Genève, Barbezat, 1829. 4 volumes in-8°, XXXVI-384-404-424-570p. Brochés.
Reference : 38598
Edition originale. Dos fendillés, avec manque en pieds du premier et du troisième volume. Exemplaire de travail.
Le Cabinet d'Amateur
M. Marc Mettler
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«The first French edition» imprimée de 1825 à 1829 is «quite rare». « Aventurier vénitien des plus célèbres, Balzac, Théophile Gautier, Roger de Beauvoir se sont inspirés de certains chapitres des Mémoires de Casanova, lesquels parurent en pleine effervescence romantique ». Carteret. Paris, Tournachon-Molin, 1825-1829. 14 volumes, [iv], xxviii, 246 + [iv], 310 + [iv], 272 + [iv], 288 + [iv], 250 + [iv], 258 + [iv], 237, (1) f. + [iv], xii, 278 + [iv] + 292 + [iv], 299 + [iv], 288 + [iv], 292 + [iv], 284 + [iv], 346 p. Reliés en pleine basane blonde racinée, roulette dorée en encadrement autour des plats, dos lisses ornés, roulette dorée sur les coupes, charnières et coiffes légèrement frottées. Reliure de l’époque. 166 x 93 mm.
“The first French edition” (J. Rives Childs) (1956). “Quite rare” (J. Rive Childs). Mémoires…. Publiés en Allemagne, et traduits par M. Aubert de Vitry, traducteur des Mémoires de Goethe, etc. avec une préface par de Vitry. “The German edition of the Memoirs had been received so favorably that a Paris editor decided to bring out this pirated edition. It is thus the first French edition. However, it is not the first French edition of the original French text but a translation of the Schütz edition and is therefore a translation of a translation.” (J. Rives Childs). Cette première édition française de 1825-1829 a une valeur identique à celle de l’édition française en 12 volumes imprimée de 1826 à 1838: «Brought 10000 francs at auction in Paris in 1945; 15000 in 1948; quoted at $ 150 in NY in 1945 pour l’édition de 1825-1829 contre 15500 Francs en 1946 pour l’édition Brockhaus de 1826-1838 et 100 à 150 $ en 1955.» Les Mémoires de Casanova sont écrits en français. G. de Schutz publie d'abord une version allemande. L'édition publiée à Paris chez Tournechon-Molin en 1825 est une traduction de la version allemande. « Aventurier vénitien des plus célèbres, Balzac, Théophile Gautier, Roger de Beauvoir se sont inspirés de certains chapitres des Mémoires de Casanova, lesquels parurent en pleine effervescence romantique ». Carteret. « Je considère les Mémoires de Casanova comme la véritable Encyclopédie du XVIIIesiècle ». Blaise Cendrars. « Casanova, cet esprit sans pareil, dont chaque mot est un trait et chaque pensée un livre ! » Le Prince de Ligne. Tour à tour aventurier, diplomate, escroc, Giacomo Casanova (1725-1798) a aussi été le seul prisonnier à s'évader de la prison des Plombs, à Venise. A d'autres moments de sa vie, il fait partie des intellectuels de l'époque, il est reçu dans les cours européennes. Devenu riche il mène une vie de folie et de désordre. Il est arrêté par l'Inquisition. Il s'évade et, arrivé à Paris en 1757, se met en rapport avec le maréchal de Richelieu, Crébillon, Voisenon, Fontenelle, Favart, Rousseau. A Genève en 1760, il se présente à Voltaire. À Londres, il rencontre le chevalier d'Éon et le roi Georges III, à Berlin, il fréquente Frédéric II puis, à Saint-Pétersbourg, il a plusieurs entrevues avec Catherine II. Dans ses Mémoires, Casanova dresse un tableau des mœurs de la France de Louis XV, de l’Italie et des cours de l’Europe en général. « We know from the Memoires that he was constantly writing and that his baggage comprised in considerable part his papers ». J. Rives Childs, Casanoviana, p. 108. On a dit que les Mémoires de Casanova étaient des Anticonfessions. « Je n'écris ni l'histoire d'un illustre, ni un roman. Digne ou indigne, ma vie est ma matière, ma matière est ma vie. L'ayant faite sans avoir jamais cru que l'envie de l'écrire me viendrait, elle peut avoir un caractère intéressant qu'elle n'aurait peut-être pas, si je l'avais faite avec l'intention de l'écrire dans mes vieux jours, et qui plus est de la publier ». « Lecteur attentif des œuvres autobiographiques de Saint Augustin, de