Hachette & Cie, Paris s.d. (circa 1910), 23x30cm, relié.
Reference : 75080
Edition originale, un des 50 exemplaires numérotés sur Japon, tirage de tête. Reliure en demi maroquin maroquin marron chocolat à coins, dos à cinq nerfs sertis de pointillés dorés et orné de doubles caissons dorés et décorés de motifs typographiques et floraux dorés, encadrement de filets dorés sur les plats de papier à effet moiré, gardes et contreplats de papier marbré, fragiles couvertures parcheminées (deux restauration marginales aux versos des plats)et dos conservés, tête dorée sur témoins, ex-libris encollé sur un contreplat, reliure de l'époque signée de Pouillet. Contributions littéraires de Gaston Maspéro, René Doumic, Gaston Boissier, Gustave Schlumberger, Gaston Paris, Emile Gebhardt, Edmond Rostand, Jules Lemaître, Gustave Larroumet, Henry Houssaye, Arvède Barine, Paul Bourget. Contributions picturales d'Hermann Vogel, Louis Strimpl, André Castaigne, François Flameng. Rares piqûres sans gravité affectant principalement les fragiles couvertures parcheminées, légers frottements sur les coins. Bel exemplaire joliment établi. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Reference : LCS-18476
Provenance: Rothschild; Baron Alexis de Rédé. Vredeman de Vries, Jan (1527-1609), Floris, Cornelis (1514-1575) et Galle, Philippe (1537-1612). - Hortorum viridariorumque elegantes & multiplicis formae… Anvers, Philippe Galle, 1583. In-folio oblong (260 x 323 mm). Titre-frontispice et 20 planches de jardins, numérotées. Edition originale. Berlin Kat. 3390 ; Hollstein XLVIII, 470-490. - [Relié avec] : du même : Jardins. Anvers, Philippe Galle, c. 1583. 6 gravures numérotées. Edition originale. - [Relié avec] : du même : Artis Perspectiuae plurium generum elegantissimae Formulae, [graphic], multigenis Fontibus, nonnullisq[ue] Hortulis affabre factis exornatae, in comodum Artificum, eorumq[ue] qui Architectura, aedificiorumq[ue] comensurata uarietate delectantur, antea nunquam impressae. Anvers, Gerardus de Jode, 1568. Titre-frontispice et 17 gravures. Edition originale. - [Relié avec] : du même : Puits et fontaines. Anvers, Philippe Galle, 1573. 24 gravures numérotées sur 12 feuillets, minime déchirure à une planche. - [Relié avec] : Floris, Cornelis. Veelderleij niewe inventien van antijcksche sepultueren diemen nou zeere ghebruijkende is met noch zeer fraeije grotissen... Anvers, Jerôme Cock, 1557. Titre et 15 planches gravées montrant des décorations fantastiques, et des monuments funéraires dans le style grotesque. Edition originale rarissime. Reliure en vélin ancien, gardes renouvelées. Titre de la première suite frotté et effrangé avec déchirures marginales et pliure et joint à la garde ; taches à quelques planches. 257 x 326 mm.
“Important album of 5 suites of 16th century Dutch engravings by Vredeman de Vries et Conerlis Floris comprising 3 engraved titles and 82 engravings of gardens, fountains and wells, and grotesque tombs. All bound in an old parchment binding». Rare première édition de cette série de 20 planches de jardins associées aux ordres dorique (6), ionique (7) et corinthien (7) : parterres, allées, cours, avec en arrières plans de beaux édifices. Beau titre gravé, sur fond architectural fleuri. Le graveur n'a pas été identifié. Some of the plates have later been copied by Hans Puechfelder and are used in his work on gardens, published in 1591. «Un cabinet de curiosités à ciel ouvert. La Nature conduite par la providence Divine est admirable, en comprenant sous la connexité des cieux, sur la superficie & estendue de la terre tant de sortes d’animaux & vegetaux. Des Vegetaux & plantes, eu esgard aux diverses parties du monde & provinces, le nombre n’en peut estre exprimé, & en une telle multitude & amas il y auroit de la confusion, n’estoit que l’art & industrie humaine, pour perfectionner la Nature a excogité divers compartimens & parterres en forme de croix, de roses, de cœur &c. quelques fois separés, quelquefois entremeslés, pour loger lesdites plantes, comme dans des chambrettes & lieux de reserve.» Daniel Loris, Le thrésor des Parterres de l’univers, 1629. Dans Le thrésor des Parterres de l’univers Daniel Loris, médecin des ducs de Wurtemberg, invoque la nécessité de perfectionner la nature en compartimentant l’espace, en concevant des «chambrettes » et « lieux de réserves » jardinés destinés à recevoir une collection de végétaux cultivés remarquables. Un « programme » pour « Jardins de plaisir, tracés en compartimans, & garnis de plantes, & arbres curieux » nous est donné, il s’apparente à celui des cabinets de curiosités. Le mot allemand Wunderkammer signifie « chambre de merveilles » et désigne les collections des princes d’Europe à partir des années 1560-1570. Ce