Reliure plein cuir orné à froid, tête dorée, dos à nerfs avec titre doré, couverture conservée, 19X13 cm, 1936, 205 pages, illustrations en couleurs de Paul-Emile Bécat, un des 3000 exemplaire numérotés sur vélin des papeteries Prioux, collection contes de France et d'ailleurs, édition d'art H. Piazza. Bon exemplaire.
Reference : 29760
Bouquinerie Latulu
Madame Véronique Genest
13 rue de la Madeleine
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France
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Sans lieu, ni nom ( Miséré), 1934. 1 volume in-4° oblong cousu par une cordelette noire ; couverture beige imprimée et illustrée en noir ; 22 feuillets non chiffrés dont le feuillet de justification, chaque feuillet gravé, de papier japon très mince, est protégé par un feuillet vierge de papier plus épais.Taches d'encre au 1er plat , déchirure sans manque au dos, très pale trace de mouillure angulaire aux 2 derniers feuillets de protection et au 2ème plat, sans atteinte aux gravures; petites piqûres à 3 feuillets, petit arrachage dans la marge interne du 1er feuillet..
Ce rare recueil renferme :Justification- Dédicace ( à Madame Lauth-Sand )- Préface de Hugues Lapaire ( 2 feuillets)- Sur la place (bois de Miséré) -Texte de Jacques des Gachons illustré d'un bois de Miséré- L' Eglise ( bois de Miséré)- Sous la guenillère ( bois de Miséré)- Le Château (bois de miséré)- Nohant , poème d' Emile Vinchon illustré d'un bois de Miséré- Le Pavillon ( bois de Miséré) - Le parc ( bois de Miséré)- Le perron ( bois de miséré)- Sur la Tombe de George Sand .Poéme de Gabriel Nigond orné par Miséré- Sous l' if ( bois de Miséré) - Le Théatre de Maurice ( bois de Miséré)- Marionnettes par Aurore Sand ( 2 feuillets) - Deux Marionnettes du Théatre de Maurice :Balandar et le pompier ( bois de Miséré) - Un coin du salon ( bois de Miséré) - Au Chevet de l' église ( bois de Miséré). Table . Première édition et 1er tirage de cet ouvrage rare entièrement gravé sur bois par le peintre berrichon Adolphe Miséré. Tirage sur japon vergé limité à 170 exemplaires, celui-ci n° 42, avec envoi autographe signé de Miséré ( Reu-CH1)
Andover, Phillimore, 2010, in 4°, cartonnage vert de l'éditeur, jaquette illustrée, XV-144 pages ; très nombreuses illustrations en noir et en couleurs.
Bel exemplaire de la première biographie de cet artiste. Adolphe Valette est né à Saint-Etienne en 1876, et mort à Lyon en 1942. Ouvrage édité à l'occasion de l'exposition de 2010 au Musée Allard à Montbrison. PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
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FLESSELLES, comtesse de (17.. -1828) / GULDENSTUBBE, Julie de (1827-1888) / GUAITA, Stanislas de (1861-1897)
Reference : 9197
3018 A Paris, chez Vernarel et Tenon, libraires, rue Haute-Feuille, no 30, 1824. Trois volumes in-12° (108 x 170 mm) de X+214 / [4]+228 / [4]+214 pages, reliures de lépoque en demi-veau vert, dos lisse orné de filets. Ex-libris manuscrits: «J. de Guldenstubbé» et «Stanislaï de Guaita».«La personne, auteur des ouvrages publiés sous le pseudonyme de la comtesse de Flesselles, ainsi que de ceux publiés sous celui de la comtesse de Flamerand , était sur dun ambassadeur près dune cour du Nord, sous le gouvernement impérial. Une faute grave, commise par cette personne, et qui lui valut une correction judiciaire, mit sa famille dans la nécessité de la contraindre à changer de nom. Cette dame est morte institutrice à Melun, en 1828» (Quérard, 1829, III, 132); on ne sait aujourdhui rien de plus sur cette mystérieuse enseignante. Adolphe raconte les tribulations de sages familles bourgeoises lancées dans les tempêtes de la Révolution, et bientôt aux prises avec le «mal absolu»: les Illuminés, ou plus précisément les Rose-Croix. Si les souvenirs révolutionnaires reviennent naturellement souvent dans luvre de la soi-disant comtesse, le thème occultiste ne se retrouve guère que dans Adolphe.