Montaigne et du marquis d'Argent, Casanova connaît l'œuvre de Rousseau qu'il critique souvent mais sans pouvoir cacher une admiration mêlée d'envie. Il dira « Je ne donnerai pas à mon histoire le titre de Confessions car, depuis qu'un extravagant l'a souillé, je ne peux plus le souffrir. Mais elle sera une confession si jamais il en fut. On me dira qu'un livre qui alarme la vertu est mauvais. J'avoue que ceux dont la vertu préférée est la chasteté doivent s'abstenir de me lire... ». L'influence de l'ouvrage s'étend outremer. Un article publié dans la North American Review, datée de 1835, est consacré aux Mémoires de Casanova: « It presents a curious and not uninstructive picture of the state of society in Europe at the period immediately preceding the French Revolution ». L'auteur de l'article évoque l'arrestation de l'auteur par l'Inquisition pour en faire un élément de comparaison entre les politiques européenne et américaine « The constant repetition of similar cases of the violation of private right by the old governments of Europe was among the causes that operated most strongly in bringing on the revolutionary movements of the last century. We are not blind to the inconveniences, abuses and dangers of our political system, but it gives us a permanent national peace, instead of the wars that constantly desolate Europe ». (The North American Review, xli, p.46-69). En 1834, l’ouvrage est mis à l’index des livres interdits. « Vendus au grand jour ou sous le manteau, les Mémoires firent un tapage d'enfer, et partout l'on en parla, soit pour douter de leur authenticité, soit pour discuter la véracité des confessions amoureuses du Vénitien, soit pour s'en inspirer dans les milieux romantiques Balzac, Théophile Gautier, Gorge Sand, Roger de Beauvoir, Eugène Sue, avant Émile Zola et Pierre Louys puisèrent au gré de leur imagination dans le vaste réservoir d'aventures que Casanova mettait à leur disposition. C’est surtout à la suite de la «grande guerre», que le prix de n'importe quelle œuvre de Jacques Casanova devint inabordable et chimérique. L'édition Brockhaus oscillait par exemple entre 99 francs, reliée (vente P.-A. Chéramy), et 405 francs, brochée (même vente, vacation du lundi 21 avril 1913). En 1917, la vente J. P. (Bosse, expert), cette édition, en demi-reliure basane, tranches jaspées, trouvait acquéreur à 295 francs. N’espérez pas désormais obtenir un exemplaire moins d'un billet de mille ou de 1500 francs, quand l'occasion se présentera si elle se présente !...» (J. Pollio). Le dernier exemplaire référencé sur le marché français, relié en demi veau postérieur avec rousseurs, fut vendu 75000 Francs en mai 1996 (11500 € il y a 26 ans). « La plus grande acquisition patrimoniale » de la Bibliothèque nationale de France a été finalisée le 18 février 2010. Le Ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, a signé l'acte qui fait officiellement entrer à la B.n.F. les manuscrits des Mémoires de Casanova ; il s'agit d'un manuscrit de 3 700 pages non reliées déclaré « bien d'intérêt patrimonial majeur». L'objet excitait la convoitise des grandes bibliothèques et des collectionneurs du monde entier depuis les années 1960. Giacomo Girolano Casanova tour à tour financier, diplomate, escroc, joueur, mais toujours intellectuel éclairé à sa manière, entame la rédaction de ses mémoires dans un français parsemé de ratures et d'italianismes, aux alentours de 1789. Autant dire « au crépuscule de son existence comme au crépuscule du siècle » agité par les « tourments révolutionnaires », a signalé le ministre de la Culture. Il aura fallu trois ans et l'intervention d'un généreux mécène du milieu de la finance, ayant déboursé près de 7 millions d'euros, pour finaliser cette acquisition exceptionnelle. Lors de la cérémonie, le ministre de la Culture a rendu hommage à « l'un des grands auteurs de la littérature française du XVIIIe siècle » et à sa « liberté de ton et de propos qui se nourrit d'une vraie liberté de conduite ». Précieux exemplaire, pur et sans rousseur, de la plus extrême rareté en pleine reliure décorée de l’époque.
