‎ORIEUX (Jean)‎
‎Menus plaisirs ‎

‎DESCRIPTION DU MAUSOLEE ERIGE DANS L'EGLISE DE L'ABBAYE ROYALE DE SAINT-DENYS, LE 27 JUILLET 1774, POUR LES OBSEQUES DE TRES-GRAND, TRES-HAUT, TRES-PUISSANT, ET TRES-EXCELLENT PRINCE, LOUIS XV, LE BIEN-AIME, ROI DE FRANCE ET DE NAVARRE.Cette pompe funèbre ordonnée par M. le duc d'Aumont, pair de France, premier gentilhomme de la Chambre du Roi, chevalier de ses ordres, a été conduite par M. Papillon de La Ferté, intendant & controleur général de l'argenterie, menus, plaisirs & affaires de la Chambre de sa Majesté, trésorier & intendant des menus, plaisirs de Monsieur.Sur les desseins de sieur Michel-Ange Challe, chevalier de l'ordre du Roi, professeur de son Académie de Peinture, & dessinateur ordinaire de sa Chambre & de son cabinet.La sculpture est faite par le sieur Bocciardi, sculpteur des menus, plaisirs du Roi.‎

‎ Paris, de l'imprimerie de P. R. C. Ballard, seul imprimeur, pour la musique de la Chambre, & menus, plaisirs du Roi, & de Monseigneur le Comte d'Artois, 1774, 1 cahiers debrochés, sous couverture muette d'attente, teintée de noir, perte de teinture au dos et sur les bords, exemplaire à rebrocher ou relier. in-4 de 24 pages + 4 planches dessinées par Michel-Ange Challe et gravées par Louis-Simon Lempereur, Bandeau dessiné par Moreau le Jeune, légères mouillures sur la marge centrale des 2 premiers cahiers ; ‎

‎Denis Pierre Jean Papillon de La Ferté, intendant des Menus plaisirs de la Maison du roi. Né à Châlons-en-Champagne. Nommé commissaire du roi auprès de l’Académie de musique, il exerça, à l’Opéra, une influence dominante. ‎

‎LE MAGASIN PITTORESQUE - Livraison n°21 - L'Hôtel des Menus Plaisirs à Versailles - Assemblée nationale de 1789.‎

‎Aux bureaux d'abonnement et de vente - Paris quai des Grands Augustins.. mai 1882. In-12. Broché. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 8 pages environ illustrées de gravures en noir et blanc dans le texte. Paginées de 161 à 168.. . . . Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque‎

‎L'hôtel des Menus PLaisirs à versailles avec gravure dans el texte de l'entrée de l'ancien hôtel des Menus Plaisirs. Estampe allégorique par Sébastien Leclerc - Madame Guyon avec gravure dans le texte du fac similé d'une estampe allégorique par S. leclerc. Billet de banque chinois datant du 14ème siècle illustré d'une gravure dans le texte du papier-monnaie de la dynastie des Ming. Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque‎

‎Partition de la chanson : Femme canon (La) Dans la revue Les Menus Plaisirs de l'Année Chansonnette Théâtre des Menus-Plaisirs‎

‎ Le Bailly,Bornemann 1878‎

‎ Très bon état Petit format ‎

‎Menus Plaisirs‎

‎Paris Robert Laffont 1946 187 pages in-8. 1946. broché. 187 pages. In-8 broché (188x120 mm) 187 pages. Les trois piliers - Menus Plaisirs 1. Ex. n° 176 (Un des 180) - Collection Stendhal. Couverture en très bon état général avec le dos un peu bruni. Intérieur propre. Poids : 150 gr‎

