Paris-Bièvres, Pierre de Tartas, 1968. In-folio, CXVIIIp. en feuilles, sous couverture illustrée rempliée et étui-boîte de toile verte doublée de velours noir.
Reference : 31822
Edition de luxe au tirage limité à 232 exemplaires illustré de 20 gravures originales sur cuivre de Pierre-Yves Trémois. Celui-ci est un des 25 exemplaires numérotés en romains sur vélin d'Arches réservés au collaborateurs. Enrichi d'un d'un dessin original et d'un envoi autographe signé de Trémois. Traduction de André Berry. Commentaires de Jean Rostand. Exemplaire en parfaite condition.
Le Cabinet d'Amateur
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Albin Michel 1988, fort in/8 relié, reliure éditeur en pleine toile bleu avec jaquette en couleurs, 795 pages.
"Ce troisième volume de La Poésie du XX siècle intitulé "Métamorphoses et Modernité" forme, avec les deux précédents, un seul et même ouvrage. Il s'agit avant tout d'une galerie de portraits des poètes et de leurs oeuvres. On y rencontre tout d'abord des créateurs qui ont établi de nouveaux rapports entre les choses et les mots : Ponge, Tardieu, Frénaud, Guillevic, Follain, Tortel, des aînés maîtres de la poésie la plus jeune et dynamique. Suivent ceux qu'ont tenté les explorations spirituelles : "Cosmogonie" de Pierre Emmanuel, "Somme" de Patrice de La Tour du Pin, voix diverses : Cayrol, Estang, Grosjean, Loys Masson, Renard, Le Quintrec, Vigée, Guerne, Pierre Oster, le plus proche de la modernité, des dizaines d'autres. Toute une génération nous a permis un "Éloge de la diversité", de Jacques Audiberti à "Des contemporains remarquables" : Claude Roy, Fouchet, Robin, Becker, Borne, Seghers, Clancier, Thomas Decaunes, Mallet, les poètes des temps noirs, et Ganzo, Lubin, Cassou, Lescure... Sous le titre "Les Sources fraîches", rencontres avec Fombeure, Cadou, Bérimont, Manoll, Rousselot, Chaulot, Guillaume, Lacôte, Béarn, Cousin, leur environnement poétique, Rochefort, La Tour de Feu (car les titres de revues parsèment cet ouvrage). Puis viendront des célébrateurs de toutes sortes : du monde agreste, de l'amour, de l'intériorité, de la poésie populaire, du rire même. Ou a recherché aussi "Le Voisinage des genres", dramaturges, romanciers, critiques qui sont parallèlement poètes. Et voici les hommes de la vie présente, immédiate, ceux de "La Poésie pour vivre", ceux des révoltes, colères, engagements, avant qu'un hommage soit rendu à de grands disparus, à des destins maudits ou malheureux..."
Précieux exemplaire, de toute rareté en très plaisante condition d’époque, de cette belle et importante édition illustrée d’un grand texte littéraire qui connut un succès considérable au XVIe siècle. Lyon, C. Davost pour Et. Gueymard, 1510.In-4 de (6) ff., 219 ff., (9) ff., 16 gravures sur bois dans le texte, un trou de vers habilement restauré sans manque en marge des 2 premiers ff., pte. mouillure en marge d’une dizaine de ff., annotations manuscrites de l’époque au second contreplat.Veau brun souple, plats entièrement ornés d’un large encadrement de fleurons à froid et d’un rectangle central orné de filets à froid et de 4 larges fleurons à la rose à froid, dos à nerfs refait. Reliure de l’époque.249 x 135 mm.
