‎[ASSIETTE AU BEURRE] - EMERY (Lucien)‎
‎Les instituteurs.‎

‎[Ecole Normale d’instituteurs d’Auteuil] Coinciade. 52e promotion.‎

‎, , 1923-1926. Cahier in-4 de (200) ff. ronéotypés, toile imprimée de l'époque. Au recto : Coinciade 52me promotion. Au verso : ENA . ‎

‎Journal des élèves de l'École Normale d’instituteurs d’Auteuil (promotion 1923-1926) illustré de très nombreux pochoirs. « Il a été tiré de ce chef d'oeuvre quarante-sept exemplaires sur papier pur « fil » vendu par l'Économat, numérotés de 1 à 47 ; un exemplaire sur pap's de planches pour le Fêlon et un exemplaire sur pap's à gog's pour le Tuss. Cet exemplaire qui porte le numéro 9 appartient à M. Colas Michel ». ‎

‎Les instituteurs syndiqués et la classe ouvrière. Les syndicats de fonctionnaires.‎

‎Couverture souple. Brochure de 86 pages. 12 x 18 cm.‎

‎Livre. I : Documents. II : Opinions. Syndicat des instituteurs (Collection : Fédération des syndicats d'institutrices et d'instituteurs de France), Vers 1907.‎

‎Nous, les maîtres d'école , Autobiographies d'instituteurs de la Belle Epoque présentées par Jacques Ozouf‎

‎Gallimard et Julliard , Collection Archives Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1973 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, illustrée d'un encrier en couleurs et d'une photographie d'un instituteur In-8 1 vol. - 269 pages‎

‎16 planches hors-texte totalisant 34 documents, photographies et fac-similés en noir édition de 1973 en poche Contents, Chapitres : Sur la demande de l'auteur, quatre mille instituteurs ont rassemblé leurs souvenirs, lettres, carnets et journaux. - Notes et références, sources et bibliographie. - Les instituteurs se racontent - Trois vies (Un militant du bocage vendéen - Une jeune fille rangée - Une carrière exemplaire) - Devenir instituteur - Faire la classe - Gagner sa vie - Forcer l'estime - Servir la République - Un catéchisme républicain - Rester entre soi - Et si c'était à refaire - Jacques Ozouf, né le 8 septembre 1928 à Alençon et mort le 29 juillet 2006 à Limogne-en-Quercy, est un historien français, spécialiste de l'histoire française des XIXe et XXe siècles. - Neveu du résistant Pierre Brossolette, il adhère au PCF, mais le quitte après l'insurrection de Budapest en 1956. Très attaché aux valeurs républicaines laïques, il entreprend, avec l'aide de sa femme, un travail porté sur les instituteurs de l'école publique d'avant-guerre. En 1971, il devient directeur d'étude à l'EHESS. Il participe également au débat public dans des revues comme Le Nouvel Observateur et Esprit. Il est considéré comme un des meilleurs spécialistes de l'analyse électorale de son époque. (source : Wikipedia) couverture à peine jaunie avec d'infimes traces de pliures aux coins des plats, intérieur frais et propre, papier à peine jauni, quelques rousseurs sur les tranches n'affectant pas l'intérieur, cela reste un bon exemplaire, bien complet des 16 planches hors-texte - format de poche‎

‎Crapouillot-N° 51-Janvier 1961-N° spécial: les Instituteurs. ‎

‎Paris, Crapouillot, s.d. ; in-4, 74 pp., couverture et cahiers agrafés. Sommaire: Pierre Dominique: l'Enseignement primaire en France jusqu'à 1900./ Michelet: l'Éducation du peuple./ Péguy: les Maître d'école./ Lucien Leray et Jean Maitron, instituteurs: les Instituteurs, le mouvement ouvrier et la Première Guerre mondiale./ Patrice Boussel: l'Instituteur, personnage de roman./ L. Delachance, instituteur: Confession./ Maurice Dommanget, ancien instituteur: Luttes et réalisation de 1919 à 1960./ Pierre Labracherie: Instituteurs écrivains. Bon état.‎

‎Instituteurs pacifistes et syndicalistes. Mémoires de F. Mayoux.‎

‎ Chamalières, Editions Canope, 1992, gr. in-8°, 363 pp, introduction de Daniel Guérin, postface de Madeleine Rébérioux, 8 pl. de photos hors texte, annexes, notices biographiques, broché, couv. illustrée, bon état‎

‎Le 21 août 1902, Marie Gouranchat, l'institutrice de Beaulieu-sur-Sonnette (Charente) épouse François Mayoux, le casseur de cailloux. Il a quitté la communale à treize ans. A vingt ans, il prépare le Brevet élémentaire et devient à son tour instituteur. Le 23 mai 1918, elle entre à St-Lazare, lui à la Santé. La brochure "Les Instituteurs syndicalistes et la guerre" vient de leur valoir deux ans de prison. Révoqués de l'Enseignement, ils ne seront réintégrés qu'en 1924. Dès 1905, ils militent au Parti Socialiste. Ils le quittent le 3 novembre 1919. Adhérents au Parti Communiste dès sa fondation, ils font partie des premiers exclus en 1922 : champions intraitables de l'indépendance du syndicalisme, ils refusent la mainmise du parti sur les syndicats. Adhérents de la C.G.T.U., ils en sont exclus tous les deux en 1929. Jusqu'à leur retraite, les Mayoux ne démentiront pas la légende qu'on leur a faite d'avoir été des "extrémistes irréductibles". (Daniel Guérin) — "Frank Mayoux a mis au point les mémoires de son arrière grand-père François Mayoux (1882-1967) revus par sa femme Marie (1878-1969). Il s'agit d'un document important pour l'histoire des instituteurs, du pacifisme du PCF et du syndicalisme. Le récit part de l'entrée dans l'enseignement en Charente, expose la lutte contre la guerre et le procès provoqué par la brochure “Les Instituteurs syndicalistes et la guerre”. Il traite ensuite du combat minoritaire et de la prison (1917-1919). La dernière partie raconte l'exclusion du PCF puis de la CGTU, la réintégration et les dernières années de militantisme avec la publicité du manuel “Notre point de vue...” À partir de 1937, le couple Mayoux se retire de l'action. « Nous avons la conscience en paix. Notre tâche a été bien modeste, mais nous n'avons jamais vendu, ni donné, notre âme au diable »." (Revue française de science politique, 1993) ‎