HACHETTE 1961
Reference : 1222
cart.ill. ed
Livres Anciens Komar
M. Vladimir Komar
11 place de l'église
83136 Meounes les Montrieux
France
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BUREAUX DU CORRESPONDANT. 10 JANVIER 1878. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 1 à 192. Annotation sur la couverture.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : I.— LE COMTE DE FERSEN ET MARIE-ANTOINETTE, d’aprèsdes DOCUMENTS NOUVEAUX. — M. DE LESCURE.II.- LE PRINCE ALBERT ET LA REINE VICTORIA. LÉO QUESNEL.III.— LE REFUS DU BUDGET. RAUDOT, ancien député.IV.— A TRAVERS L’AUTRICHE. — VII. — les tombeaux impériaux.—MARIE-THÉRÈSE. — L’EMPEREUR FRANÇOIS-JOSEPH ET LA FAMILLE IMPÉRIALE. — LE DIMANCHE A VIENNE. — LES ÉGLISES.—LA MÜSIQUF. — LA DYNASTIE DES STRAUSS. — LES THÉÂTRES.VICTOR TISSOT.V.—KATIA. —-FINR. TOLSTOÏ.VI. —LES FORÊTS DE L’ALGÉRIE.A. DE METZ-NOBLAT.Vif. —MÉDITATIONS DU SOIR..GASTON DAVID.VIII. —MÉLANGES. — les renégats de 89, par M. gaini-RenéTaillandier.F. COLINCAIYIP.VIE, ÉCRITS ET CORRESPONDANCE LITTÉRAIRE D’un SULPICIEN. Mme DE MARCEY.IX. -REVUE DES SCIENCES.HENRI DE PARVîLLE.X. -QUINZAINE POLITIQUE.AUGUSTE BOUCHER. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
BUREAUX DU CORRESPONDANT. 25 JANVIER 1878. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 193 à 384.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : I. — LE ROI VICTOR-EMMANUEL. Cte CONESTABILE.II. — LES RUSSES A KHIVA.. XAVIER MARMIER, de l'Acad.fr.III.— LE COMTE DB FERSEN ET MARIE-ANTOINETTE, d’aprèsDES DOCUMENTS NOUVEAU!. — II M. DE LESCURE.IV.— A TRAVERS L’AUTRICHE — VIII. — les prisons de vienne. ,— l’execütion de hàckler..VICTOR TISSOT,V.— G. COURBET ET LE RÉALISME. CH. TIMBAL.VI.— PR1MAVERA. — I.. M. MARYAN.VII.— UNE MÈRE. — poème vendéen. E. GRIMAUD.VIII. — LE VICOMTE ARMAND DE MELUN MICHEL CORNUDET.IX.— REVUE CRITIQUE. — I. Méditations de Madame Louise deFrance, édition de M. E. Bernard. — Vie de MmG de La Rochefoucauld Doudeauville. — II. Les ducs de Guise, par M. H. Forneron. — François de Lorraine, duc de Guise, par M. Cauvain. — La Ligue à Pontoise, par M. L.e Charpentier. — III. Dictionnaire des Antiquités chrétiennes, par M. le chanoine Martigny. — Dictionnaire de la Bible, par M. Spol. — Dictionnaire général de biographie contemporaine, par M. Bitard pa DOUHA1RE.X.— BULLETIN DES TRAVAUX PUBLICS ET DE L’INDUSTRIE.— notes d’un INGÉNIEUR P. MAIGNE.XI.— QUINZAINE POLITIQUE. AUGUSTE BOUCHER. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
BUREAUX DU CORRESPONDANT. 10 FEVRIER 1878. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 385 à 576.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
sommaire : I.— LA MORT DE PIE IX.II.— LE COMTE DE SERRE. — III. — la restauration. — lesCENTS JOURS. — LA SECONDE RESTAURATION. — LES ELECTIONSDE 1815. CH. DE LACOMBE.III.— LE COMTE DE FERSEN ET MARIE-ANTOINETTE, d’aprèsDES DOCUMENTS NOUVEAUX. — III. M. DE LESCURE.IV.— A TRAVERS L’AUTRICHE. - IX. — l’aristocratie. — LESSALONS. — LA BOURGEOISIE. — LE CARNAVAL. — LE PRATER, . VICTOR TISSOT.V. — PRIMAVERA. — II M. MARYAN.VI.— LES PUBLICISTES AMÉRICAINS ET LA CONSTITUTION• DES ÉTATS-UNIS. — VI. NOAILLES, DUC D AYEN.VII.— £A FIN DES MONTMORENCY. C. DE BONNECHOSE.VIII. — XAVIER DE MAISTRE.—oeuvres inédites et correspondance. Bob ernouf.IX.— LES OEUVRES ET LES HOMMES, courrier du théâtre,DE LA LITTÉRATURE ET DES ARTS.. VICTOR FOURNEL.X.— REVUE DES SCIENCES. HENRIDE PARVILLE.XI.— MÉLANGES. — des règles de la critique historique A. LARGENT.XII.- QUINZAINE POLITIQUE.. AUGUSTE BOUCHER. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Hachette impr. G. Lang Broché D'occasion bon état 01/01/1961 269 pages
Grasset, 1931, pt in-8°, 269 pp, imprimé sur papier Alfax Navarre, reliure demi-basane havane, dos lisse avec titres et doubles filets dorés, couv. illustrée conservée (rel. de l'époque), bon état
