Broché, 24X15 cm, 1998, 558 pages, éditions Flammarion. Marques mineures, bon exemplaire.
Reference : 28299
Bouquinerie Latulu
Madame Véronique Genest
13 rue de la Madeleine
25000 Besançon
France
33 03 81 81 23 66
A nos prix il convient d'ajouter les frais de transport. Envoi soigné dès réception des règlements. <br />Nous acceptons les cartes bancaires (Eurocard, Mastercard et Visa), les virements, et les chèques en euros si ils sont compensables dans une banque française. <br /> Les photos de notre catalogue sont celles de nos ouvrages. Nous essayons de faire une description précise de l'état de chaque livre, si un défaut nous a échappé et si vous n'êtes pas satisfait, prenez contact pour le retour de votre ouvrage. <br /> Merci pour votre confiance.
FLAMMARION.. 1998.. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 557 pages. 1ère de couverture illustrée en couleurs.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Roman. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
FLAMMARION. 1998. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 557 pages. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Flammarion / Fiction française 1998 560 pages in8. 1998. Broché. 560 pages. «Je retiens mon souffle - Comment lui dire ces années de ténèbres et de feu l'or jeté à poignées sur les tables de monte les filles enlevées sur les côtes de Chine du Pérou du Chili et vendues aux enchères sur le wharf de Clark's Point San Francisco brûlant comme une torche sous les acclamations des fêtards ivres morts et reconstruite le lendemain sur les cendres brûlantes et tous ces malheureux qui mouraient par milliers dans la Sierra lointaine de faim de froid de maladie fouillant toujours plus loin à la recherche du mother lode avec dans les yeux des rêves de terre promise : tant de misères et tant de démesure ! Oui comment lui dire le vent du désert la course des chevaux le «you you» des Indiens et cette fièvre aussi cette fureur qui nous précipita la tête embrasée de chimères dans le Sonora inconnu ? Des montagnes d'or en plein royaume apache divaguaient les soldats un monde à conquérir où tout recommencer ! Et nous pauvres fous si sûrs que l'univers entier tenait dans le creux de nos mains...»
Bon Etat légèrement jauni