Précieuse édition, la première lyonnaise illustrée, des Métamorphoses d’Ovide.Baudrier, Bibliographie lyonnaise, XI-223 ; Mortimer-Harvard, French, n°397 ; Brun, Le Livre français illustré de la Renaissance, 262 ; Du Plessis, Essai bibliographique sur les différentes éditions des œuvres d’Ovide, n°25 ; Sander II, n°5330 pour l’illustration de 1497 ; manque à Brunet, Murray et Rothschild.« ‘Les Métamorphoses’ est le titre de plusieurs ouvrages de l’antiquité qui, sous une forme épique, racontent les transformations des hommes en animaux, sources, arbres, et objets divers et qui s’appuient sur des traditions populaires et fabuleuses à propos de personnages déterminés.‘Les Métamorphoses d’Ovide’ est un poème épique latin composé de 15 livres. L’œuvre (une des plus significatives de la littérature de la Rome antique) comprend, en plus de 12 000 vers, le récit de 246 fables sur les métamorphoses, disposées chronologiquement depuis le chaos jusqu’à la métamorphose en étoile de Jules César…La tendance au galant, au piquant, à un certain athéisme, l’indifférence à la vie politique témoignent de cette jeunesse dorée impériale, dont le poète était l’un des plus honnêtes représentants et pour laquelle, recherché et applaudi, il écrivait tous ses poèmes…La vitalité de l’œuvre est inépuisable ; le Moyen-Age ne la jugea pas inférieure aux œuvres de Virgile ; au XIIIe siècle, on assistera enfin à une véritable Renaissance ovidienne. En Italie, en France, en Allemagne, il fut le manuel d’amour. Il eut une notable influence sur l’anglais Chaucer, sur toute la poésie humaniste italienne, sur le style savant et sur les poèmes des philologues franco-hollandais. » (Dictionnaire des Œuvres, IV, 544).Elle est ornée, en premier tirage, de 16 belles gravures sur bois, dont l’une répétée.Les deux premières ont été rehaussées de jaune à l’époque.Elles ornent le titre imprimé en rouge et noir et le début de chacun des 15 livres, au sein d’un grand encadrement gravé.Cette belle suite de 15 bois est attribuée au peintre de la ville, Guillaume II Leroy qui a ainsi réalisé une interprétation très libre et réduite des bois dessinés pour l’illustration de l’édition des Métamorphoses imprimée par Giovanni Rosso pour Luc Antonio Giunta à Venise en 1497 et dont le style annonçait les gravures célèbres du Songe de Poliphile de 1499.Comme le précise Brun (Le Livre français illustré de la Renaissance), cette inspiration est interprétée « avec une bonhommie toute française » par l’artiste G. Leroy. De très belles initiales historiées complètent cette belle ornementation. Parmi les livres illustrés marquants de G. Leroy, figurent également la Bible de 1513, chez Gueynard et le « Catalogus gloriae mundi » de Barthélémy de Chassenux (1529).Les Métamorphoses d’Ovide connurent un succès spectaculaire près du public lettré. C’est ainsi qu’en France, au cours du XVIe siècle sont dénombrées une soixantaine d’éditions. Cette édition de 1510 revêt une importance toute particulière puisque, première illustrée à paraitre à Lyon, c’est également la première à être augmentée des « Arguments » de Lactance Placide. Ces résumés placés en tête de chacune des fables seront par la suite systématiquement réimprimés dans les éditions ultérieures.Figure aussi pour la première fois le commentaire de Lavinius du Livre I qui démontre combien les Métamorphoses sont utiles au Christianisme : elles glorifient les vertus des héros et stigmatisent la bestialité du vice.Précieux exemplaire, de toute rareté en très plaisante condition d’époque, de cette belle et importante édition illustrée d’un grand texte littéraire qui connut un succès considérable au XVIe siècle.
A Paris, chez Bailly, rue Saint-Honoré, barriere des Sergens, 1767-1770, 4 volumes in-4 de 260x190 mm environ, Tome 1. 1f.blanc, faux-titre, 3ff. de dédicace gravées, titre en rouge et noir avec vignette, cx-1f. (approbation et privilège)-264 pages, avec les planches numérotése de 1 à 48, 1f.blanc, - Tome 2. 1f.blanc, viij-355 pages, 1f.blanc, Avec les planches numérotées de 49 à 81, - Tome 3. 1f.blanc, viij-360 pages, Avec les planches numérotées de 82 à 118, - Tome 4. 1f.blanc, faux-titre, titre en rouge et noir, 6 (pages d'Explication des vignettes et fleurons de Métamorphoses)-367 pages, 1f.blanc, Avec les planches numérotées de 119 à 140, et une planche : Fin des estampes des Métamorphoses, avec les noms des artistes dans une guirlande de médaillons tenue par un angelot, édition enrichie de 30 vignettes placées à chacun des livres et de 4 fleurons aux titres des 4 volumes, reliures plein granité fauve, dos à nerfs ornés, portant titres et tomaisons dorés sur pièces en maroquin bordeaux, ornés de caissons à fleurons et motifs dorés, plats encadrés d'un triple filet doré, coupes et chasses dorées, gardes de couleurs, tranches dorées. Une coiffe ébréchée, des coins dénudés, début de fente sur un mors, des rousseurs cernes et pages brunies, petits défauts sur le cuir. Texte bilingue Latin avec la traduction en regard.