"Il convient à un livre comme celui-ci d'avoir des parties romanesques, mais je n'ai pas voulu qu'il fût un roman. Aucun épisode n'est fictif ; de rares détails sont supposés vrais, d'après des inductions vraisemblables ; je prends soin, là où elle se dérobe, de ne jamais violenter l'histoire. La discrétion des deux personnages, les ratures ou les lacunes dans le Journal de Fersen, dans ses lettres et celles de Marie-Antoinette rendent délicates à suivre les phases des sentiments. On serait aujourd'hui ridicule de qualifier « d'innocente idylle » une liaison si forte et tragique. Sur l'intimité de la Reine et de son ami je me garde pourtant d'une conclusion décisive. Ni l'un ni l'autre n'a fait d'aveux à personne – à personne du moins qui les ait trahis, – nul témoignage contemporain n'impose une présomption, encore moins une certitude. Quant aux rumeurs publiques, on sait le peu qu'elles valent à l'égard d'une femme assassinée chaque jour par les plus atroces calomnies et trop souvent insouciante de mettre contre elle les apparences..." (Avant-propos) — "C'est aussi dans un passé tragique que nous conduit M. Emile Baumann, à Versailles aux dernières années du dix-huitième siècle. Le roi Louis XVI gouverne son royaume avec une honnête bonne volonté et la reine Marie-Antoinette illumine la Cour de sa blonde, majestueuse et élégante beauté. Versailles est le lieu du monde où le luxe s'allie le mieux au bon goût. Son éclat attire les regards de l'étranger. On y vient de tous les points de l'Europe prendre des leçons et choisir des exemples de politesse raffinée. C'est dans ce but qu'y paraissent un prince de Ligne ou un Fersen, et c'est d'Axel Fersen, gentilhomme suédois, que M. Emile Baumann nous conte la merveilleuse et mystérieuse aventure. Axel Fersen a dix-huit ans, il est d'une beauté singulière, de haute naissance il vient de loin et il a, comme on dit, tout pour plaire. Il plait. S'il séduit, il l'est aussi. A peine a-t-il entrevu la Reine qu'il éprouve pour elle une ardente et muette admiration. Marie-Antoinette n'est pas insensible au charme du jeune Suédois. Elle le distingue et bientôt l'admet en sa société la plus particulière. Il ressemble si peu aux favoris auxquels elle s'est intéressée jusqu'alors : n'a-t-elle pas eu à se défendre des hardiesses de quelques-uns d'entre eux ? Oh Fersen ne leur ressemble pas. Il est discret, respectueux. La Reine le sent dévoué. Elle comprend qu'il pourra être pour elle un ami sur la fidélité de qui elle peut compter. Elle devine qu'il l'aime, d'un amour passionné, et elle-même n'éprouve-t-elle pas pour lui un sentiment plus tendre que l'amitié ? Lui a-t-elle donné plus que ses pensées et que son coeur ? Il serait ridicule, comme le dit M. Emile Baumann, de qualifier d' « innocente idylle » une liaison si forte et tragique, mais sur l'intimité de la Reine et de Fersen aucune conclusion décisive n'est possible. Ni l'un ni l'autre n'a fait d'aveux à personne. Nul témoignage contemporain n'impose une présomption, encore moins une certitude. Marie-Antoinette et Axel Fersen ont emporté leur secret avec eux. Ce qui subsiste de ce que fut leur amitié ou leur amour, c'est ce que, cet amour ou cette amitié eut de sévère, de poignant, d'héroïque. Ils s'unirent moins dans l'illusion des joies que dans l'attente d'un destin sinistre, mêlés tous deux au plus formidable des cataclysmes. En ces jours de malheur, si Marie-Antoinette ne cessa de montrer sa grandeur d'âme, Axel Fersen y donna les marques de son absolu dévouement. Il y fut présent par ses conseils et par ses actes. Il fit tout pour sauver la Reine, mais il y a des destinées qui n'échappent pas leur sanglante fatalité. Il en fut ainsi pour Marie-Antoinette et pour Axel Fersen. La sienne attendit plus de six années après la mort de la Reine pour se réaliser. Les dernières pages de l'émouvant et beau livre de M. Emile Baumann nous montrent Fersen déchiré par les mains brutales d'une populace imbécile et pardonnant à ses assassins, de même que MarieAntoinette, avant de partir pour l'échafaud, avait pardonné à ses bourreaux." (Le Figaro, 1931)