Reference : 7016
Paris, Pichon-Béchet, successeur de Béchet aîné, 1827. 25 vol. in-8 cartonnés rouge. Tome I : Mémoires de Sir Philippe Warwick sur le règne de Charles 1er, et ce qui s'est passé depuis la mort de Charles 1er jusqu'à la restauration des Stuart. Tomes II et III : Histoire du Long-Parlement convoqué par Charles 1er en 1640 ; par Thomas May, secrétaire du Parlement. Tome IV : Mémoires de John Price, chapelain de Monk, sur la restauration des Stuart. Tome V : Mémoires de Hollis, Mémoires de Huntington, Mémoires de Fairfax. Tomes VI à VIII : Mémoires de Ludlow. Tome IX : Procès de Charles 1er. Eikon Basilikè, Apologie attribuée à Charles 1er, Mémoires de Charles II, sur sa fuite après la bataille de Worcester. Tomes X et XI : Mémoires de Mistriss Hutchinson. Tomes XII à XV : Mémoires de Lord Clarendon, Grand-Chancelier d'Angleterre sous le règne de Charles II. Tome XVI : Journal de Lord Henri Clarendon, fils du Comte de Clarendon, Grand-Chancelier d'Angleterre, sur les années 1687, 1688, 1689 et 1690. Tomes XVII à XX : Histoire de mon temps, par Burnet, Evêque de Salisbury. Tome XXI : Mémoires de Sir John Reresby, Mémoires du Duc de Buckingham. Tomes XXII à XXV : Mémoires de Jacques II.Bon état général : rousseurs in-t. n'altérant pas la lecture ; couvertures : usure d'usage : coiffes et coins un peu émoussées - 2ème plat du tome XI plus usé sur tranche et bord (1er plat plus légèrement frotté sur tranche) - encoches de coiffe (bas du 1er plat) des tomes I et X abîmées - 2 dos décolorés : tomes 21 et 23, les autres légèrement passés.
Première édition des Mémoires de La Rochefoucauld, publiée de son vivant, dans laquelle les noms propres ont été imprimés en italique. Cologne, P. Van Dyck (Bruxelles, Foppens, à la Sphère), 1677. Petit in-12, de (2) ff. et 360 pp., plein veau brun granité, filet à froid autour des plats, armoiries de François-Alexandre-Frédéric de La Rochefoucauld, Duc de La Rochefoucauld, né le 11 janvier 1747, dos à nerfs orné, coupes décorées, tranches granitées, petite découpe sur le feuillet de titre sans atteinte au texte. Reliure armoriée de l’époque. 142 x 78 mm.
