Paris, Mercure de France, 1910, in-8vo, 170 p., la dernière p. légèrement bruni avec petit tache, sinon bel exemplaire. Marque de justification verte figurant une main tenant une rose, reliure en demi-parchemin, dos avec filets or et pièce de titre en maroquin brun, plats en papier dominoté. Reliure privé.
Reference : 75470aaf
Première édition de la deuxième ouvrage de l'auteur.
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rue des Alpes, 5
1700 Fribourg
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Paris, Mercure de France, 1910. In-12 broché de 170-[2]pages.
Édition originale du deuxième livre de Jean Cocteau, enrichi d'un dédicace au faux-titre: "à Jacques Ruff [Le prince frivole] devenu tragédie avec amitié. Jean Cocteau 1958". A la justification, marque verte figurant un main tenant une rose. Papier un peu bruni, mais bon exemplaire.
Paris Mercure de France 1910 In-12 Broché
EDITION ORIGINALE du deuxième livre de l'auteur. Portée de Mozart en couverture et en titre. Marque de justification verte figurant une main tenant une rose. Bel exemplaire sur papier d'édition, sans rousseurs et au papier bien souple. Très bon 0
Paris, Mercure de France, (25 mai) 1910. 1 vol. (115 x 185 mm) de 172 p., Bradel demi-basane imitation écorce, dos lisse, titre et fleurons dorés, filets sur les plats, tête dorée, date en pied, couverture conservée (reliure de l'époque signée de Vermorel). Édition originale. Envoi signé : «à ma tante, qui est mon amie, Jean Cocteau». Bel exemplaire en reliure d'époque, bien établie.
C'est en 1909 que paraît le premier ouvrage de Jean Cocteau, La Lampe d'Aladin, dès cette période, il fréquente des artistes bohêmes et on le surnomme déjà « le prince frivole » dans ce milieu : c'est le titre qu'il retient pour son second recueil, à paraître l'année suivante. Grâce à son oncle, Raymond Lecomte, Cocteau avait été introduit dans les salons mondains, où sa mère cotoyait Nadar ou Jacques-Émile Blanche. Ce diplomate, homosexuel, compta beaucoup pour le jeune homme, tout comme toute la branche maternelle, « Les Eugène », comme les surnomme Cocteau, qui témoignent de l'influence considérable qu'eurent son grand-père, sa mère [prénommés Eugène et Eugénie] et ses oncles et tantes sur son imaginaire, au point d'inspirer Le Potomak, paru en 1914. Des « Eugène », Cocteau avait deux oncles : Raymond, donc, et Maurice, qui est aussi son parrain. Ce dernier avait épousé en 1884 Marie Jacob, six ans avant le baptême de Jean Cocteau, le 21 juillet 1890. C'est chez son oncle et sa tante que le jeune garçon trouvera refuge en mars 1898, quelques jours avant le suicide de son père, le 5 avril. Marie Lecomte s'occupera de son neveu plusieurs semaines durant lors de cette période difficile et les liens familiaux entre eux deux seront toujours présents. Maurice Lecomte sera également le témoin de mariage, en 1901, de la soeur de Jean Cocteau, Marthe. Il décède en 1929 mais Marie Lecomte lui survivra vingt-six ans, jusqu'en 1955. On ne connaît que deux autres envois à cette tante, l'un sur Le Potomak, l'autre sur Thomas l'imposteur.
Reliure demi-chagrin violet. Dos à nerfs finement orné. Tête dorée. Couverture conservée. Certains cahiers sont avancés.
Paris Mercure de France 1910 170 pp. In-12. Relié. Etat correct. 1 volume. ÉDITION ORIGINALE du second recueil de Cocteau, publié à ses frais, et qu'il fit pilonner dès 1918.
Mercure de France, Paris, 1910. Edition originale, exemplaire du premier mille. Envoi à la comédienne Charlotte LYSES, épouse de Sacha GUITRY. Broché in-12, couverture poussiéreuse. Rare deuxième livre de l'auteur.