Editions Surréalistes, Paris 1936, 10x14,5cm, broché.
Reference : 78744
Edition originale, un des 200 exemplaires numérotés sur vergé, seul tirage après 1 japon nacré, 15 japon impérial et 25 Normandy. Premier plat et dos légèrement décolorés comme habituellement. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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KANT Emmanuel & PEYER-IMHOFF Hercule & BURKE Edmund & LAGENTIE DE LAVAÏSSE E.
Reference : 83484
(1796)
Chez J. J. Lucet; Chez Pichon & Mme Depierreux, Paris 1796 et An XI [1803], in-8 (12,5x19,5cm), (4) 123 pp. ; xxxix ; 21-323 pp., deux textes reliés en un volume.
| Unique association des traductions françaises des deux premiers ouvrages philosophiques sur le concept du Sublime, inaugurant la plus importante réflexion sur l'esthétique de l'Histoire occidentale | * Rarissime édition originale de la première traduction française d'une uvre philosophique de Kant et seconde traduction d'un texte kantien, les autres ne seront connus du public non-germanophone qu'au cours du XIXe siècle. Cette édition, dont l'originale allemande parut en 1764 à Königsberg sous le titre Beobachtungen über das Gefühl des Schönen und Erhabenen, est illustrée d'un portrait de l'auteur par J. Béniry dit Dubuisson. Relié à la suite : seconde traduction française du texte de Burke, considéré comme le premier essai philosophique sur l'Esthétique, établie par E. Lagentie de Lavaïsse, après celle, critiquée, de l'abbé Des François en 1765. Elle est illustrée d'un portrait de l'auteur par Mariage. La première édition anglaise, intitulée A Philosophical Enquiry into the Origin of Our Ideas of the Sublime and Beautiful, est parue en 1757. Reliure de l'époque en demi basane brune à coins de vélin, dos lisse orné de doubles filets dorés, plats de papier à la colle, gardes et contreplats de papier blanc, toutes tranches jaunes mouchetées de rouge. Quelques traces sur les gardes, rousseurs éparses plus prononcées sur quelques feuillets. L'ouvrage de Kant contient les premières observations du philosophe - qui n'avait jusqu'alors publié que des textes scientifiques - sur l'Esthétique et plus particulièrement le Sublime, concept qui acquerra toute sa portée dans Critique du jugement. Celle-ci, à l'instar du reste de l'uvre du philosophe, ne sera traduite en français qu'au cours du XIXe siècle. « Certes dès avant 1781, le nom de Kant n'était pas totalement inconnu à l'Université de Strasbourg où quelques étudiants et professeurs l'avaient cité dans leurs recherches ou dans leurs cours, et les travaux de l'Académie de Berlin, contenant des mémoires d'adversaires résolus du kantisme, n'étaient pas complètement ignorés en France, mais il faut attendre la Révolution française et même la fin de la Convention et le début du Directoire, c'est-à-dire près de quinze ans après la parution de la Critique de la Raison pure, pour qu'en France on commence à parler de Kant et de son uvre. » (Jean Ferrari, « L'uvre de Kant en France dans les dernières années du xviiie siècle » in Les Études philosophiques n° 4, Kant (octobre-décembre 1981), pp. 399-411). Si Kant est incontestablement celui qui institue l'Esthétique comme discipline essentielle de la philosophie moderne, il doit au manifeste empiriste d'Edmund Burke, les origines mêmes de sa réflexion, et plus particulièrement la distinction entre le Beau et le Sublime. Toutefois, alors que Burke considérait le sublime comme une « terreur délicieuse », produit suprême de l'uvre d'art, Kant - admirateur de sa philosophie - dépassera cette considération, définissant le Sublime comme « ce qui est absolument grand », la terreur étant la conséquence de la confrontation de la raison humaine à l'illimité. Pertinente et précoce association des deux premières définitions modernes du Sublime et fondements de la philosophie esthétique, réalisée par un érudit conscient des débats philosophiques de son époque. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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ARMAND COLIN. 1986. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 175 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
SOMMAIRE : LE SUBLIME : Théorie et pratique du style au Moyen Age : le sublime et le merveille, par D. Poirion - Sublime et parole de Dieu : de Saint Augustin à Fénelon, par A. Michel - Julien Sorel et le sublime : étude de la poétique d'un personnage, par M. Crouzet,etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
[FÜSSLI Henry] PADILLA Nathalie
Reference : ARTTTT46460125
(2009)
ISBN : 9782296066540
Paris, L'Harmattan, "Histoire et idées4s Arts", 2009, 15,5 x 24, 420 pages sous couverture souple illustrée. "Artiste anglo-suisse, Johann Heinrich Füssli (1741-1825) reste l'une des figures majeures de la peinture shakespearienne qui vit le jour en 1728 avec William Hogarth. Füssil applique ue esthétique du sublime à l'espace et au corps humain. Bien qu'il ait recourt aux théories du sublime comme celle d'Edmund Burke, ou de Jonathan Richardson, l'artiste exprime une forme picturale du sublime qui diffère de celles choisies par ses contemporains. S'appuyant notamment sur la science pour représenter un expressionnisme émotionnel, Füssli offre à son spectateur un sublime de la révélation, visant à élever le personnage shakespearien."
Etat d'usage.
Paris, chez Claude Barbin, 1675, in-12, reliure plein veau chagriné, dos à cinq mors, trois tranches dorées, frontispice de Pierre Landry et 4 gravures de Paillet, 233 p. + ff. Contient: Au lecteur – Discours au Roi Satires I à IX – Discours sur la satire – Epistre I à V (edition originale du V ?) L'Art Poétique : Chant I à IV Lutrin : Chant I à IV. ATTENTION : contrairement à ce qui est indiqué sur la page de titre, cette version ne contient pas la traduction du "Traité du sublime"...
Les Satires sont un recueil de Nicolas Boileau composé à partir de 1657 et publié à partir de 1666, inspiré des Satires d'Horace et de celles de Juvénal, et entièrement écrit en alexandrins. Le recueil comportait sept poèmes dans l'édition originale de 1666. En 1668 est parue une nouvelle édition augmentée de deux satires et d'un Discours sur la satire. En 1694 a été ajoutée la satire X « Contre les femmes », puis en 1701 la onzième. La douzième satire, interdite de publication car visant les Jésuites, n'est parue qu'après la mort de son auteur en 1716. Les thèmes abordés sont très variés, et il n'y a pas de plan d'ensemble. Parmi ces thèmes, on compte la difficulté de vivre à Paris (I et VI), la vanité des nobles (V) et un dîner ridicule (III). Mais la cible préférée de Boileau reste les auteurs de son temps qu'il jugeait mauvais (II, III et IX notamment). Pièce de titre passée, 5 pages reprises d’une autre édition insérées aux pp.94-95 (afin d'intégrer la "fameuse" satire X « Contre les femmes » rédigée en 1694), pages de garde assombrie, pour le reste agréable exemplaire.
Desjonquières, 2005, 247 pp., très légères traces d'usage, bon état.
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