Première édition des Mémoires de La Rochefoucauld, publiée de son vivant, dans laquelle les noms propres ont été imprimés en italique. L’édition originale fut imprimée en 1662. Il y a de légères différences dans l'Avis au lecteur. Le libraire annonce la présente « impression de ce Recueil plus correcte et plus exacte que n'avaient esté les précédentes », mais il ne l'annonce pas plus ample ; par conséquent, les additions de l'édition de 1672 ne s'y trouvent pas. Ces célèbres Mémoires couvrent les années 1624-1652, l’une des périodes les plus fiévreuses et les plus confuses de l’histoire de France, et mettent en scène les principaux protagonistes de la fronde : Madame de Chevreuse d'abord, à laquelle le jeune LaRochefoucauld eut le tort de s'attacher en arrivant à la Cour. Cette femme qui se servait de tous ses charmes, pour réussir dans ses desseins, avait encouragé Buckingham à courtiser la reine Anned'Autriche ; La Rochefoucauld nous conte cette aventure dont il connut le détail, et c'est dans son texte qu'Alexandre Dumas père puisa certains épisodes des Trois Mousquetaires et notamment celui des ferrets de diamants. Après la mort de Louis xiii et de Richelieu, La Rochefoucauld espéra une récompense pour le dévouement qu'il avait témoigné à la reine ; mais celle-ci s'était liée avec Mazarin et Mazarin avait hérité les inimitiés de son prédécesseur. Il tint La Rochefoucauld à l'écart du gouvernement et lui refusa même le tabouret de duchesse qu'il avait demandé pour sa femme. Ulcéré, le jeune homme se tourna vers le parti des mécontents, dont Condé et Conti prenaient la tête ; il y fut retenu par Madame de Longueville, sœur de ces deux princes, pour laquelle il semble avoir conçu une violente passion, bien qu'il nous déclare assez perfidement ne s'être servi d'elle que « comme hausse-pied de sa fortune ». Quand Mazarin eût fait arrêter les princes (18 janvier 160), La Rochefoucauld s'enfuit dans ses terres de Poitou et rallia la Fronde bordelaise. «Par leur intérêt historique et psychologique, par leur style élégant et bien charpenté, ces mémoires se placent au premier rang du genre littéraire qu’elles représentent.» (Laffont-Bompiani). Précieux et savoureux exemplaire des « Mémoires de La Rochefoucauld» conservé dans sa reliure en veau ancien aux armes de François de La Rochefoucauld. Ce dernier possédait aussi les Maximes de La Rochefoucauld reliées à ses propres armes. François-Alexandre-Frédéric de la Rochefoucauld, duc de Liancourt, puis d’Estissac, puis de la Rochefoucauld, fils de Louis-François-Armand, grand maître de la garde-robe, et de Marie de la Rochefoucauld, né à la Roche-Guyon (Seine-et-Oise) le 11 janvier 1747, servit d’abord dans les carabiniers et se maria très jeune, le 10 septembre 1764, avec Félicité-Sophie de Lannion ; il obtint en janvier 1768 la survivance de la charge de grand maître de la garde-robe, mais, ayant déplu à Madame Du Barry, il quitta la cour pour se consacrer à l'agriculture ; il établit une ferme modèle dans sa terre de Liancourt et y fonda pour les enfants des militaires pauvres, une école d’arts et métiers qui prit une grande extension et qui fut l’origine de l’école de Châlons. Le duc de Liancourt fut promu colonel en 1770, puis brigadier de dragons le 5 décembre 1781, et reçut la charge de notaire royal pour le marquisat d’AIlium, autrement dit de Maigelay, le 23 novembre 1785. La noblesse du bailliage de Clermont-en-Beauvaisis l’envoya siéger aux États généraux en 1789 ; le duc de Liancourt s’y montra le défenseur à la fois de la royauté et des libertés publiques ; président de l’Assemblée nationale le 18 juillet 1789, lieutenant général au gouvernement de Normandie, il dut s’enfuir, après le 10 août 1792, en Angleterre où il fut accueilli par Arthur Young. Il prit le titre de duc de la Rochefoucauld après l’assassinat de Louis-Alexandre, son cousin (14 septembre 1792), visita l’Amérique du Nord et revint en France en 1799.
