S.n., Paris 2 Décembre 1996, 21x29,5cm, une feuille + une enveloppe.
Reference : 79712
Lettre manuscrite datée et signée de 42 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra. Une trace de pliure inhérente à la mise sous pli de la lettre. "vieux, merci de ta formidable lettre... j'ai mis du temps avant de te répondre, débordé que je suis par les activités de "promotion" de Mme de Saint Sulpice. Fatigant tous ces trains, tous ces avions, ces attentes, ces blabla toujours les mêmes. Bah ! il y a des métiers plus pénibles et moins rémunérateurs. Je me demande toujours si mes premiers bouquins tiennent encore la lecture. Tu me rassures un peu et je reçois aussi des témoignages de nouveaux lecteurs... jeunes... Le spectable de Jacques Rosny a bien du mal à démarrer. J'ai en main un texte formidable de Raymond Devos qui va paraître dans le "Figaro" et qui nous donnera peut-être le coup d'envoi. Je sais que tu apprécies beaucoup la nouvelle "Gladys". J'en ai tiré une pièce - il y a déjà 12 ans - et finalement elle va être montée au Petit Marigny avec Danielle Darrieux et Christian Barbier. Là, je pense que ces messieurs de la critique se dérangeront.Les Grands Chemins tu as raison, c'est un livre formidable. De plein air et de grand style. On peut toujours relire Giono... la vie passe entre les lignes et la poésie... merveilleux ! J'espère que les choses vont mieux pour toi... Je t'embrasse fraternellement. ABoudard Louis sera à Paris demain pour le prix Blondin. Suzanne va mieux." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Le Feu Follet
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S.n., Paris 7 Décembre 1977, 21x29,5cm, une feuille + une enveloppe.
Lettre manuscrite datée et signée de 17 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra. Une trace de pliure inhérente à la mise sous pli de la lettre, enveloppe jointe. "ami, bien reçu "Le Peuple" et ton papelard sublime. Bravo ! Merci ! etc... dans un monticule de paperasses qui s'accumulent sur mon bureau, j'ai perdu la carte qur tu m'as envoyée avec l'adresse de la fille de Giono. Je la retrouverai, mais quand ? (Je suis plutôt bordelique question classement, rangement etc...) Pour ne pas perdre trop de temps sois chouette de me la renvoyer. A bientôt... ton pote ABoudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -