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MICHEL (de Bourges) et Victor HUGO.
Révision de la Constitution. Discours de Michel de Bourges et de Victor Hugo.
1851 Paris, à la Librairie Nouvelle, 1851; brochure in-8°, couverture de papier rose imprimée en noir; 56pp.Ex libris manuscrit sur la couverture (illisible) et sur le titre “ Em.Rourmieux“ ?. Petits manques à la couverture au dos et bordure des plats, 2ème plat en grande partie détaché du dos. Papier jauni. On a contrecollé au titre une fiche descriptive ancienne de catalogue de libraire.
Reference : 10254
Ces deux discours furent prononcés dans les Séances de l'Assemblée Législative des 15 et 16 juillet 1851.(Bur-Cl)
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Livres Anciens N. Rousseau
Nadine Rousseau
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Révision de la Constitution.. Discours de Michel de Bourges et de Victor Hugo
Paris, Librairie nouvelle, 1851 in-8, 56 pp., broché, non coupé.
Réunit les discours des deux orateurs républicains prononcés devant la Chambre les 15, 16 et 17 juillet 1851, et qui s'opposaient à la révision de la Constitution de la Seconde République, proposée pour permettre au Président Louis-Napoléon Bonaparte de briguer un second mandat. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
La Peine de Mort. Procès de "l'Evènement." Discours de Victor Hugo et Crémieux. [Relié avec :] Révision de la Constitution. Discours de Michel de Bourges et de Victor Hugo.
Paris : Libr. Nouvelle, 1851 In-8°, 48-56 pages, et 16 pages du catalogue Pagnerre (mai 1858). Cartonnage bradel moderne..
Plaidoyer de Victor Hugo en faveur de son fils Charles, poursuivi pour un article réclamant l'abolition de la peine de mort. Charles Hugo, le fils du poète, a comparu en 1851 devant cour d'assises de la Seine pour "outrage aux lois". Rédacteur du journal L'Événement, il avait fait paraître un article protestant contre une exécution. Victor Hugo plaide lui-même pour la défense de son fils devant le tribunal, et choisit de s'attaquer au principe même de la peine capitale. Charles Hugo sera déclaré coupable avec circonstances atténuantes et condamné à six mois de prison et à cinq cents francs d'amende. Bertin n° 269 et n° 271.