phénomène repose sur un regain d’intérêt pour l’antique, pour les sciences naturelles et la géographie. L’organisation du jardin, telle qu’on la perçoit notamment dans les œuvres de du Cerceau, s’établit clairement selon une composition à un ou plusieurs axes de fuite. Mais cette perspective n’unifie pas la surface du jardin d’une façon tout à fait linéaire. La juxtaposition des parterres, comme le pavement des scènes de Serlio préfigurées par les peintures du quattrocento, compartimente et séquence l’espace du jardin. Le livre IV du Regole generali di architettura publié en 1537 comprend six illustrations de parterre, quatre carreaux rompus et deux dédales. Serlio produit les plus anciens modèles pour la compartimentation et l’ornementation des jardins qui nous soient parvenus. De fait, il s’intéresse à la scénographie de ces espaces et il l’écrit : Li giardini sono ancor l’oro, parte de l’ornamento della fabrica, per il che queste quatro figure differente qui sotto, sono per compartimenti d’essi giardini, ancora che per altre cose potrebbono seruire, oltra li dua Labirinthi qui adietro che a tal proposito sono. Ainsi, le jardin de la Renaissance, lieu théâtral a fortiori, est une scène d’illusion en perspective. Dans ce « site idéal », ce microcosme, espace fictif unifié par la « construction perspective », chaque chose, même la plus curieuse, peut trouver sa place. Les premiers jardins botaniques naquirent à partir du milieu du XVIe siècle et se multiplièrent sur une période assez courte. L’invention des jardins botaniques résulte d’un projet de « didactique du regard» qui s’appuie sur un dispositif scénographique. Rappelons que Daniele Barbaro, un des concepteurs de l’Horto de’i simplici de Padoue (1545), est un traducteur de Vitruve. Dans La Prattica della Perspettiva (1569), il est aussi l’auteur d’une réflexion sur la scénographie comme perspective artificielle ; mais ce n’est pas cet effet de scène qui domine à Padoue. Le jardin est compris dans un cercle de 84 mètres de diamètre, qui symbolise l’univers. À l’intérieur du cercle est inscrit un carré divisé en quatre Spaldi représentant les quatre continents d’où proviennent les plantes. Vus à vol d’oiseau, les Spaldi offrent une profusion de formes et de couleurs obtenues par le fractionnement caractéristique du Parterre de carreaux rompus – ainsi nommé par Charles Estienne dans La Maison rustique (1583). De fait, la parcelle cultivée dessinée à partir d’un pourtraict devient un ornement du jardin. Mais à Padoue, le parterre n’est pas seulement l’élément d’une architecture de jardin à effets décoratifs. Les formes particulières et diverses des Compartiments aident à reconnaître et à situer les espaces. Ainsi, la scénographie codifierait visuellement l’emplacement où se cultive telle ou telle plante et faciliterait l’apprentissage de la botanique basé sur l’identification des végétaux ; il pourrait s’agir d’une forme d’Art de la mémoire ou de méthode des lieux. L’ordonnancement mis au point à Padoue va se retrouver dans presque tous les jardins botaniques fondés aux XVIè et XVIIè siècles. Les formes élaborées dans ces institutions sont les modèles de la plupart des jardins de plantes médicinales et de plantes curieuses. Le succès de ces « théâtres de terre » encourage donc à la création de collections privées. Selon Claudia Lazzaro, ces espaces nommés giardini variati par Ulisse Aldrovandi, se distinguent des giardini volgari et des medicinali purement pratiques. Agostino del Riccio recommande de suivre le modèle du jardin des plantes de Florence pour la plantation de végétaux exotiques et nouveaux. Une série de planches exécutée pour le jardin botanique de Pise comprend certains modèles de parterres répétant exactement les motifs de Serlio. D’après Lucia Tongiorgi Tomasi cet exemple montre le transfert de l’institution vers le jardin aristocratique. En effet, cette compilation est à la base d’une autre série de dessins réalisée par Bartholomeus Memkins, et destinée au jardin de l’électeur Palatin Ludwig VII de Bavière, amateur de plantes rares. Memkins propose de cultiver une seule plante sur chaque planche du compartiment. Les travaux de Lucia Tongiorgi Tomasi et d’Ada Segré ont montré le détail de la composition des parterres. Sur la période qui nous intéresse, plusieurs traités d’architecture, d’agriculture ou d’horticulture - Serlio (1537), Estienne (1584), de Serres (1600), Vinet et Mizault (1607), Lauremberg (1631-2), Ferrari (1633) - montrent des plans destinés au dessin des parterres. Un recueil de projets de jardins dessiné par Hans Vredeman de Vries (1587) demeure un précieux témoignage et une source d’inspiration. Un seul véritable livre de modèles rédigé par Daniel Loris en 1629 est connu, il