Paris, Librairie de Firmin Didot Frères, 1846. Un vol. au format in-12 (178 x 115 mm) de 2 ff. n.fol., 524 pp. et 1 f. n.fol. Reliure de l'époque de demi-basane glacée fauve, dos lisse richement orné de filets gras et maigres dorés, filets sinusoïdaux dorés, larges fleurons dorés, pièce de titre de maroquin ébène, titre doré, large palette dorée en queue, tranches mouchetées.
Exemplaire revêtu d'une agréable reliure du temps. A la fin des Mémoires de Madame du Hausset se trouvent des ''Morceaux historiques servant d'éclaircissements'', savoir : Spectacles des petits cabinets de Louis XV - De la destruction des Jésuites en France - Article de M. de Meilhan sur le duc de Choiseul - Sur le Dauphin - Sur Madame la duchesse de Grammont - Notice sur le cardinal de Bernis. ''On pénètre avec Madame Hausset dans les appartements les plus secrets de Madame de Pompadour ; on y découvre ainsi les plus mystérieuses intrigues, du temps où le crédit de la favorite était le mieux affermi''. (in Avertissement des Editeurs). ''Certes, la vie privée, la vie intime de LouisXV n’est qu’un très petit chapitre dans l’histoire du XVIIIesiècle, mais, lorsqu’on s’en tient aux témoins sûrs, aux témoins proches, aux personnes qui ont vu et entendu ce qu’elles rapportent, on se rend compte bien vite que ces témoins sont très peu nombreux et que, pour le temps de Mmede Pompadour en particulier, on les compte sur les doigts de la main. Ses mémoires nous affirment que Mmede Pompadour avait en elle une confiance totale, que le Roi l’admettait en tiers lorsqu’il venait bavarder avec sa mal-tresse. Mmedu Hausset rapporte ici nombre de détails pénibles pour son ancienne maîtresse, notamment ses interventions à propos des accouchements du Parc aux Cerfs, son régime d’aphrodisiaques, son incapacité à satisfaire les désirs amoureux du roi.'' (Pierre Gaxotte). Quant aux Mémoires de Bachaumont, ils constituent un ''ouvrage très important pour l'histoire des moeurs à la fin du XVIIIème siècle en France''. (in Graesse). Publiés pour la première fois en 1777, alors que tous les personnages mise en jeu dans ce tableau exact et fidèle s'agitaient encore sur la scène du monde, les Mémoires secrets renfermaient trop d'éléments de succès pour n'être pas accueillis avec une faveur marquée.'' (in Préface). Angles émoussés. Petit manque superficiel affectant la marge gauche du premier plat. Frottements affectant le papier marbré des plats. Cerne claire dans le corps d'ouvrage ; laquelle a entraîné une irisation en marge supérieure des derniers feuillets.
Londres, John Adamson, 1784-1789. 36 vol. in-12, demi-basane, dos lisse orné de filets dorés, le tome 34 est relié dans une reliure différente, la table est brochée (reliure de l'époque). Joint : Table alphabétique des auteurs et personnages cités dans les mémoires secrets. Bruxelles, 1866.
Collection complète des Mémoires secrets, dits de Bachaumont, qui constituent une des sources les plus abondantes et les plus précieuses pour l'étude du XVIIIe siècle. Les Mémoires secrets se voulaient l'écho de la vie publique et mondaine de leur temps et ils y sont parvenus. Rien ne manque à ce véritable répertoire, ni les événements politiques, littéraires et dramatiques les plus saillants, ni le menu détail des anecdotes, chansons, épigrammes, et autres pièces fugitives qui faisaient les délices de la société parisienne, pas même les rumeurs, fausses ou avérées, qui conditionnent les esprits et forgent les opinions.Bon exemplaire. Quelques traces de mouillure ; quelques feuillets abimés dans les marges. Joint le volume de table broché : Table alphabétique des auteurs et personnages cités dans les Mémoires secrets (Bruxelles, 1866), tirée à 200 exemplaires. Hatin, 66-67 ; Sgard, 904.