Auch : [s.n.?]IN8,broché,
Reference : 13683
.Bon état.
Livres Anciens Komar
M. Vladimir Komar
11 place de l'église
83136 Meounes les Montrieux
France
33 04 94 63 34 56
33\+ 04 94 63 34 56 de 14 à 17h., 7/7 jours, seules les commandes au dessus de 30 Euros sont prises en considération pour des raisons de santé, depuis janvier 2023, a condition que le client indique son adresse complete, merci d'eviter les fichiers joints, dans les courriels, en cas d'ouvrages vendus il est répondu par e-mail dans les 48 h. Pour les ouvrages en stock , la confirmation "pret à l'envoi" , est éffectuée par e-mail , téléphone , fax ou courrier , uniquement aprés que les références soient sorties du stock, ce qui peut prendre un temps variable , il est donc préferable d'attendre la confirmation , pour adresser le règlement , port en colissimo direct jusqu'a 30 €, si plus élevée majoré pour le port recommandé - forfait jusqu'à 1 kg. -pour la France . ; pour des commandes superieures a 30 € et jusqu'à 150 €. de commande- frais réels au dessus - assurance obligatoire comprise -les factures pro-forma ne sont adressées , aprés demande , que pour les commandes d'un montant supérieur à 50€ , Règlement uniquement par chéque de banque francaise ou mandat à l'ordre de V.KOMAR CCP. MARSEILLE 1054 82 U. pour virement international veuillez demandez l'IBAN , les reservations sont limitées a 7 jours ouvres, au dela elles ne sont pas garanties, commandes minimales de 30€ provisoirement.
1937 Pau Imprimerie Marrimpouey Jeune 1937 plaquette in°8 broché 11 pp
Très bon état Envoi en Mondial Relay pour la France Métropolitaine, l'Allemagne, l'Autriche, Belgique, Espagne, Italie, Luxembourg, Pays-Bas et PortugalPour l'étranger, envoi en tarif "livres et brochures" pour les commandes inférieures à 50 , au dessus en colissimo international.
Paris, Imprimerie de Lottin l'aîné, & J. R. Lottin, 1790, in-8, 4 pp., 248 pp., demi-veau havane, dos lisse orné de filets noirs et dorés, coins en vélin vert, tranches mouchetées (reliure du XIXe). Dos légèrement frotté.
Jacques Godard (1762-1791) se signala par ses opinions "patriotiques" dès l'agitation qui précéda la prise de la Bastille ; il est plus connu pour ses actions en faveur des Juifs, mais son rôle dans la première Commune de Paris ne doit pas non plus être négligé. Il mourut prématurément de fièvres peu de temps après son élection à l'Assemblée législative.Tourneux II, 5564. Martin & Walter, 15 069.RELIÉ AVEC sept autres pièces relatives à l'activité de la Commune en 1789-1790 : I. [ROUSSEAU (Jean-Joseph), GRANDIN (Jean-Jacques) :] Lettre et arrêtés relatifs à l'assassinat de M. Planter, négociant à Vernonet, & la mission de MM. Rousseau & Grandin, représentans de la Commune de Paris, députés à Vernon. [Paris], Imprimerie de Lottin l'aîné, & Lottin de S. Germain, 1789, 19 pp. Martin & Walter, 30 107. Sur une tentative de lynchage par la foule du minotier Jean-Michel Planter (1733-1810), le tout dans un contexte d'exaspération lié aux difficultés d'approvisionnement en grains. - II. [MANUSCRIT]. Discours composé par MM. Rousseau et Grandin, députés de la Commune de Paris à Vernon, et prononcé par M. Rousseau dans l'assemblée générale du 14 janvier 1790, pour répondre aux inculpations qui leur avoient été faites dans le rapport de l'affaire de M. Dières. S.l.n.d., [7] ff. n. ch., couverts d'une écriture fine et lisible (environ 25 lignes par page). Il s'agit de la mission des deux représentants à Vernon (cf. I), mais ce texte semble n'avoir pas connu de version imprimée. - III. FAUCHET (Claude) : Discours sur la liberté françoise, prononcé le mercredi 5 août 1789, dans l'église paroissiale de S. Jacques & des SS. Innocens, durant une solemnité consacrée à la mémoire des citoyens qui sont morts à la prise de la Bastille, pour la défense de la