‎[ Deux lettres autographes signées, adressées à Théodore Massiac, collaborateur au Gil Blas : ] 1 L.A.S. de 2 pages, non datée : [ Sorti tard des répétitions, il s'excuse de ne pouvoir s'être rendu au Gil Blas, et lui transmets quelques notes : ] "Pas grand chose d'ailleurs à vous donner, comme indiscrétions. Le plus intéressant là-dedans c'est le début de Mily Meyer aux variétés ! C'est une [...] et une féticheuse. Elle avait eu dans "Benjamine" un succès personnel très grand. Réfugiée aux Variétés, à la suite de ce succès, elle a tenu à y débuter sous le patronage des auteurs de "Joséphine vendue par ses soeurs". Aussi, dans le concours de pièces proposées pour elle, penchait-elle obstinément pour une pièce de Ferrier et Carré. Et voilà comment je suis entré aux Variétés... pour la première fois. Il y a vingt ans que je connais Bertrand [... ] jamais je n'avais été joué. Carré lui avait eu "La nuit de noce P.L.M." moi rien. J'ai passé par tous les Théâtres de Paris, depuis l'Opéra & le Français jusqu'aux Menus Plaisirs & même Beaumarchais ! La glace est rompue... j'espère. Mily joue une petite bouquetière des rues - et Baron une sorte de gouapeux vif, querelleur, bruyant... mais pas filou ! [ Là on retrouvera des souvenirs d'avocats : Carré l'est encore - moi je l'ai été. J'aurais même continué cette carrière... à Montpellier, mon barreau natal, sans une circonstance assez particulière : j'avais vingt ans et une jeune moustache. Vint un Président du Tribunal qui ressuscitant de vieux règlements exigea la suppression de nos moustaches. Je jetai ma robe aux orties et je vins faire du Théâtre à Paris. Il y a vingt ans de cela... hélas ! Carré lui continue à défendre la veuve, l'orphelin [... ] ; [On joint : ] 1 L.A.S. d'une page‎

‎2 L.A.S. à savoir 1 L.A.S. de 2 pages, non datée [ circa 1887 ? ]: [ Sorti tard des répétitions, il s'excuse de ne pouvoir s'être rendu au Gil Blas, et lui transmets quelques notes : ] "Pas grand chose d'ailleurs à vous donner, comme indiscrétions. Le plus intéressant là-dedans c'est le début de Mily Meyer aux variétés ! C'est une [...] et une féticheuse. Elle avait eu dans "Benjamine" un succès personnel très grand. Réfugiée aux Variétés, à la suite de ce succès, elle a tenu à y débuter sous le patronage des auteurs de "Joséphine vendue par ses soeurs". Aussi, dans le concours de pièces proposées pour elle, penchait-elle obstinément pour une pièce de Ferrier et Carré. Et voilà comment je suis entré aux Variétés... pour la première fois. Il y a vingt ans que je connais Bertrand [... ] jamais je n'avais été joué. Carré lui avait eu "La nuit de noce P.L.M." moi rien. J'ai passé par tous les Théâtres de Paris, depuis l'Opéra & le Français jusqu'aux Menus Plaisirs & même Beaumarchais ! La glace est rompue... j'espère. Mily joue une petite bouquetière des rues - et Baron une sorte de gouapeux vif, querelleur, bruyant... mais pas filou ! [ Là on retrouvera des souvenirs d'avocats : Carré l'est encore - moi je l'ai été. J'aurais même continué cette carrière... à Montpellier, mon barreau natal, sans une circonstance assez particulière : j'avais vingt ans et une jeune moustache. Vint un Président du Tribunal qui ressuscitant de vieux règlements exigea la suppression de nos moustaches. Je jetai ma robe aux orties et je vins faire du Théâtre à Paris. Il y a vingt ans de cela... hélas ! Carré lui continue à défendre la veuve, l'orphelin [... ] ; [On joint : ] 1 L.A.S. d'une page‎

‎Très intéressante lettre autographe signée dans laquelle l'écrivain et librettiste Paul Ferrier (1843-1920) évoque sa collaboration avec Fabrice Carré, sa jeunesse d'avocat (et sa robe jetée aux orties pour une moustache !), et évoque la soprano Emilie Mily-Meyer qui tient le premier rôle dans leur dernière oeuvre.‎