rassemble une suite de plus de deux cents motifs. Des compositions complexes, raffinées et souvent « contre-nature» qui nient parfois l’ordre régulier de la perspective artificielle. Ces modules juxtaposés à l’échelle du jardin, la virtuosité du tracé convertissaient certainement un certain aspect répétitif en une profusion de formes et de couleurs, probable allégorie de « la puissance germinative de la nature ». Aussi, la multiplicité des éléments perceptibles devait effacer et dissoudre dans la masse le dessin des motifs. De fait, la compartimentation en des carreaux garnis de plantes rares cultivées sur des planches aux formes chaotiques, est aussi, en tant que « processus sériel », un phénomène excessif. La compartimentation, outil de la pensée rationnelle, fut-elle détournée par le mouvement maniériste ? Compartir un jardin en diverses fleurs et figures. Durant la deuxième moitié du XVIe siècle les compositions à base de fleurs se caractérisaient certainement par leur légèreté. Les floraisons encore très proches de leurs parentes sauvages étaient relativement discrètes tant par la taille que par l’abondance. En résumé, l’évolution des parterres de fleurs se fait du Préau, d’origine médiévale, vers le parterre de bulbes des premières années du XVIIesiècle. Dans les années 1550 on fabrique encore les couronnes et les bouquets de fleurs sauvages dans des préaux en carreaux rompus. On y apprécie l’effet mil fleur ou esmaillé qu’évoque ici Maurice Scève et ailleurs Ronsard ou Catherine des Roches : Les jardins agencer en maints lieux tournoyés De promenoirs croisés de berseaux voutoyés, D’herbes, plantes, semés communes, & satives, Et odorantes fleurs de mille couleurs vives. À propos de la dernière suite, de Cornelis Floris: «These panels belong to a series of sixteen diverse ornament and tomb designs after drawings by one of the most prominent architects and sculptors in the Netherlands at the time, Cornelis Floris. Floris drew inspiration from the grotesque ornamentation unearthed in Roman ruins and from the work of contemporary Italian artists influenced by the motifs. These lighthearted inventions were intended to inspire craftsmen and artists”. (Met Museum). Exceptionnel ensemble à grandes marges réunissant 5 éditions originales rares et rarissimes ornées de 82 gravures du XVIe siècle sur les jardins, et leur embellissement: puits, fontaines etc… Provenances: Rothschild; Baron Alexis de Rédé.
Rare dans cette condition. Paris, Charpentier, 1863. 2 tomes en 2 volumes in-12 de : I/ (2) ff., iv pp., 373, (3) ; II/ (2) ff., 382 pp., (2). Reliés en demi-veau blond, dos à nerfs ornés de filets dorés droits et pointillés, pièces de titre et de tomaison de maroquin havane et vert, tranches mouchetées. Reliure de l’époque. 176 x 112 mm.
« Edition originale rare » (Bulletin Morgand et Fatout, n°8224) du chef-d’œuvre de Théophile Gautier. « Il n’existe pas de grand papier de cet ouvrage, un des chefs-d’œuvre de Gautier » (Carteret, I, 333). « Recherché. Rare en reliures d’époque de qualité » (Clouzot, 129). « Il nous présente d’abord un château abandonné en Gascogne, dans la première moitié du XVIIe siècle, où le dernier héritier des Sigognac vit mélancoliquement dans la misère, avec la seule compagnie d’un vieux valet, d’une haridelle et d’un chat. Une troupe de neuf comédiens errants interrompt sa solitude pleine de paresse, en lui demandant l’hospitalité pour une nuit. Ces gens étranges accompagnés de quatre femmes, avec leur enjouement, leur langage gracieusement maniéré, avec leur bonne humeur sans arrière-pensée, enchantent le jeune baron de Sigognac et le persuadent de se joindre à eux, au moins pour rejoindre Paris où il trouvera meilleure fortune. Ensuite le jeune homme finit par se lier d’amitié avec ces braves gens et, à la mort du pauvre Matamore, accepte de prendre sa place, en prenant le nom de Capitaine Fracasse. Un amour profond et délicat commence à le lier à la jeune Isabelle. Pendant ce temps se déroulent d’étranges aventures et défilent sous nos yeux d’agréables descriptions de pays, de villages, d’auberges, tavernes, bouges, théâtres et villes... Il est clair que cette œuvre dérive du ‘Roman comique’ de Scarron. Une fois de plus la meilleure inspiration de Th. Gautier est d’ordre descriptif : il a ici dessiné et colorié une belle série d’estampes Louis XIII, comme il avait cherché à faire une collection d’exquis tableaux de la fin du XVIIe siècle dans ‘Mademoiselle de Maupin’ [...] le livre doit être considéré comme l’œuvre en prose la mieux réussie et la plus caractéristique de cet écrivain pittoresque. » (Dictionnaire des Œuvres, I, 555). Bel exemplaire du chef-d’œuvre de Gautier revêtu d’élégantes reliures de l’époque. Rare dans cette condition.
