Paris 31 Mars 1978, 21x29,5cm, une feuille + une enveloppe.
Reference : 76808
Lettre manuscrite datée et signée de 15 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra. Enveloppe jointe, une trace de pliure inhérente à la mise sous pli de la lettre. "Vieux, ta femme t'a dit que j'ai bien reçu "l'Album de famille" et que je te remercie... J'ai pris un peu de retard, mais j'ai un turf du diable ! Scénarios, téléfilms et puis ma lanterne que je revise minitieux... comme un moteur avant les vingt-quatre heures du Mans. Entendu pour le casse-graine avec la fille de Jean Giono... tu me fais signe un peu à l'avance. Avec mes amitiés à ta femme et ma pogne fraternelle.Aboudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Le Feu Follet
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S.n., Paris 22 Avril 1974, 13,5x21cm, une feuille + une enveloppe.
Lettre manuscrite datée et signée de 27 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra. Enveloppe jointe. Il s'agit de la première lettre manuscrite dans laquelle Alphonse Boudard adopte le tutoiement avec son pote bruxellois. "Ami, merci de ton petit mot. Je suis sûr que ton papier de Relax sera de première. En ce moment le livre est en rade... Nos Giscard, Chaban, Mitterrand retiennent toute l'attention du public. En + j'ai eu un mauvais article de Mathieu Galey dans l'Express... Mais on verra bien ! Ca peut repartir pour les vacances ou... à la Trinité. Salut mec ! à te lire... je te serre la pogne. Aboudard. Le bouquin de Louis est admirable... L'émotion passe... tout est là !" André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 7 Octobre 1974, 21x29,5cm, une feuille + une enveloppe.
Lettre manuscrite datée et signée de 20 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi deLouis Nucéra. Enveloppe jointe, une trace de pliure inhérente à la mise sous pli de la lettre. "Ami, merci de ton petit mot... Ca fait toujours plaisir de savoir que la Cerise a des lecteurs compétants (sic)... (les autres achètentn'importe quoi... Papillon, Sagan ou Guy Descar...) Le "Cinoche" est en panne. Il faudrait qu'ils me filent le Renaudot pour bien faire... mais ils ont d'autres hommes de lettres à fouetter. "L'ami" (de Louis Nucéra) mérite l'Interallié... etc... Je ne crois guère au miracle... aussi je me suis remis au cinoche cassecroûte... une adaptation de "Flic Story" pour Alain Delon. à bientôt j'espère devant le verre de l'amitié.Aboudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris 4 Mars 1979, 21x29,5cm, une feuille + une enveloppe.
Lettre manuscrite datée et signée de 23 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi deLouis Nucéra. Enveloppe jointe, une trace de pliure inhérente à la mise sous pli de la lettre. "Vieux, merci de ton petit mot... oui cette soirée était formidable. On va remettre ça dès que tu pointeras ton nez en pays civilisé (c'est à dire à Paris bien sûr) . Le livre (le Corbillard de Jules)a l'air de partir sur les chapeaux de roues... très bons papiers dans l'Express, Fr-soir, Figaro magazine... Je dois avoir "Match" et "le matin week-end" cette semaine. J'ai envoyé le Corbillard à Michèle Cedric... adressé à la R.T.B. peut-être l'a-t-elle reçu ? Dans ce cas préviens-moi, je lui en renverrai un à son domicile... A bientôt j'espère.. ton pote.Aboudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 15 Mars 1973, 21x29,5cm, une feuille + une enveloppe.
Lettre manuscrite datée et signée de 24 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi deLouis Nucéra. Enveloppe jointe. "Ami, grand et mille fois merci pour ce papier... il m'a fait d'autant plus plaisir que la réimpression de "La cerise" est passée presque inaperçue... et pourtant dieu sait si la prison fait l'objet de débats, articles... blabla bien souvent à tort travers... le point de vue de ceux qui ne savent mais ont appris à faire semblant (ces deux derniers mots soulignés) dans tous les domaines. Sûr j'aimerais bien qu'on se retrouve un de ces quatres avec le pote Nucera devant le verre de l'amitié... donc à bientôt j'espère... (vous venez bien à Paris de temps en temps...) salut et fraternité... Aboudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 25 Septembre 1975, 21x29,5cm, une feuille + une enveloppe.
Lettre manuscrite datée et signée de 18 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi deLouis Nucéra. Enveloppe jointe, une trace de pliure inhérente à la mise sous pli de la lettre. "Ami, merci de m'avoir envoyé cette coupure. Je ne l'avais pas rémarquée. Si le "Nouvel Obs" me fait de pareilles fleurs c'est que le climat change un peu... en effet ! Pas reçu ton mot avec l'article pour "Relax" ; le dernier truc que j'ai reçu c'est le papier du "Rail" J'avais cru qu'il était de toi sous un pseudo. A bientôt j'espère... j'ai déjeuné avec Louis (Nucéra) la semaine dernière... on t'attend.salut et fraternité... Aboudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -