‎BECKETT Samuel‎
‎Poèmes‎

‎Les Editions de Minuit, Paris 1968, 14,5x19,5cm, broché.‎

Reference : 51865


‎Edition originale, un des 100 exemplaires hors commerce numérotés sur B.F.K. de Rives, seuls grands papiers avec 662 autres B.F.K. de Rives. Précieux envoi autographe daté de Février 1968 et signé de Samuel Beckett à son ami le peintre Geer (Van Velde) et à sa femme Lise. Petites piqûres sur le premier plat marginalement et légèrement insolé. « Que dire de ces plans qui glissent, ces contours qui vibrent, ces corps comme taillés dans la brume, ces équilibres qu'un rien doit rompre, qui se rompent, et se reforment à mesure qu'on regarde ? Comment parler de ces couleurs qui respirent, qui halètent ? de cette stase grouillante ? de ce monde sans poids, sans force, sans ombre ? Ici tout bouge, nage, fuit, revient, se défait, se refait. Tout cesse, sans cesse. On dirait l'insurrection des molécules, l'intérieur d'une pierre un millième de seconde avant qu'elle ne se désagrège. C'est ça la littérature. » (La Peinture des van Velde ou Le monde et le pantalon, in Cahiers d'Art n°11-12, Paris 1945) Beckett ne parle pas ici, malgré les apparences, de son uvre littéraire mais de la peinture de Geer Van Velde, ajoutant quelques lignes plus loin: «[Bram] Van Velde peint l'étendue. G[eer] Van Velde peint la succession.» Cet éloge, publié à l'occasion de la double exposition des Van Velde, Geer chez Maeght et Bram à la galerie Mai, est le premier texte d'importance sur ces peintres alors à peu près inconnus du public: «On ne fait que commencer à déconner sur les frères VanVelde. J'ouvre la série. C'est un honneur.» Il est aussi le premier texte critique écrit directement en français par un jeune écrivain irlandais qui n'a encore jamais publié en France. Ainsi, le premier et plus important écrit sur l'art de Beckett, composé à l'aube de sa carrière littéraire, instaure, dès l'origine, une relation fondamentale entre son uvre en gestation et la peinture de ses amis: «Aussi a-t-on souvent lu ce texte en creux, ou en miroir, comme une des rares désignations de la poétique (à venir) de Beckett par lui-même, une sorte de programme anamorphique d'écriture» (Un pantalon cousu de fil blanc: Beckett et l'épreuve critiquepar Pierre Vilar) Véritable déclaration d'intention du dramaturge, ce texte fondamental - dont Beckett confesse dès l'introduction la valeur introspective: «avec les mots on ne fait que se raconter» - inaugure la période créatrice la plus fructueuse de l'écrivain. En effet, à l'instar d'Apollinaire et de Cendrars, Beckett puise dans les problématiques artistiques de ses contemporains le ferment de son écriture à venir par «la mise en cause la plus profonde des présupposés narratifs, figuratifs ou poétiques.» (Pascale Casanova inBeckett l'abstracteur) L'influence majeure de la peinture moderne sur la structure - ou déstructuration - narrative du théâtre et des romans de Beckett sera révélée et analysée par de nombreux penseurs, dont Gilles Deleuze, Julia Kristeva ou Maurice Blanchot. C'est justement à partir de la peinture des Van Velde, de Geer, puis de Bram, que Beckett formalise cette volonté de traduire la question picturale en dramaturgie. Ainsi refuse-t-il les décors de Nicolas de Staël pourEn attendant Godotcar: «Il faut que le décor sorte du texte, sans y ajouter. Quant à la commodité visuelle du spectateur, je la mets là où tu penses. Crois-tu vraiment qu'on puisse écouter devant un décor de Bram, ou voir autre chose que lui?» (Lettre à Georges Duthuit, 1952). Lorsqu'il rencontre Geer en 1937, «Beckett traverse une crise existentielle majeure, il vient de remodeler son premier romanMurphy, refusé par un grand nombre d'éditeurs, il sombre dans l'alcoolisme, quitte l'Irlande et s'installe définitivement à Paris» (Le Pictural dans l'uvre de Beckett,Lassaad Jamoussi). Il revient d'un long voyage artistique en Allemagne où il s'est imprégné d'uvres classiques et d'art contemporain - c'est lors de ce voyage qu'il découvre lesDeux hommes contemplant la lunede Caspar David Friedrich, à l'origine deEn attendant Godot. L'art est alors au cur de sa réflexion créatrice et l'amitié qui va le lier à Geer puis plus tard à Bram et à leur sur Jacoba (avec laquelle il entretint peut-être une relation plus qu'amicale) va profondément influencer sa vie et son écriture. Son premier écrit sur l'art est une courte notice sur Geer Van Velde dont il impose les uvres à sa nouvelle amante Peggy Guggenheim à l'occasion de la création de sa galerie londonienne. Malgré l'échec relatif de l'exposition (qui suit celle de Kandinsky), il obtient de Peggy une bourse d'un an pour son ami. James Knowlson avance même que «si Beckett a longtemps gardé des liens étroits avec Peggy, c'est d'abord et avant tout parce qu'elle était susceptible de donner un sérieux coup de pouce à ses amis artistes, à commencer par Geer Van Velde.» (inBeckettp. 