patrie. Paris, Bailly, Desenne, Lottin de S. Germain, Cussac, 1789, titre, 16 pp. Martin et Walter, 13088. - IV. FAUCHET : Troisième discours sur la liberté françoise, prononcé, le dimanche 27 septembre 1789, dans l'église de Notre-Dame, pour la bénédiction générale de tous les drapeaux de la Garde-Nationale parisienne, M. l'archevêque de Paris, officiant. En présence de M. Bailly, maire ; de M. de La Fayette, commandant général ; de MM. les députés de Paris à l'Assemblée nationale ; de MM. les représentans de la Commune, & de MM. les députés de tous les districts de Paris. Paris, Bailly, Desenne, Lottin de S. Germain, Cussac, 1789, 30 pp. Martin & Walter, 13091 (trois éditions différentes). - V. Discours prononcé par le Roi, à l'Assemblée nationale, le 4 février 1790. [Paris], Baudouin, s.d. [1790], 8 pp. - VI. FAUCHET : Oraison funèbre de Charles-Michel de l'Épée, prêtre, avocat au Parlement, de la Société philanthropique, inventeur de la méthode pour l'instruction des sourds & muets de naissance, & leur premier instituteur ; prononcée dans l'église paroissiale de S. -Étienne du Mont, le mardi 23 février 1790, d'après la délibération de la Commune de Paris, en présence de la députation de l'Assemblée nationale, de M. le maire & de l'assemblée générale des représentans de la Commune. Paris, J.-R. Lottin de S-Germain, 1790, 51 pp. Martin et Walter, 13094. - VII. Adresse de l'assemblée électorale du département de Paris à l'Assemblée nationale. Séance du mardi soir 14 décembre 1790. Paris, Imprimerie électorale, 1790, titre, 18 pp. Exemplaire de l'érudit montreuillois Charles Henneguier (1811-1872), avec cachet humide au titre. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Superbe exemplaire relié aux armes de Daniel-Charles Trudaine de Montigny, intendant des finances et directeur des ponts et chaussées. Paris, P.G. Le Mercier, 1752. Grand in-8 de (1) f.bl., (2) ff., 135 pp., (1) f.bl. Relié en plein maroquin rouge de l’époque, triple filet doré encadrant les plats, armoiries frappées or au centre des plats, dos à nerfs ornés de fleurons dorés, filet doré sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées. Reliure de l’époque. 200 x 126 mm.
Edition originale du compte-rendu des délibérations de l’assemblée générale tenue par la compagnie du canal de Provence en avril 1752. « Volume tiré à petit nombre pour les propriétaires de la concession faite par le roi pour la dérivation des eaux de la Durance. Exemplaire aux armes de Trudaine conseiller d’Etat et directeur des ponts et chaussées. » Morgand et Fatout, 10881. Afin d’appuyer son projet de Canal de Provence, l’auteur, Jacques-André Floquet, architecte et ingénieur hydraulique né en Provence, a donné plusieurs ouvrages et devis sur le canal projeté en Provence, depuis 1742 jusqu’en 1752. Ce vaste projet ambitionnait d'alimenter Aix, Marseille et leurs environs, d'eaux déviées de la Durance. « Jean-André Floquet, ingénieur hydraulique, est connu pour avoir fait commencer un canal qui portait les eaux de la Durance dans le territoire de Cadenet, lieu de sa naissance, et surtout pour avoir fait mettre la main à une entreprise de ce genre dans le but de conduire ces mêmes eaux à Marseille, entreprise qui ne fut point continuée, Richelieu ayant refusé de fournir les fonds nécessaires qu’il avait promis ; c’est alors que Floquet s’étant plaint avec trop de vivacité du manque de foi du ministre, celui-ci le fit enfermer à la Bastille où le chagrin avança le jour de sa mort arrivée le 18 décembre 1771. Ainsi furent récompensées les vues utiles de cet ingénieur ; ainsi furent payés le zèle et l’activité qu’il avait déployés en faisant faire des nivellements, en dressant des plans et en formant une compagnie. Les travaux de ce canal d’arrosage, de flottaison et de navigation, qui devait fertiliser