S.n., Paris 20 Octobre 1989, 15x11cm, une feuille + une enveloppe.
Reference : 76658
Bristol manuscrit signé de 20 lignes et daté d'Alphonse Boudard, à en-tête de son domicile du 11 de la rue Henri Monnier dans le neuvième arrondissement de Paris, à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Jean Giono. Enveloppe jointe. "Vieux, Merci de ton aimable petit mot... Enfin j'ai fait ce que j'ai pu et si le résultat a été bon, tant mieux. Je n'arrive plus à remettre la main sur un exemplaire de la Méthode (la Méthode à Mimile, la Bible argotique écrite par Alphonse Boudard). Si je t'en trouve un je l'envoie à ta filleule en priorité. De toutes façons les éditions du Pré-aux-clercs vont relancer le livre à la fin de l'année... avec une nouvelle présentation et de nouvelles illustrations... + qqs chapitres de rajeunissement. Si nous pouvions en faire autant... Vivra verra... à quoi bon se mettre la rate au court bouillon !Toute mon amitié. Aboudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Le Feu Follet
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S.n., Paris 5 Octobre 1995, 12,5x8,5cm, une feuille + une enveloppe.
Bristol manuscrit de 17 lignes d'Alphonse Boudard, à en-tête de son domicile du 11 de la rue Henri Monnier dans le neuvième arrondissement de Paris, à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Jean Giono. Une date, 5 X 95, et la mention "Mourir d'enfance", inscrites au crayon de papier par André Tillieu, sur le bristol. Enveloppe jointe. "Cher André, bien reçu ton article qui est comme d'habitude chaleureux et remarquable à tous égards. Tu y dis toujours des choses qui me vont droit au coeur. La carrière du livre se poursuit au mieux, mais les temps sont durs partout et la librairie en a pris un coup. On attend le miracle Chirac ou Dudule, c'est encore plus improbable que celui de la Vierge Marie. Avec toute ma vieille amitié. Aboudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 18 Octobre 1993, 14,5x10,5cm, une feuille + une enveloppe.
Bristol manuscrit signé de 19 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Jean Giono. Une date (18.10.93) et la mention "Saint Frédo" (livre d'alphonse Boudard paru récemment) inscrites au crayon de papier et au stylo bleu sur le bristol par André Tillieu. Enveloppe jointe. "Vieux, Merci cent mille fois pour cet admirable papier qui complète celui de Louis (Nucéra) dans le journal du dimanche. Les fautes ? Les éditeurs ne nous donnent plus un second jeu d'épreuves... d'où ces bavures ! Si j'épuise le 1er tirage, je ferai corriger. Je croise les doigts... la période est dure dans les librairies comme ailleurs. Sans doute en novembre je me naturalise belge un jour ou deux, ce qui nous permettra de nous rencontrer autour du verre de l'amitié. Ton pote Al." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 4 Février 1999, 14,5x10,5cm, une feuille + une enveloppe.
Bristol manuscrit signé de 15 lignes d'Alphonse Boudard, à en-tête de son adresse parisienne de la Nouvelle Athènes dans le 9ème arrondissement, à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Jean Giono. Une date (4.2.99) inscrite au stylo billo bleu en haut de l'enveloppe. Enveloppe jointe. "Merci, mon cher André, de ta magnifique lettre. J'ai parfois des doutes sur l'intérêt de ma production, eh bien tu me rassures. Je sais que j'ai en Belgique un lecteur attentif et qui pige mes moindres intentions, qui apprécie mes petits trucs de style. Je n'ai pas le temps de t'écrire plus longuement. J'espère te voir à Bruxelles en Avril ou Mai lorsque je ferai la promotion de Chère visiteuse le livre que je viens de finir et qui paraîtra dans deux mois. Voilà, vieux frère, ton amitié me fait chaud au coeur. ABoudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 21 Novembre 1997, 12,5x8cm, une feuille + une enveloppe.
Bristol manuscrit signé de 8 lignes d'Alphonse Boudard, à en-tête de son adresse parisienne de la Nouvelle Athènes dans le 9ème arrondissement, à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Jean Giono. Enveloppe jointe. "Merci, vieux pote, de ta bonne lettre. Je sais que tru es un amateur éclairé... alors tout ce que tu me dis me touche dans le mille. J'espère bien aller te saluer un de ces quatre en Bruxellie. Mon amitié. Ab." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 28 Mai 1996, 15,5x11cm, une feuille + une enveloppe.
Bristol manuscrit signé de 22 lignes d'Alphonse Boudard, à en-tête de son adresse parisienne de la Nouvelle Athènes dans le 9ème arrondissement, à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Jean Giono. Enveloppe jointe. "Vieux frère, merci de tes deux dernières lettres, je suis un peu débordé (par le succès entre autres) et j'ai laissé le courrier s'accumuler. J'ai pas vu "Mémoire de la France" si j'y suis cité c'est déjà pas si mal, d'habitude dans ce genre de bouquin je n'existe pas. Ni pour la Cerise, l'Hôpital, le prix Renaudot, ni pour le Cinoche. Je ne me plains pas puisque je n'écris pas pour la postérité. Mon prochain sort en septembre aux éditions du Rocher. "Madame de Saint Sulpice". Je ne pense pas que la presse catholique m'encensera. En tout cas j'espère amuser le lecteur et que tu sauras l'apprécier comme les autres. Tu es un fin gourmet de la chose écrite. J'espère que tu vas bien depuis ta dernière lettre. Moin amitié Ab." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -