‎RICARDOU Jean‎
‎Lettre autographe signée ‎

‎8 septembre 1973, 21x29,7cm, une feuille avec enveloppe.‎

Reference : 65902


‎Lettre autographe signée de Jean Ricardou à Georges Raillard, critique littéraire et spécialiste du Nouveau roman. 18 lignes au feutre noir, enveloppe jointe. Ricardou entretient son destinataire d'un prochain colloque : "C'est gentil de répondre favorablement. [Claude] Simon aussi en sera très heureux. Cependant, j'aimerais que vous puissiez me faire part dès que possible de votre sujet". Il s'agit d'une conférence sur Claude Simonqui se tint l'année suivante, dans le cadre des célèbres rencontres littéraires du château de Cerisy. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎"TOCQUEVILLE, Comte Alexis de;"‎

Reference : CLL-691

(1844)

‎Lettre autographe signée (2 pp. in-8) datée du 8 août 1844.‎

‎1844 ‎


‎"Précieuse lettre autographe inédite signée de Tocqueville, du 8août 1844, par laquelle il recommande le tout jeune Gobineau (1816-1882) au spécialiste français des organismes de prévoyance: quoique son nom n'apparaisse pas en tête de la lettre, il s'agit du baron Charles Dupin (1784-1873) qui venait de publier Constitution, histoire et avenir des Caisses d'épargne de France (Paris, Firmin-Didot, 1844). Deux membres de l'Académie des Sciences morales et politiques. Tocqueville s'intéresse alors au sujet des caisses d'épargne dans le cadre d'une étude à l'ambition beaucoup plus large, relevant de la philosophie politique: ""Monsieur et cher confrère, / Je suis chargé, comme vous ne l'ignorez pas, par l'Académie des sciences morales et politiques d'un grand travail qui a pour objet de rechercher quels on été les progrès pratiques de la morale depuis cinquante ans et de quelle manière celle-ci a de plus en plus pénétré dans la sphère des affaires publiques et inspiré les législateurs."" Charles Dupin aurait été peu fondé, en effet, à ignorer la mission confiée à Tocqueville par L'Académie des sciences morales et politiques -une création, ou plutôt une recréation de Guizot en 1832- puisque tout comme lui il en était membre. Une trace précoce de l'amitié entre Tocqueville et Gobineau, de onze ans son cadet. Après avoir souligné l'intérêt pour son étude des ""institutions de bienfaisance"" dont les caisses d'épargne sont un exemple, Tocqueville explique avoir délégué une part notable de ses recherches préparatoires à ""un de mes amis Mr de Gobineau"" - Gobineau qui, à moins de trente ans, n'est encore ni l'auteur de l'Essai sur l'inégalité des races humaines (1853-55) ni même l'éminent spécialiste de la civilisation persane. Le contexte de cette collaboration -et, partant, de la présente lettre- se trouve clairement exposé dans la présentation des lettres de Tocqueville à Gobineau lui-même qui furent publiées dans la Revue des Deux Mondes (5e période, t.39) en 1907: ""Les origines de leur amitié ne nous sont pas connues. Mais on se les expliquera facilement en considérant que tous deux étaient issus de familles royalistes et qu'ils avaient des amis communs, comme le comte de Kergolay."" Il est permis de penser, en parcourant ces missives, que ce travail commun n'aboutit jamais, même si la Revue des Deux Mondes se montre à ce sujet prudente: ""Nous ne savons pas ce qu'est devenu ce travail: il ne se trouve ni dans les Mémoire de l'Académie, ni dans les œuvres complètes de Tocqueville."" À la recherche du temps perdu… La lettre à Dupin laisse d'ailleurs deviner chez Tocqueville un certain découragement, précoce, vis à vis d'une tâche pour laquelle il semble que Gobineau, son nègre pour ainsi dire, n'ait pas non plus fait preuve d'un enthousiasme excessif… ""Seriez-vous assez bon pour lui donner quelque avis sur la manière dont il doit diriger son travail? Vous êtes assurément l'homme de France qui connait le mieux la matière dont il va s'occuper et j'a pensé que quelques indications de vous lui seraient bien utiles et pourraient me mettre moi-même plus en état que je ne suis de remplir les vues de l'Académie."" En revanche, les louanges qu'il adresse à Charles Dupin paraissent avoir été sincères, puisqu'il est généralement reconnu que c'est chez cet économiste -également ingénieur, mathématicien et, dit-on, inspiration du personnage d'Edgar Poe partageant son patronyme- que Tocqueville avait puisé une grande part des conceptions exposées dans ses premiers écrits de la fin des années 1830 sur le paupérisme. Quant aux relations privilégiés entre Tocqueville, le modéré, et son cadet, plus royaliste que le roi, elles survivront à l'échec probable de leur commune entreprise puisque lorsque lorsque le philosophe du célèbre De la démocratie en Amérique deviendra l'éphémère ministre des Affaires étrangères du gouvernement Barrot en 1849, son directeur de cabinet, en dépit de ces opinions politiques dissemblables, ne sera autre qu'Arthur de Gobineau."‎

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‎"SAY, Jean-Baptiste;"‎

Reference : CLL-765

(1832)

‎Lettre autographe signée à Émile Pereire. Elle est datée Paris, 23 avril 1832. Elle est inédite. 3 pages in-8 sur un bi-feuillet (200 x 252mm) rédigées à l'encre brune, plus libellé de l'adresse et cachets de la poste au second verso.‎


‎"Comme un passage de relai du grand économiste libéral à l'entrepreneur visionnaire. Il s'agit d'une lettre de félicitation adressée par Jean-Baptiste Say (1767-1832) au bouillant trentenaire Émile Pereire (1800-1875) pour deux longs articles publiés dans la Revue encyclopédique ayant fait l'objet de tirés à part, que le grand économiste classique se propose d'inclure à son cours du Collège de France: - Examen du budget de 1832: réformes financières, examen théorique et pratique de l'amortissement; reconstitution des rentes viagères, moyen de supprimer immédiatement la totalité des impôts du sel, des boissons, du tabac et de la loterie (décembre 1831). - Considérations sur les finances de France et des États-Unis, à l'occasion de la discussion des Messieurs Saulnier, Femmore Cooper et le général Bernard (mars 1832). De la mondialisation des polémiques… Les deux questions, en dépit des apparences, étaient liées, et l'un comme l'autre ouvrage prenaient le contre-pied des positions de l'influent fondateur de la Revue britannique, Sébastien-Louis Saulnier (1790-1835) qui, en plus de divers réquisitoires contre le ""rêve américain"" des libéraux du Vieux Continent, ouvrit ses pages aux promoteurs d'une conception ""française"" des politiques fiscales et monétaires. ""Monsieur, Ayant eu occasion de lire votre brochure en réponse à la Revue britannique, elle m'a paru renfermer des choses si vraies et si bonnes, ou plutôt si bonnes parce qu'elles étaient vraies, que j'ai désiré en témoigner personnellement ma satisfaction à l'auteur. […]"" Précisons que s'était joint à la polémique soulevée par Saulnier, et cela juste avant de passer dans l'opposition, un certain La Fayette. J.-B. Say fut lui-même un chef d'entreprise fort avisé, pionnier des manufactures de coton. Inversement, Émile Pereire est resté célèbre comme entrepreneur et banquier alors qu'à la date de cette lettre, ce tout jeune homme s'était surtout fait connaître par ses nombreux articles théoriques et polémiques sur l'économie parus dans la presse. Pourtant, c'est des futures responsabilités politiques de Pereire (sous le second Empire) que son aîné paraît avoir le pressentiment: ""Votre examen du budget de 1832 n'est pas moins excellent que votre écrit sur les finances d'Amérique; et quand notre nation entendra quelque chose à l'économie, vous serez appelé à rendre de grands services à l'administration de nos finances."" L'économiste poursuit en critiquant le primat trop souvent accordé, à son sens, aux politiques des changes, et pose le faible coût des marchandises comme le vrai critère de la richesse d'une nation. Un cours sur les États-Unis, l'année où Tocqueville s'en revient d'Amérique. À défaut d'une connaissance de première mains des États-Unis dans ces années 1830, J.-B. Say, pour juger de ces questions américaines soulevées par Pereire, d'une formation très anglo-saxonne acquise lors de son séjour en Angleterre du temps de ses 20 ans (1785-86). Par la suite, entré dans la carrière alors que la Grande-Bretagne n'avait guère bonne presse, à défaut d'Adam Smith l'Écossais, il ne manquait pas une occasion de se référer à l'Américain Benjamin Franklin. ""Dans les objets de consommation il faut comprendre les services personnels qui sont horriblement chers aux Etats Unis, tandis que, dans notre Europe, où la main d'oeuvre est offerte au rabais, on les obtient à vil prix. Or les services personnels comprennent ceux d'un valet de charrue aussi bien que ceux d'un valet de chambre et d'un charretier de même que ceux d'un cocher. Ce ne sont donc pas les objets de mode, les produits de l'industrie d'Europe qui sont fort chers en Amérique, mais une foule d'objets de consommation, ce qui fait que l'argent y vaut moins relativement, indépendamment de l'agir sur l'argent lui-même."" Les biens, mais aussi les services… Même à la fin de sa carrière et de sa vie, J.-B. Say demeure un moderne, possédant une longueur d'avance sur nombre de ses contemporains. Par ailleurs, ennemi de l'interventionnisme étatique, la décentralisation inhérente aux États-Unis ne peut que l'intéresser au plus haut point: ""Ensuite les dépenses publiques américaines que M. Saulnier fait sonner bien haut, comment se dépensent-elles? La très grande majeure partie paie des fonctionnaires de municipalité & de provinces, et conséquemment augmente les revenus des localités en même tems [sic] que leurs dépenses; les uns neutralisent les autres."" Le rappel de l'un des fondamentaux de la théorie économique de J.-B. Say: l'utilité. ""Enfin comment sont elles dépensées ces dépenses publiques [celles des États-Unis] de tout genre? Elles paient de [sic] services utiles, des objets utiles au public""… C'est l'auteur qui souligne. L'utilité, on le sait, est pour lui le principe constitutif de la valeur. L'originalité ici est qu'il transpose ce principe au traitement de ce qu'on a coutume d'appeler ""la question sociale"". En bon libéral, en effet, s'il se soucie plus de la condition ouvrière que certains de ses successeurs, J.-B. Say est convaincu qu'entretenir une armée de fonctionnaires chargée de réfléchir au bien-être du peuple n'est nullement le meilleur moyen de l'améliorer: ""… et je voudrais bien savoir en quoi l'énorme quantité de buches brulées dans les ministères, soulagent les familles d'ouvrier qui périssent de froid dans un grenier."" Il est clair que de son point de vue c'est plutôt en créant de l'activité, en générant de nouveaux débouchés, qu'investisseurs et producteurs parviendront à assurer leurs communs intérêts. C'est sans aucun doute l'avis de Pereire, qui vient à peine de rompre avec les saint-simoniens et recherche désormais une voie moins mystique afin d'atteindre à plus de justice sociale. ""Pardonnez-moi, Monsieur, ces bavardages. Il y a si peu de personnes qui les comprennent qu'on se laisse aller quand on rencontre des personnes versées autant que vous dans ces matières. Agréez mes sentiments d'estime et de dévouement. J.B. Say professeur d'Economie politique au collège de France Rue Richer N°3 bis"" De la solitude de l'économiste libéral en France… Cependant, si Jean-Baptiste Say, célébré mais incompris, tirera bientôt sa révérence, pour Émile Pereire tout ne fait que commencer, et lui n'est pas seul: avec son frère Isaac, il va fonder dès 1835 la fameuse Compagnie des Chemins de fer de Paris à Saint-Germain, puis sous l'Empire viendra le temps du Crédit Mobilier et d'une carrière politique vouée à défendre la libéralisation de l'investissement, condition sine qua non d'un capitalisme moderne."‎