Lex-libris manuscrit de «J. de Guldenstubbé» est celui de Julie Wilhelmine von Guldenstubbé (Saaremaa, Estonie, 1827- Paris, 1888), célèbre médium de noble origine balto-suédoise médium installé depuis la fin des années 1840 à Paris chez son frère, Johann Ludwig von Guldenstubbé (Saaremaa, Estonie, 1817-Paris, 1873), philosophe, spirite et ésotériste. Pour la petite histoire, cest Julie de Guldenstubbé qui rapporta le cas fameux dEmilie Sagée, une jeune professeure de français employée en 1845 en Lettonie, qui aurait eu la faculté de se dédoubler, au grand effroi de ses élèves. Lautre ex-libris manuscrit est celui de Stanislas de Guaita (Tarquimpol, Moselle, 1861-Tarquimpol, 1897) poète et occultiste, cofondateur, en 1888, avec Papus (1865-1916) et Péladan (1858-1918), de lOrdre kabbalistique de la Rose-Croix. Autour de la marque «Ex libris kabbalisticis Stanislaï de Guaita», on lit dabord: «(10 francs. 3 vol. in-12, œ reliés)». «Acheté à la vente dOurches-Guldenstubbé (Bâle, mars 1890) ». Puis ce commentaire: «Très curieux ouvrage où, (comme dans le Comte de Gabalis, quoiquavec moins de profondeur), on met en uvre les traditions daïmoniques [sic!] des Rose-Croix. Ce livre paraît écrit avec une parfaite sincérité; en somme il peut compter dans la collection des ouvrages et des mémoires sur lilluminisme». Lexemplaire figure au no 327 du catalogue de vente «Stanislas de Guaita et sa bibliothèque occulte», Paris, librairie Dorbon, 1899, avec la note suivante: «Très curieux ouvrage où, comme dans le Comte de Gabalis, on met en oeuvre les traditions daïmoniques des Rose-Croix. Ce livre paraît écrit avec une parfaite sincérité: en somme il peut compter dans la collection des ouvrages et des mémoires sur lIlluminisme. Exemplaire ayant successivement fait partie des bibliothèques occultes du comte [Didier-Balthazar] dOurches [(ca 1785/87-1867), lun des pionniers du spiritisme à Paris], baron J. de Guldenstubbé et de St. de Guaita avec leurs signatures. Frontispice à la manière noire». Concernant lex-libris Guldenstubbé, il ne doit pas sagir du baron, dont le prénom usuellement utilisé était plutôt Ludwig ou Louis, et non Johann ou Jean, mais bien de sa soeur, Julie, lécriture apparaissant du reste plutôt féminine. Quoi quil en soit, un bel ouvrage et des provenances prestigieuses.
1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-maroquin vert à grain long, dos à 4 nerfs orné, Pagnerre, Paris, 1860, 2 ff., frontispice, 552 pp. [ On joint : ] "Appel au Public", prospectus d'Adolphe Sax, Imp. J. Kugelmann, Paris, s.d. [ circa 1874-1880 ? ], 4 pp.
Exceptionnel exemplaire de l'édition originale de la biographie très détaillée d'Adolphe Sax (1814-1894), l'inventeur du saxophone et du saxhorn, dédicacé par l'auteur et enrichi d'un billet autogaphe signé d'Adolphe Sax monté en tête : "Mon cher ami, la Cour en audience solennelle vient de prononcer ma réhabilitation". L'exemplaire est enrichi d'une superbe dédicace d'Oscar Comettant à l'écrivain Jules Lecomte : "Acceptez, cher Mr Jules Lecomte, cet exemplaire d'une histoire commencée au moment où le héros qui en est le sujet semblait ne plus tenir à ce monde que par un fil, le bistouri. Le bistouri a été écarté, le héros se porte à merveille, en vie [...... ] sa vie, ce qui, je l'espère, n'offusquera personne, pas même la faculté de médecine qui l'avait déclaré mort, et même un peu enterré, je crois. Paris, 19 décembre 1859". On joint un "Appel au Public" d'Adolphe Sax dans lequel il demande le soutien du public contre ses contrefacteurs, et évoque son deuxième dépôt de bilan en 1873 ainsi que les effets néfastes de la "dissimulation d'une réhabilitation légalement établie", ce qui fait écho aux termes de son billet autographe. Né à Bordeaux, le musicologue Oscar Comettant (1819-1898) fut aussi un voyageur fameux (notamment aux Etats-Unis, au Danemark ou en Australie), plus intéressé aux institutions, à la vie politique et à l'éducation qu'aux grands paysages. Comettant sait être didactique (il use souvent de dialogues fictifs très accessibles pour exposer les sujets les plus complexes) et précis dans cet ouvrage étonnant, publié alors que son contemporain Adolphe Sax n'avait que 56 ans ; mais Sax avait alors déjà inventé le saxophone, le saxhorn, le saxotrombas, développé le clairon et les ancêtres du trombone à coulisse et du saxtubas, et perfectionné le hautbois ; en 1876, il inventera le tuba wagnérien. Etat très satisfaisant (petits mq. de cuir aux mors en coiffes, petit accroc sans mq. à un feuillet du prospectus, petites mouill. marginales, bon exemplaire par ailleurs) pour cet exemplaire exceptionnel provenant de la bibliothèque de l'écrivain Jules Lecomte (1810-1864) et qui fut vendu en 1864 lors de la dispersion aux enchères de ses nombreux livres (on le retrouve sous le numéro 112 du "Catalogue" de cette vente).
1908 Paris, Juven (Collection "Les Maitres Humoristes"), 1908, 2 ouvrages réunis en un volume grand in 8°, cartonnage illustré de l'éditeur ; petits frottis.
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