‎ROUX, V.‎
‎De l'influence du gouvernement sur la prosperité du commerce, par Vital-Roux, de Lyon, Négociant.‎

‎A Paris, Chez Fayolle, An 9-1800. 2 parts in 1 volume. (4), 286 pp.; (2), (287)-484, (4) pp. 8vo. Modern half vellum, marbled boards, morocco label with gilt lettering, corners INED 4463; not in Kress; not in Goldsmiths; not in Einaudi. First edition. The author was born in Bellay, around 1760, and died in Strasbourg in 1846. He started his career with a trading company in Lyon, and after that went to work for the house of Delessert in Paris. He founded himself a trading company but with little success. He became regent of the Banque de France, member of the Chamber of Commerce of Paris and one of the editors of the Code de Commerce. In 1819, he established the world's first school of management, a kind of business school providing special instruction for young people who had finished their academic studies and intended to pursue a career in commerce and industry. Roux's school, the École Supérieure de Commerce de Paris, still exists today as the ESCP-EAP "European School of Management", with branches in Paris, Oxford, Madrid and Berlin.'Économique. Première partie: idées générales sur les principes du crédit et sur les questions qui intéressent le commerce dans ses rapports avec les opérations financières du gouvernement; influence du systême politique sur l'industrie; institutions qui doivent faciliter la connaissance de ses progrès ou de sa décadence, et rendre au commerce l'influence qu'il doit avoir. Seconde partie: des transactions commerciales et des moyens de leur donner une régularité plus uniforme; nécessité d'un code de lois qui défende l'indépendance du commerce; proposition d'une garantie publique contre les banqueroutes et la mauvaise foi des faillis; indication des moyens d'instruction les plus propres à ceux qui se destinent au commerce; projet d'écoles oú les principes et la comptablilité commerciale seraient mis à la portée de tout le monde. Voir surtout, dans la première partie, les chapitres sur l'impôt, le luxe, les privilèges, maîtrises et corporations. Vital-Roux précise qu'il n'a parlé de l'agriculture, dans le cours de son ouvrage, 'que par indication, et comme pour rappeler qu'elle doit être comprise dans toutes les institutions en faveur du commerce'. Vital-Roux s'est également interdit toute espèce de discussion sur les colonies' (INED). ‎

Reference : 17246

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