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RACINE:
Athalie (1691). Tragédie. Tirée de l'Ecriture Sainte.
Brie-Comte-Robert, Les Bibliolatres de France, 1956, in-4to, 101 p., Ex. num. sur pur chiffon "Trois Fleurs de lin" des Papeteries du Marais, reliure en toile originale.
Reference : 75096aaf
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Harteveld Rare Books Ltd.
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2 book(s) with the same title
Athalie. (1691). Tragédie. Tirée de l'Ecriture Sainte.
Brie-Comte-Robert, Les Bibliolatres de France, 1946. In-4, en feuilles, sous chemise imprimée, étui, 101 pp. Portrait en frontispice, une planche illustrée hors-texte, lettrines et culs-de-lampe.
Exemplaire numéroté sur pur chiffon spécialement imprimé pour Suzanne Quercy. Photos sur demande.
Racine. Athalie. Tragédie tirée de l'écriture sainte 1691. 1/1988 Tirage limité
Miraculeusement sauvé du massacre où les siens ont péri, le jeune Joas est secrètement recueilli puis élevé par le grand prêtre Joadet par sa femme. Pour qu’il accède au trône de Juda qui lui était promis, il lui faut échapper à l’infidèle reine Athalie, sa grand-mère, qui, après le songe où elle s’est vue soudainement menacée, cherche à le faire périr. Commandée, comme Esther, par Mme de Maintenon qui voulait édifier les jeunes pensionnaires de sa maison de Saint-Cyr par des sujets de piété, Athalie est, en 1691, la seconde pièce que Racine tire de l’Écriture sainte. Tragédie messianique – Joas y est oint comme le Christ – mais également politique et morale, s’il est vrai qu’elle propose une leçon sur le bon usage du pouvoir, sa grandeur tient aussi au prestige de sa forme : oeuvre parlée et drame chanté grâce à la présence des chœurs et de la musique de Jean-Baptiste Moreau, elle marque un retour à la grande tragédie chorale de la Renaissance, mais évoque aussi l’opéra naissant. C’est la dernière pièce de Racine. vol broché en feuilles libres 25x20, avec une partie de l’emboîtage, ( sans la boite), 101pp. Jolie eau forte de Mariett, Exemplaire numéroté 1988, spécialement pour M. Mme Delassus. Les Bibliolâtres de France, 1946 ref/276
