goût, le corps y cultive la grâce, le libertinage y aiguise les sens. Du grand seigneur dans ses terres à l'artisan dans son échoppe, la théâtromanie n'épargne personne : élèves des jésuites, magistrats, officiers, fermiers généraux, écrivains, savetiers, séminaristes ou filles galantes, tout le monde veut jouer la comédie. Du démocratique "parterre" aux loges louées à l'année, de l'Opéra à la Comédie-française, des Italiens à la baraque foraine et aux parades de boulevard, le public se presse aux spectacles, indiscipliné, turbulent parfois, mais toujours passionné, prompt à rire, à s'émouvoir, à siffler, guettant la réplique vengeresse ou l'équivoque obscène. A l'époque où l'opinion ne dispose d'aucun espace public, le théâtre apparaît comme un foyer sensible, où peut à chaque instant jaillir une étincelle de liberté. Historien des lettres et de la société de l'Ancien Régime, connaisseur averti des choses et des gens de théâtre, Maurice Lever en trace un tableau exact et fidèle, non moins que jubilatoire.