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‎"TOCQUEVILLE, Comte Alexis de;"‎

Reference : CLL-870

(1835)

‎Lettre autographe signée (4 pp. in-12) datée du 24 août 1835 du château de Nacqueville, propriété d'Hyppolite de Tocqueville, frère d'Alexis de Tocqueville.‎


‎"Vigoureux plaidoyer en faveur de la liberté de la presse à la veille du vote de la ""loi scélérate"" du 9 septembre 1835. Cette lettre est adressée à Eugène Janvier (1800-1852), homme politique français, proche partisan de Guizot. Après l'attentat raté de Fieschi (28 juillet 1835) contre Louis-Philippe, dont il attribue la responsabilité à la presse - les journaux de Philippon sont particulièrement visés - , le gouvernement fait voter à son encontre des lois très restrictives. Elles interdisent de fait la satire politique. Tocqueville rentre juste de son second voyage en Angleterre durant lequel il a constaté avec effroi les conditions de vie des ouvriers de Manchester. ""Quoique je doive vous revoir dans très peu de jours, mon cher Janvier, je ne puis résister au désir de vous écrire pour vous faire part de la satisfaction que j’ai éprouvée hier en débarquant en France. Ma première demande, comme vous pouvez croire, a été des journaux. […]"" Il développe une attaque contre Guizot qui vient de prononcer un violent discours contre la presse : ""Je vous avoue qu’en revanche, j’ai été peu édifié de la manière dont a parlé Mr Guizot […]. Sa métaphisique [sic] politique tendant à prouver que la peur entrait pour un élément indispensable dans la moralité humaine m’a causé un dégoût que je ne saurais dissimuler. […] La liberté de la presse peut être considérée sous certains rapports comme une religion. Il n’y a qu’une manière de tuer une religion, c’est de faire disparaître d’un seul coup toutes ses statues, comme on l’a fait au Japon pour le christianisme. […] Je viens dans ce moment d’un pays [l'Angleterre] où j’ai été forcé d’entendre de dures vérités sur la France et malheureusement de les entendre sans y répondre. Je voudrais que les prétendus amis de la liberté raisonnable qui présentent les lois nouvelles puissent écouter ce qu’on dit d’eux de l’autre côté du détroit; non pas les radicaux, non pas les whigs mais les tories eux-mêmes, eux qu’on appellent [sic] les ennemis de la liberté en Angleterre. Il n’y a qu’un cri sur les mesures que le gouvernement français vient de proposer et qui, je n’en doute pas, seront très docilement adoptées par les chambres. […] Les attributions de la chambre des pairs excitent sur tous les plus vives clameurs. Les Anglais comparent hautement cette institution nouvelle à leur fameuse chambre étoilée et je pense en effet qu’il existe plus d’analogie entre ces deux choses qu’entre la Révolution de 1688 et celle de 1830 que Mr Guizot trouvait si semblables."""‎

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‎DOUCET, Camille ; MONVAL, Georges ; DELPIT, Albert‎

Reference : 65128

(1885)

‎[ 3 L.A.S. adressées à Mlle Simone Arnaud Delage ] Lettre autographe signée de Camille Doucet, de l'Académie Française, 1 page à en-tête de l'Institut de France sous enveloppe marquée "Académie Française", datée du 25 mai 1885 : "Mademoiselle et chère confrère, Rien de plus touchant et de plus dramatique que votre Roche "Mengan", j'en suis encore tout ému & je m'empresse de joindre mes très sincères compliments aux remerciements que je vous dois pour votre bon et gracieux souvenir" ; Lettre autographe signée de Georges Monval, Bibliothécaire Archiviste de la Comédie Française, datée du 12 février 1883, 1 page sous enveloppe : "Mademoiselle, J'ai l'honneur de vous informer que, dans sa séance du 8 février, le Comité d'Administration du Théâtre Français a pris connaissance du rapport fait par la Commission d'examen sur votre comédie : "Mademoiselle du Vigean". J'ai en même temps le plaisir de vous annoncer que le Comité, s'associant aux conclusions de ce rapport, a réservé votre ouvrage pour l'envoyer devant le Comité de Lecture" ; Lettre autographe signée de l'écrivain Albert Delpit, 4 pages sous enveloppe : "Mademoiselle, j'irai vous voir demain. [ ... ] Il est fort possible que je ne sois pas libre à 4 h ; mais plus tard. Et j'ai besoin de vous voir car j'ai des conseils importants à vous donner sur Jane Grey. Voulez-vous que nous admettions ceci ? Si vous ne receviez rien de moi, demain avant midi, c'est que j'irai rue St Pétersbourg [ ... ] ‎

‎[ 3 L.A.S. adressées à Mlle Simone Arnaud Delage ] Lettre autographe signée de Camille Doucet, de l'Académie Française, 1 page à en-tête de l'Institut de France sous enveloppe marquée "Académie Française", datée du 25 mai 1885 : "Mademoiselle et chère confrère, Rien de plus touchant et de plus dramatique que votre Roche "Mengan", j'en suis encore tout ému & je m'empresse de joindre mes très sincères compliments aux remerciements que je vous dois pour votre bon et gracieux souvenir" ; Lettre autographe signée de Georges Monval, Bibliothécaire Archiviste de la Comédie Française, datée du 12 février 1883, 1 page sous enveloppe : "Mademoiselle, J'ai l'honneur de vous informer que, dans sa séance du 8 février, le Comité d'Administration du Théâtre Français a pris connaissance du rapport fait par la Commission d'examen sur votre comédie : "Mademoiselle du Vigean". J'ai en même temps le plaisir de vous annoncer que le Comité, s'associant aux conclusions de ce rapport, a réservé votre ouvrage pour l'envoyer devant le Comité de Lecture" ; Lettre autographe signée d'Albert Delpit, 4 pages sous enveloppe : "Mademoiselle, j'irai vous voir demain. [ ... ] Il est fort possible que je ne sois pas libre à 4 h ; mais plus tard. Et j'ai besoin de vous voir car j'ai des conseils importants à vous donner sur Jane Grey. Voulez-vous que nous admettions ceci ? Si vous ne receviez rien de moi, demain avant midi, c'est que j'irai rue St Pétersbourg [ ... ] ‎


‎Ensemble de 3 lettres autographes signées adressées à la future Mme Copin-Albancelli, par Camille Doucet, Georges Monval et Albert Delpit.‎

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EUR295.00 (€295.00 )

‎"BARBEY D'AUREVILLY, Jules;"‎

Reference : CLL-781

(1879)

‎Lettre autographe signée, Valognes 15 septembre [1879], à Charles Lefèvre, administrateur du Constitutionnel, 1 page in-8 à l’encre rouge à sa devise Never More, enveloppe avec cachet de cire rouge.‎


‎“Voulez-vous être assez bon pour me faire envoyer votre Constitutionnel ici, à Valognes, hôtel Grandval ? J’ai oublié en partant, de dire qu’on me l’envoyât”. Il sera de retour au début du mois d’octobre, mais d’ici là “vous recevrez un article de moi, – le second article de 7bre” En post-scriptum, il ajoute “Mille compliments à Grenier – que je suis toujours impatient de lire”.‎

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