1943 Delmas 1943 ;229 pages, in-8 (20x13 env.), broché, Bon état,,
Reference : 12274
Livres Anciens Komar
M. Vladimir Komar
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DELMAS. 1943. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 229 pages.. . . . Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine
TABLE DES MATIERES : I.— Les souvenirs du journaliste. — Les écrits volent commedes papillons. — Le grave et le plaisant. — Première manifestation politique d’un petit bonhomme. — La Garde Nationale. — De l’Ecole du Moulin au « Moulin Parlementaire ». — Mes premiers honneurs. — On voit grand quand on est petit ..II.— Les Lycéens après la défaite. — Le grave enseignement desMaîtres. — Le Lycée « Louis Barthou ». — Les tableaux du parloir. — Journaux manuscrits. — Neuf années d’internat. — Le beau panorama des Pyrénées et les marchands de soleil. — Le plus beau pays du monde, pour chacun de nous, c’est notre pays. — Notre camarade Louis Barthou..M. — Mon humble carrière administrative. — Des hommes de lettres bureaucrates. — Les jeunes conférenciers. — A 1’ « Union de la Jeunesse ». — La légende napoléonienne et le coup d'Etat. — Le brav’ général. — Les batailles de crabes. — Le « jeune » Millerand. —1 Un beau dépouillement. — Le scrutin de liste de 1885. — Une digression : Clemenceau, Ferry et le Tonkin ..IV. — Mon ami Dollfus et mes débuts journalistiques. — Une œuvre inachevée de bénédictins. — Un admirateur du budget anglais. — « Vive la Pologne, Monsieur ! » — Arrivé par le chapeau, achevé par le chapelier. — Ah ! quel malheur d’avoir un gendre ! — Un voyant qui fut sénateur. — Il fait beau, la route est large ! — Les bataillons scolaires et un futur ministre de la guerre V.— La Ligue des Patriotes devient une ligue politique. — Lagrande bagarre boulangiste. — Le pauvre Jacques. — Du café-concert aux réunions électorales. — Earben-zingue et Barbapoux. — La fuite et les lâcheurs. — Les déçus VI.— Un homme à systèmes. — Un planton, garde national. — Mapremière campagne. — Un brave journal de province. — Mon futur patron. — Mes débuts glorieux. — La candidature Léon Say. — Un royaliste qui s'est converti. — Je fais de la propagande chez ma nourrice. — La première élection de Louis Barthou. — Un montagnard grave le fait rire .VU. — « Voici ma main ! » — Une préface de Coppée et un refus d’Eugène Manuel. — Avec Francis Jammes. — Des livres de prix. — Mon passage à l’Estafette. — Placide Fulminât et Martial Douceret. — Les désillusions d’un marchand de parapluies radical. — Mon aventure au Journal des Débats. — On me confie la rédaction en chef de l’Indépendant. — Emile Garet et le devoir social. — L’apaisement et le ralliement. — Le principe d’autorité ____VIII.— La vie d’un petit journal départemental. — L’influencede la petite presse. — L’ardeur syndicaliste des écrivains cégétistes. — L’utopie et la réalité. — La conscience professionnelle des vrais journalistes. — La Chapelle des Cordeliers et ses desservants. — Les recommandations et les sollicitations. — L’uniforme des députés commissionnaires. — Quelques mots sur la grande Affaire. — L’ex-père Loyson et son rejeton IX.— Léon Say et la bourgeoisie. — M. Canard et l’éloquencesouriante. — « Les Soirées Populaires ». — Sans la France que deviendrait l’harmonie du monde ? — Une préface de Raymond Poincaré. — Les généraux Mercier et Picquart. — Des échanges de balles. — L’ « Histoire du Béarn », de Marca. — Pacifisme et spiritisme X.— Le tunnel international. — Le décintrement d’un pont. — Lacroisade de Charles Benoist. — Les parlementaires et les premiers vols des aviateurs. — Les rois au pays d’Henri IV et de Bernadotte. — Les débuts de Léon Bérard. — L’opinion de Laberdesque. — Deux ans après sa première élection, il entre dans le ministère Poincaré, sur l’insistance de Louis Barthou ..XI.— Les noirs à la Chambre. — Le vice-président Candace. —Une inauguration artistique avec le jeune Albert Sar-raut. — Le Congrès radical-socialiste de Pau. — La guerre aux trois ans. — Le Comité Mascuraud était pour la conciliation ..XII.— Les ministères éphémères : M. Doumergue et M. Ribot. —Les angoissantes élections de 1914. — La Fédération des Gauches, état-major sans troupes. — La coalition des adversaires des trois ans. — La guerre et l’union sacrée. — Ce que disait Jaurès à la veille de sa mort tragique. — Quelques erreurs de M. Viviani. — Défilé de cabinets avant celui de la Victoire ..XIII.— Les Comités secrets et les parlementaires mobilisés. —L’incurie de l'intendance. — Mes articles sur la « situation ». — La foi en la victoire. — Intrigues parlementaires. — Les crédits pour la guerre. — La question du charbon. — Les gothas et la Bertha ..XIV.— Clemenceau fait la guerre. — Inquiétude du public. —Les menées défaitistes. — Ignace et Mandel. — La canaille du « Bonnet Rouge ». — La Haute-Cour juge Malvy, puis Caillaux. — Les verdicts. — L’amnistie. — L’appel aux électeurs .XV.