Paris. Payot, 1941, Un Vol. Gr. In-8, 246 pp.,6 cartes h.t. Br.
Reference : 13873
bon état ,
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Reliure toile de l'éditeur, 20X13 cm, 1963, 378 pages, collection le mémorial des siècles, un des 2000 exemplaires numérotés, le club des libraires de France. Bon exemplaire.
Payot, 1957, in-8°, 246 pp, 7 cartes (4 sur double page), biblio, broché, couv. illustrée, bon état (Bibliothèque Historique)
L'un des plus fameux conquérants de l'Orient. "L'auteur possède ce rare talent de réveiller un passé millénaire, d'animer des ruines enfouies sous les sables..." – "M. Albert Champdor a su joindre à la précision documentée de l'historien un sentiment très vif de la couleur..." — Timour, plus connu sous le nom de Tamerlan (du persan Timur(-i) Lang, qui signifie littéralement « Timour le Boiteux »), né à la fin des années 1320 ou en 1336, dans l'actuel Ouzbékistan, et mort en 1405 à Otrar dans l'actuel Kazakhstan, est un conquérant turco-mongol du XIVe siècle, le premier dirigeant de la dynastie des Timourides. Tamerlan mène des campagnes militaires à travers l'Asie occidentale, méridionale et centrale, le Caucase et le sud de la Russie, battant au passage la Horde d'Or, les Mamelouks d'Égypte et de Syrie, l'Empire ottoman émergeant, ainsi que le Sultanat de Delhi en Inde, et tente même de restaurer la dynastie Yuan en Chine. Se désignant lui-même comme « l'Épée de l'Islam », il émerge en tant que dirigeant le plus puissant du monde musulman. À partir de ces conquêtes, il fonde l'Empire timouride, qui se fragmente peu après sa mort. Commandant militaire invaincu, il est largement considéré comme l'un des plus grands chefs militaires et tacticiens de l'histoire, ainsi que comme l'un des plus brutaux et des plus meurtriers.
Reference : albe710f4920d7beff6
Tamerlan. Autobiography. Statute. The Tale of Aksak-Timir. The Tale of Genghis Khan. In Russian (ask us if in doubt)/Tamerlan. Avtobiografiya. Ulozhenie. Skazanie ob Aksak-Timire. Skazanie o Chingiskhane. Translated from Jagatai and Turkic by V. Panov N. Ostroumov. Series: Anthology of Wisdom. M. EXMO 2006. 512s. SKUalbe710f4920d7beff6.
Fayard, 1994, in-8°, 380 pp, 3 cartes, glossaire, généalogies, chronologie, biblio, index, reliure souple éditeur
Tamerlan (1336-1405) a laissé dans l'histoire un souvenir qui rivalise presque avec celui de Gengis Khan. Ce Mongol turquisé régna trente-cinq ans, de 1370 à 1404, à Samarkande, et mena inlassablement des campagnes militaires, toutes victorieuses, qui le conduisirent de Delhi à la mer Egée, de Damas au Turkestan chinois. Entreprises au nom de la guerre sainte musulmane, par un étrange paradoxe, elles eurent pour résultat essentiel la ruine ou l'affaiblissement des plus grandes puissances de l'Islam. Il y a un mystère Tamerlan et même un véritable mythe, né sans doute de ses retentissants succès et aussi de la complexité du personnage. Imprégné des traditions païennes de l'Asie centrale, il se posait en musulman fervent. Boiteux, infirme du bras et de la main, il avait une énergie et une résistance physiques sans égales. Ne pouvant supporter qu'on évoquât devant lui les horreurs de la guerre, il laissait publier, souvent avec une exagération manifeste, le récit de ses innombrables meurtres, et faisait édifier, partout où il allait, des minarets de crânes. Destructeur de villes millénaires, il construisait en même temps dans sa capitale les plus somptueux édifices et jetait les fondements de la Renaissance timouride, l'un des plus beaux fleurons de la religion musulmane. Son époque fut, comme lui-même, au confluent de deux cultures – celle de l'Asie centrale, chamaniste et nomade, et celle de l'Iran, musulmane et sédentaire. Avec ses incroyables raids équestres s'achève le temps où les cavaliers armés d'arcs et de flèches imposaient leur loi dans toute l'Eurasie. — "L'historien Jean-Paul Roux retrace l'itinéraire de ce génie militaire qui bouleversa pour plusieurs siècles l'échiquier du monde." (Pierre Chaunu)
Fayard/GLM, 1991, in-8°, 380 pp, 3 cartes, glossaire, généalogies, chronologie, biblio, index, cart. éditeur, jaquette illustrée, bon état.
Tamerlan (1336-1405) a laissé dans l'histoire un souvenir qui rivalise presque avec celui de Gengis Khan. Ce Mongol turquisé régna trente-cinq ans, de 1370 à 1404, à Samarkande, et mena inlassablement des campagnes militaires, toutes victorieuses, qui le conduisirent de Delhi à la mer Egée, de Damas au Turkestan chinois. Entreprises au nom de la guerre sainte musulmane, par un étrange paradoxe, elles eurent pour résultat essentiel la ruine ou l'affaiblissement des plus grandes puissances de l'Islam. Il y a un mystère Tamerlan et même un véritable mythe, né sans doute de ses retentissants succès et aussi de la complexité du personnage. Imprégné des traditions païennes de l'Asie centrale, il se posait en musulman fervent. Boiteux, infirme du bras et de la main, il avait une énergie et une résistance physiques sans égales. Ne pouvant supporter qu'on évoquât devant lui les horreurs de la guerre, il laissait publier, souvent avec une exagération manifeste, le récit de ses innombrables meurtres, et faisait édifier, partout où il allait, des minarets de crânes. Destructeur de villes millénaires, il construisait en même temps dans sa capitale les plus somptueux édifices et jetait les fondements de la Renaissance timouride, l'un des plus beaux fleurons de la religion musulmane. Son époque fut, comme lui-même, au confluent de deux cultures – celle de l'Asie centrale, chamaniste et nomade, et celle de l'Iran, musulmane et sédentaire. Avec ses incroyables raids équestres s'achève le temps où les cavaliers armés d'arcs et de flèches imposaient leur loi dans toute l'Eurasie. — "L'historien Jean-Paul Roux retrace l'itinéraire de ce génie militaire qui bouleversa pour plusieurs siècles l'échiquier du monde." (Pierre Chaunu)