Les Métamorphoses (en latin Metamorph se n libr , « Livres des métamorphoses ») sont un long poème latin d'Ovide, dont la composition débute probablement en l'an 1. L'uvre comprend quinze livres (près de douze mille vers) écrits en hexamètres dactyliques et regroupe plusieurs centaines de récits courts sur le thème des métamorphoses issus de la mythologie grecque et de la mythologie romaine, organisés selon une structure complexe et souvent imbriqués les uns dans les autres. La structure générale du poème suit une progression chronologique, depuis la création du monde jusqu'à l'époque où vit l'auteur, c'est-à-dire le règne de l'empereur Auguste. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Léonard Gaultier Chez la Veuve Matthieu Guillemot 11 x 17,5 Paris 1616 Trois volumes petits in-8, reliure uniforme demi-vélin fin XIXe, dos lisses ornés de roulettes et de filets dorés, pièces de titre de cuir fauve, titres dorés, plats et gardes marbrés. Premier volume : page de titre absente, [Veuve Guillemot, 1606 ? plutôt que 1614 ?], [14]-frontispice-801[19] pp., 15 gravures en ouverture de chaque livre dont certaines signées du graveur Léonard Gaultier, table in fine. Notre exemplaire est sans page de titre, ni privilège. Il s'ouvre directement sur "L'élégie pour Ovide", du poète originaire de Moulins et ami de Renouard, Jean de Lingendes, contemporain d'Honoré d'Urfé, suivie de vers du poète berruyer Pierre Motin "A Monsieur Renouard sur la traduction des Métamorphoses d'Ovide" et des "Stances sur les métamorphoses d'Ovide traduictes par Monsieur Renouard" signées D. DM, suivies des "Métamorphoses d'Ovide" en quinze livres et d'une table des matières. Deuxième volume : "Le jugement de Paris", Paris, chez la Veuve Matthieu Guillemot, 1616, frontispice gravé sur bois par Léonard Gaultier, dédicace à "Louyse de Lorraine Princesse de Conty" ornée d'une vignette et lettrine, stances de Jean de Lingendes, texte en prose de Nicolas Renouard, suivi des "Remèdes contre l'amour", Paris, chez la Veuve Matthieu Guillemot, 1616, [8]-48 et 30 p. Troisième volume : "XV discours sur les métamorphoses d'Ovide, contenant l'explication morale des fables", Paris, chez la Veuve Matthieu Guillemot, 1625, 314 p., vignettes et lettrines. Bon ensemble sans rousseurs, belles gravures et frontispices de Gaultier, premières pages et gravure du 4ème livre du premier volume habilement restaurées sans manque de texte au verso, petite étiquette en tête du second volume. (EvB73) PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST Livre
Authentique gravure XIXe aux coloris éclatants Tiré de la collection des planches " Les métamorphoses du jours, 1869 ". Jean-Ignace-Isidore Gérard, dit Grandville (1803-1847) : dessinateur, aquarelliste, caricaturiste, lithographe. C'est en 1829, à 26 ans qu'il se rendit célèbre du jour au lendemain avec la parution chez Bulla de ses "Métamorphoses du jour", dont les caricatures d'hommes à têtes d'animaux s'attirèrent sur le champ autant de louanges que d'imitateurs. 71 lithographies composent les "Métamorphoses du jour", parues d'août 1828 à juin 1829 (deux seront éditées un an plus tard). Elles sont présentées par la préface d'Achille Comte comme des "apologues aimables qui sont à la fois la peinture vivante de nos moeurs sociales et la satire des institutions.". format de la planche environ 25cm x 15cm, signée Grandville Parfait état de ces rares tirages de l'époque, les meilleures années & les plus recherchées ! D'autres gravures en vente , groupez les achats ! Frais de port identiques pour achat de plusieurs gravures. ref/7