— L’Armistice. — Après plus de quatre ans de valeureuxcombats, l’adversaire se reconnaît vaincu. — Il aurait pu être vainqueur. — Clemenceau, ayant gagné la guerre, veut être l’homme de la paix. — L’émouvante séance du 11 Novembre. — La conférence de la paix et l’influence anglo-saxonne. — L’idéologie de Wilson. — Le couloir de Dantzig. — L’opinion de Nitti et celle de Barthou..XVI.— Au lendemain de l’armistice. — L’entrée des troupes enAlsace-Lorraine. — Poincaré et Clemenceau. — L’enthousiasme général et l’émotion de M. Cachin. — La bagarre électorale reprend avec un système truqué. — Les tribulations de la Proportionnelle XVII.— La R. P. juste et loyale. — En Bretagne, en Béarn. — Lefameux « Bloc National » a-t-il triomphé ? — La préparation du Cartel. — La combinaison Rothschild-Clemenceau et la Présidence de la République. — La courte présidence de M. Deschanel. — La Conférence de Spa. — Un beau 14 Juillet. — Le toast de Foch ..XVni. — L’élection de M. Millerand. — La révision constitutionnelle. — Le Cartel et le coup d’Etat contre le Président. — Vers le scrutin d’arrondissement. — Les radicaux dupés et contents — Le défilé des Présidents de la République. — Le ministère Herriot ..XIX.— La manifestation rouge du Cartel. — Jaurès au Panthéon.—Les cabinets radicaux. — Le slogan : la France est radicale. — Herriot et ses démissions. — Le rôle du nau-frageur. — Un homme susceptible. — La présidence de la Chambre. — Les couloirs et les journalistes parlementaires d’aujourd’hui et d’autrefois. — Batailles de personnes et de clans .XX.— lies partis, les groupes. — Les intérêts électoraux. — Lesdébitants de tabac protégés contre les fumeurs. — La pipe des philosophes. — Erreurs fiscales. — Abus des interpellations. — Le redressement et les idées de rénovation. — Il y a longtemps que des sages réclamaient un nouvel ordre de choses. — Lois sociales et socialismeXXI.—Le désordre parlementaire et l’indifférence des électeurs. —Les courtiers marrons de la politique. — Des bons mots avant les grands maux. — Le commis-voyageur du Scrutin d’arrondissement. — Le triomphe de la bureaucratie. — L’instabilité ministérielle. — Le cas de M. Briand. — Vaines tentatives pour réformer le parler mentarisme. — L’opinion du maréchal Lyautey XXII.— Le règlement de la Chambre. — Quelques enfants ter-ribles. — Amusettes parlementaires. — Le spectacle et la machinerie du Palais-Bourbon. — Pataquès et charabia. — Changement de mots et non d’idées. — Les orateurs lents et les volubiles ..XXIII.— Le scandale Stavisky. — Chautemps et sa famille. —Les brutales maladresses de Daladier. — Les manifestations de la place de la Concorde et des Champs-Elysées. — La révision du gouvernement. — Le désordre s’accroît et Daladier doit se soumettre ou se démettre. —Le gouvernement de M. Doumergue. — Les belles intentions demandaient une belle vigueur. — L’assassinat de Louis Barthou. — Le discours d’Arras, — Les successeurs de M. Doumergue .XXIV.— Léon Bérard et Louis Barthou. — L’Académie françaiseet les Béarnais. — Les académiciens au Parlement. — Les radicaux installés dans la Constitution monarchiste.—Les lauréats du Concours général. — L’union nécessaire des élites. — L’Ecole d’Hossegor XXV.— La majorité du Front Populaire. — Les sabotages de ladéfense nationale. — Les nations n’avaient plus confiance en nous. — Notre diplomatie au cœur Léger. — L’alerte de 1938. — Daladier messager de paix. — Daladier se bat pour la Pologne à laquelle Gamelin n’apporte aucune aide. — Paul Reynaud attendait un miracle. — L’opinion ignorante de tout. — La censure sévit. — Les attentats terroristes XXVI.— De Bordeaux à Vichy. — Pierre Laval et les prépara-tifs de l’Assemblée nationale. — Le Maréchal Pétain. — La future Constitution sera ratifiée par les nouvelles Assemblées et par la nation. — C’est vers l’avenir qu’il faut aller. — La Constitution de 1873 n’avait pas été appliquée. — Il fallait remédier à la faiblesse de l’Exé-cutif. — La notion de l’intérêt général XXVII.— La nation, elle aussi, est responsable du malheur com-mun. — La grande pénitence. — N’attendons pas le salut des symboles et des formules. — Il faut que le pays puisse comprendre. — Un socialisme non défini. — Le marxisme et le socialisme français. — L’organisation corporative de l’Etat. — La France doit être administrée, ravitaillée et entendue. — Nous sommes tous maîtres du destin de notre pays Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine
1943 Paris, Delmas, 1943, petit in 8° broché, 229 pages.
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DELMAS. 1943. In-8. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Dos satisfaisant, Papier jauni. 229 pages - Rousseurs sur le 1er plat.. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
EDITIONS DELMAS. 1943. In-12. Relié. Etat d'usage, Coins frottés, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 229 pages. Dos percaline verte, titres dorés. Papier vert et noir. Premier plat conservé. Bords frottés. Tampons de bibliothèque. Léger accroc sur un mors.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
"Reliure signée ""Union Club Bordelais"". Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française"