474) Enigmatique, la petite note que Beckett rédige alors à la demande de Peggy contient déjà en germe la pensée du dramaturge: «Believes painting should mind it on business, i.e. colours. i.e no more say Picasso than Fabritius, Vermeer. Or inversely. » (« Pense que la peinture devrait se mêler de ses propres affaires, c'est-à-dire la couleur, c'est-à-dire pas plus de Picasso que de Fabritus ou Vermeer. Et inversement. ») Plus lents à croître, son amitié pour Bram et son intérêt pour sa peinture modifient peu à peu le regard de Beckett sur la peinture de Geer et lorsque, dix ans après sa première rencontre avec les frères, il écritLe Monde et le Pantalon, Beckett met à jour une dualité symbolisée par ce titre tiré d'une anecdote placée en exergue de l'article. Le monde, c'est l'uvre «imparfaite» de Dieu créé en six jours à laquelle le tailleur oppose la perfection de son pantalon achevé en six mois. La relation entre cette anecdote et les frères Van Velde est peut-être à chercher dans le second essai que Beckett leur consacre en 1948,Peintres de l'empêchement(Derrière le miroirn°11/12): «L'un d'eux dira: Je ne peux voir l'objet, pour le représenter, parce qu'il est ce qu'il est. L'autre: je ne peux voir l'objet, pour le représenter, parce que je suis ce que je suis. Il y a toujours ces deux sortes d'empêchement, l'empêchement-objet et l'empêchement-il. [...] Geer Van Velde est un artiste de la première sorte [...], Bram Van Velde de la seconde.». Résistance de l'objet ou impuissance de l'artiste, cette fable, «véritable noyau narratif premier en forme de kôan zen» (P. Vilar), se retrouvera ensuite dispersée dans l'ensemble de l'uvre de Beckett et occupera plus particulièrement une place centrale dansFin de Partie, dont Roger Blin, note par ailleurs la similitude avec l'uvre de Geer: «Il était ami à cette époque des frères Geer et Bram van Velde, hollandais et peintres tous deux. Geer était un peintre dans la lignée de Mondrian. J'ai le sentiment que Beckett voyaitFin de partiecomme un tableau de Mondrian, avec des cloisons très nettes, des séparations géométriques, de la géométrie musicale.» (R. Blin,Conversations avec Lynda PeskineinRevue d'Esthétique). L'affinité grandissante de Beckett avec l'uvre de Bram Van Velde et l'énergie qu'il dépense pour défendre son travail, notamment auprès de la galerie Maeght ou de son ami, l'historien d'art Georges Duthuit, se feront sans doute aux dépens de ses relations avec Geer. Cependant, malgré quelques malentendus, leur amitié ne sera jamais rompue, ni le dialogue silencieux mais agité que l'écrivain entretient avec l'uvre du petit frère van Velde dont il possédait deux grandes toiles: «Le grand tableau de Geer me fait enfin des signes. Dommage qu'il ait si mal tourné. Mais ce n'est peut-être pas vrai.» (lettre à Georges Duthuit, mars 1950) «Geer dégage un grand courage. Des idées un peu tranchantes, mais peut-être seulement en apparence. Je l'ai toujours beaucoup estimé. Mais pas assez je crois.» (lettre à Mania Péron, août 1951) La mort de Geer Van Velde en 1977 affecte profondément Beckett et coïncide avec une période d'intense nostalgie durant laquelle l'écrivain décide de se livrer à un «grand ménage» dans sa demeure pour vivre entre des «murs gris comme le propriétaire». Confiant ses états d'âme à son amie, la décoratrice de théâtre Jocelyn Herbert, Beckett témoigne de l'indéfectible affection qu'il porte au peintre depuis quarante ans:«plus de toiles sous les yeux, y compris celle du grand Geer Van Velde derrière le piano». Précieux témoignage de l'amitié de ces compagnons de route qui, depuisle premier roman de Beckett pour lequel ils vérifiaient ensemble la vraisemblance de la partie d'échecs opposant Murphy à M. Endon, ont affronté ensemble les grands enjeux de la modernité: «C'est qu'au fond, la peinture ne les intéresse pas. Ce qui les intéresse, c'est la condition humaine. Nous reviendrons là-dessus.» (Beckett à propos des frères Van Velde, inLe Monde et le Pantalon) - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎PIOT (André)‎

Reference : 549843

(1955)

‎Poèmes de Hollande. Poèmes étrangers mis en poésie française par... Avec un portrait de Henriëtte Roland Holst par Roland Holst.‎

‎ Paris, s.n., [Presses des Compagnons du Devoir du Tour de France], 1955. In-4, en feuilles, sous couv. rempliée de papier bleu, imprimée en vert et ornée d’une vignette, frontispice gravé par R. Armanelli, 117 pp., poèmes traduits en français avec le texte original en néerlandais. Edition originale tirée à 500 exemplaires numérotés, sur papier vergé. ‎


‎Envoi de l’auteur au poète et critique littéraire Yves-Gérard Le Dantec "à qui rien de la Poésie ne peut être étranger / En amical hommage"... Couverture lég. défraîchie. Intérieur frais. Bel exemplaire. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €) ‎

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‎BRECHT, Bertolt‎

Reference : 131411

(1968)

‎Poèmes (Complet en 9 tomes)‎

‎L’Arche 1968 9 volumes. In-12 broché 17,5 cm sur 11,5. Couvertures passées et poussiéreuses, intérieurs frais. 198p + 277p + 238p + 237p + 231p + 221p + 166p + 238p + 246p. État correct d’occasion.‎


‎Tome 1 - Sermons domestiques, Extraits d'un manuel pour habitants des villes, Histoires de la Révolution (1918-1929)Tome 2 - Poèmes inédits et ne figurant pas dans des recueils, Chansons et poèmes extraits des pièces (1913-1929)Tome 3 - Chansons, poèmes, Choeurs, Les Trois Soldats, Les Sept Péchés capitaux des petits bourgeois (1930-1933)Tome 4 - Poèmes de svendborg, Poèmes chinois, Études. Poèmes extraits de L’ Achat du cuivre, Recueil de Steffin,(1934-1941)Tome 5 - Poèmes ne figurant pas dans des recueils, Chansons et poèmes extraits des pièces(1934-1941)Tome 6 - Poèmes d'exil, Poèmes ne figurant pas dans des recueils, Chansons et poèmes extraits des pièces(1941-1947)Tome 7 - Élégies de Buckow - Poèmes ne figurant pas dans des recueils - Chansons et poèmes extraits des pièces. (1948 - 1956)Tome 8 - Suppléments aux Poèmes. (1913 - 1956)Tome 9 - Chansons et poèmes Extraits Des pièces et autres oeuvres, Poèmes sur des pièces, Fragments (1913-1956) Etat correct d’occasion ‎