Paris 1926 Gravure à la pointe sèche de forme ovale signée à l'aquatinte, et petit détail colorié à la main. Connu sous le nom Élégantes au lézard. Vers 1926, Paris. La gravure représente deux femmes sur une terrasse regardant un petit lézard et jouant avec lui avec un bâton. L'oeuvre est signée au crayon par Jean Hardy en bas, en bas à droite. Numéroté au crayon # 84 sur 350. Dans un cadre ovale en bois foncé de style art déco. L'impression est supposée en excellent état, mais n'a pas été retirée de son cadre en bois. Le cadre est en très bon état, avec quelques rayures mineures. Taille réelle de l'image : 440 x 530 mm (17Œ x 20Ÿ pouces). C'est un exemple fantastique de la passion des Années folles (France dans les années 1920) pour ce qu'on appelait «l'art du boudoir». Louis Icart et Jean Hardy étaient deux des plus populaires. Taille dans le cadre : 670 x 560 mm
Signed oval shaped drypoint etching with aquatint, and small detail coloured by hand. Known as Élégantes au lézard. Circa 1926, Paris. The etching depicts two women on a terrace watching a small lizard, and playing with it with a stick. The work is signed in pencil by Jean Hardy on the bottom, lower right. Numbered in pencil # 84 of 350. In an oval art déco style dark wooden frame. Print is assumed in excellent condition, but has not been removed from its wooden frame. The frame is in very good condition, with some minor scratches. Actual image size: 440 x 530 mm (17Œ x 20Ÿ inches). This is a fantastic example of the Années folles (France in the 1920s) passion for what was known as 'Boudoir Art'. Louis Icart and Jean Hardy were two of the most popular. Size in frame: 670 by 560 mm (26œ by 22 inches).
Paris 1926 Gravure à la pointe sèche de forme ovale signée à l'aquatinte, et petit détail colorié à la main. Connu sous le nom Élégantes au lézard. Vers 1926, Paris. La gravure représente deux femmes sur une terrasse en train de cueillir des roses, surveillées par un oiseau exotique à l'air indigné. L'oeuvre est signée au crayon par Jean Hardy en bas, en bas à droite. Numéroté au crayon # 120 sur 350. Dans un cadre ovale en bois foncé de style art déco. L'impression est supposée en excellent état, mais n'a pas été retirée de son cadre en bois. Le cadre est en très bon état, avec quelques rayures mineures. Taille réelle de l'image : 440 x 530 mm (17Œ x 20Ÿ pouces). C'est un exemple fantastique de la passion des Années folles (France dans les années 1920) pour ce qu'on appelait «l'art du boudoir». Louis Icart et Jean Hardy étaient deux des plus populaires. Taille dans le cadre : 670 x 560 mm
Signed oval shaped drypoint etching with aquatint, and small detail coloured by hand. Known as Élégantes au lézard. Circa 1926, Paris. The etching depicts two women on a terrace picking roses, watched over by an indignant looking exotic bird. The work is signed in pencil by Jean Hardy on the bottom, lower right. Numbered in pencil # 120 of 350. In an oval art déco style dark wooden frame. Print is assumed in excellent condition, but has not been removed from its wooden frame. The frame is in very good condition, with some minor scratches. Actual image size: 440 x 530 mm (17Œ x 20Ÿ inches). This is a fantastic example of the Années folles (France in the 1920s) passion for what was known as 'Boudoir Art'. Louis Icart and Jean Hardy were two of the most popular. Size in frame: 670 by 560 mm (26œ by 22 inches).
Gaston Drouet. 1923. In-Plano. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Agrafes rouillées, Intérieur acceptable. 16 pages agrafées - rousseurs sur les plats et sur les contre plats - nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Revue des élégances par la Comtesse de Vérissey - les robes en organdi - un éleveur en chambre par Arthur Dourliac - l'heure du thé à Vichy - les jolis manteaux de soie - les élégantes robes-manteaux - toilettes élegantes pour cortège - deux jolies modèles à manches longues - création Callot - création Philippe et Gaston - la fantasie des blouses - le sport et la mode par Ph.H.M.Talma. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues