‎BOURGEOIS Charles.‎
‎Mes Père et Mère.‎

‎ L' Arbre, Jean La Mauve, Damnard ( Aisne), 1979; plaquette in-8°, couverture crème imprimée en noir; 26pp.‎

Reference : c6417


‎Recueil de poèmes, tiré à 300 exemplaires. (CO2) ‎

€10.00 (€10.00 )
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Livres Anciens N. Rousseau
Nadine Rousseau

livresanciens-rousseau.n@orange.fr

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‎FILMS DES TOURNELLES ET COLLECTIF‎

Reference : RO80090779

(1999)

‎"1 livret de presse du film "" Mon père, ma mère, mes frères et mes soeurs ... "" de Charlotte de Turckheim avec Victoria Abril, Ch. de Turckheim, Alain Bashung ..."‎

‎CHEZ L'AUTEUR. 16 juin 1999. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Livret de 20 pages, illustré de quelques photos en couleurs, dans le texte, tirées du film.. . . . Classification Dewey : 791.43-Cinéma‎


‎ Classification Dewey : 791.43-Cinéma‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR10.95 (€10.95 )

‎[Imprimerie Emile Flouret] - ‎ ‎DE LA BATUT, Jeanne et Pierre‎

Reference : 44471

(1900)

‎Carnet Manuscrit de "Souvenirs et anecdotes de Tante Lair", Angèle Lair, fille du peintre Alexandre-Gabriel Decamps, vraisemblablement notés par sa nièce Jeanne Dentu Epouse De La Batut puis son petit neveu Pierre de La Batut.[ Anecdotes sur Decamps, Gambetta, Emile Gaboriau, etc. ] : [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎

‎1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎


‎Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR180.00 (€180.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110647569

(1897)

‎L'illustré, soleil du dimanche n° 49 - La mère de l'orphelin, d'après le tableau de Hermann Kaulbach, Histoire de mes bêtes par Alexandre Dumas, Concours littéraire - la reine de l'étang par Magui, Le père maudit par Henri Malin, Une belle éducation‎

‎Bureau du journal. 5 décembre 1897. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 20 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte. Manque pages 11 à 18 (romans).. . . . Classification Dewey : 70.1-Journaux‎


‎Sommaire : La mère de l'orphelin, d'après le tableau de Hermann Kaulbach, Histoire de mes bêtes par Alexandre Dumas, Concours littéraire - la reine de l'étang par Magui, Le père maudit par Henri Malin, Une belle éducation par Pierre de Corlay, Classification Dewey : 70.1-Journaux‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎Collectif‎

Reference : R320155824

(2005)

‎Psychologies n°246 novembre 2005 - Johny Hallyday mon père mon enfance mes douleurs - n'ayons plus peur de la mort - cuisine le goût de la mère - Martin Luther King - convaincre ça s'apprend - Bernard Campan - cliquer est ce tromper ? etc.‎

‎SAS Finev. 2005. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 289 pags - quelques illustrations en couleurs dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Johny Hallyday mon père mon enfance mes douleurs - n'ayons plus peur de la mort - cuisine le goût de la mère - Martin Luther King - convaincre ça s'apprend - Bernard Campan - cliquer est ce tromper ? - je n'aime pas les compliments - métamorphoses - maux d'argent maux d'amour - comment dépensez vous ? - pourquoi j'ai voulu un enfant - et si vieillir était une chance ? - n'étouffez pas vos émotions - le dossier trouver sa place - bain à la rose marmelade de pamplemousse ou pain maison des recettes à faire soi même pour prendre le temps de se faire du bien - et si vous cuisinez vos crèmes ? - faites une pause tisane - plongez dans la sérénité cinq bains de bien être - pain maison mettez la main à la pâte - à vos confitures d'hiver - exquises moisissures et nobles pourritures. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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‎Krosoczka Jarrett J‎

Reference : 123063

(2020)

ISBN : 2413022244 9782413022244

‎Une touche de couleur : Comment j'ai perdu ma mère, trouvé mon père et fait face aux addictions de mes parents‎

‎Delcourt, coll. « Encrages » 2020 In-8. Cartonnage éditeur. 23,_ cm sur 17. 320 pages. Très bon état d’occasion.‎


‎ Très bon état d’occasion ‎

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