et enrichir la Provence, furent commencés en septembre 1752 et interrompus en 1754, Floquet ayant commencé de s’en occuper en 1733, et en ayant acquis le privilège qui jadis avait été accordé à la maison d’Oppède, en 1507, 1619, 1648 et 1677, par Louis XI, Louis XII et Louis XIV. Le point de départ était pris dans le territoire de Jouques, au rocher dit de Canterperdrix, qui avance dans le lit de la Durance, et à travers l’épaisseur duquel l’eau devait arriver dans le canal en question, descendre de là jusqu’au bassin de partage établi dans le territoire de Lambèse, et parcourir une longueur de 65000 toises, de la Durance aux environs de la Visto (près de Marseille) à 7000 toises de la mer, dans laquelle cette branche aurait eu son embouchure, tandis qu’une autre se serait déchargée dans le Rhône près de Tarascon, vis-à-vis de Beaucaire. » C.-F.-H. Barjavel, Dictionnaire historique, biographique et bibliographique du département de Vaucluse, I, pp. 489-490. « Les autres intéressés composaient avec l’auteur de l’entreprise l’ancienne compagnie du canal. C’est avec les secours résultants du prix des associations, & avec ses propres fonds, que le sieur Floquet a, depuis 1733, jusqu’en 1749, fourni aux frais indispensables qui devaient précéder le commencement des travaux, comme ceux de recherches, de reconnoissements, de nivellements, de voyages, &c... A cette dernière époque, la compagnie trouva enfin qu’il était juste que les dépenses préliminaires se firent désormais en commun. Pour y parvenir, elle délibéra sur les mesures qu’elle devait prendre, & qu’elle prit en effet pour remplir cet objet. Il serait inutile d’en faire ici mention ; mais on ne peut se dispenser de faire connaître les moyens qu’elle employa pour se procurer les fonds nécessaires à la construction du canal : moyens qui, comme on le verra, occasionnèrent par la suite la cessation des travaux. Ce que l’on va dire à ce sujet, est d’après les registres de l’ancienne compagnie, & d’une délibération prise dans son assemblée-générale du 18. avril 1752. Cette délibération a été imprimée, ainsi qu’un mémoire sommaire, pour servir d’instruction aux intéressés au canal, mémoire dressé en exécution des délibérations de ladite assemblée-générale. » Abbé Expilly, Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France, V, p.885. Précieux exemplaire relié en maroquin rouge de l’époque aux armes de Daniel-Charles Trudaine de Montigny (1703-1769). Daniel-Charles Trudaine de Montigny, fils de Charles, prévôt des marchands de Paris, et de Renée-Madeleine de Rambouillet de la Sablière, né à Paris le 3 janvier 1703, devint successivement conseiller au Parlement de cette ville, maitre des requêtes, intendant d’Auvergne, conseiller d’Etat en 1734, intendant des finances en mars 1756 et directeur des ponts et chaussées ; il fut aussi reçu membre de l’Académie des sciences. Il mourut à Paris le 19 janvier 1769. Il avait épousé le 19 février 1727 Marie-Marguerite Chauvin. Olivier, pl. 114. Provenance : des bibliothèques du Comte de Béarn (ex-libris armorié) et André Langlois (avec ex-libris gravé). Le présent exemplaire a également figuré au Bulletin Morgand et Fatout, (n°10881 du Bulletin de Mars 1883).
Fédération française de football. 1956. In-16. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 2 programmes de 2 pages chacun.. . . . Classification Dewey : 796.334-Football
Assemblée générale du 22-23-24 juin de club de Nîmes et Assemblée générale du 21-23 juin 1957 de Grenoble. Classification Dewey : 796.334-Football
S.l. s.d. [1790] in-8 dérelié
titre, 17 pp.Roquincourt, 3625. Sabin, 75187. Ensemble de lettres écrites les 8 août, 9 août et 10 août et adressées aux "Léopardins", ces 85 députés des colons partis le 7 août 1790 défendre la cause de Saint-Domingue devant l'Assemblée nationale