Librairie de l'Avenue - Saint-Ouen

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EUR259.00 (€259.00 )

‎Brecht Bertolt‎

Reference : R100069380

(1976)

‎Poèmes - 7 volumes - Tome 1+ 4+5+6+7+8+9 (voir notice).‎

‎L'Arche. 1966-1976. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos plié, Intérieur acceptable. 198 pages + 237 pages + 231 pages + 221 pages +166 pages + 239 pages + 246 pages.. . . . Classification Dewey : 830-Littératures des langues germaniques‎


‎Tome 1 : Sermons domestiques - extraits d'un manuel pour habitants des villes, histoires de la révolution 1918-1929 - Tome 4 : Poèmes de Svendborg, poèmes chinois, études, poèmes extraits de l'achat du cuivre, recueil de Steffin 1934-1941 - Tome 5 : Poèmes ne figurant pas dans des recueils, chansons et poèmes extraits des pièces 1934-1941 - Tome 6 : Poèmes d'exil, poèmes ne firant pas dans des recueils, chansons et poèmes extraits des pièces 1941-1947 - Tome 7 : elégies de Buckow, poèmes ne figurant pas dans des recueils, chansons et poèmes extraits des pièces 1948-1956 - Tome 8 : Suppléments aux poèmes 1913-1956 - Tome 9 : Chansons et poèmes extraits des pièces et autres oeuvres, poèmes sur des pièces fragments 1913-1956. Classification Dewey : 830-Littératures des langues germaniques‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : R110067317

(1971)

‎POESIE 1 N° 17 - DIX POETES DU MYSTERE EVIDENT. Alain BOSQUET : la marquise n’ose plus sortir. Poèmes. Andrée CHEDID : Terre et poésie II. Poèmes. Pierre DALLE XOGARE : La dissimulation révélée. Poèmes. Françoise DELCARTE‎

‎LIBRAIRIE SAINT-GERMAIN-DES-PRES. JUILLET 1971. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 128 pages.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie‎


‎Sommaire : DIX POETES DU MYSTERE EVIDENT. Alain BOSQUET : la marquise n’ose plus sortir. Poèmes. Andrée CHEDID : Terre et poésie II. Poèmes. Pierre DALLE XOGARE : La dissimulation révélée. Poèmes. Françoise DELCARTE : Une syntaxe musicale? Poèmes. Jacques IZOARD : Fêter chaque parole. Poèmes. Roger KOYVALSKI : Noires armes. Poèmes. Bernard NOËL : Sept notes. Poèmes. Jean-Claude RENARD : Une transcendance ambiguë. Poèmes. Robert SA BATI ER : Je marche, je marche. Poèmes. Jude STEFAN : Rien à savoir. Poèmes Classification Dewey : 841-Poésie‎

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‎RICHEPIN, Jean ‎

Reference : 26111

(1881)

‎LA CHANSON DES GUEUX, Édition définitive revue et augmentée d'un grand nombre de poèmes nouveaux, d'une préface inédite et d'un glossaire argotique, par Jean RICHEPIN (1881)‎

‎Paris Maurice Dreyfous 1881 -in-12 demi-percale un volume, reliure demi-percale marron in-douze (duodecimo)(18,8 x 12 cm), RELIURE D'ÉPOQUE, dos long (spine without raised bands), décoration "or", Titre et Auteur frappés "or"avec deux filets "or" (gilt line) de part et d'autre, fleuron "or" au centre du dos, double filets "or" en pied, toutes tranches lisses , Ex Libris : gravé en noir au dos de la 1ère de couverture dans une vignette ronde blanche : aux Armes du Comte de LANJUINAIS [Victor Ambroise, vicomte « de » Lanjuinais, né le 5 novembre 1802 à Paris où il est mort le 1er janvier 1869, est un homme politique français. D'orientation libérale, ami de Tocqueville, il fut élu à plusieurs reprises député de la Loire-Inférieure et fut ministre sous la Deuxième République, propriétaire du château de Kerguéhennec, surnommé le Versailles breton, (château du XVIIIe siècle) situé à Bignan (Morbihan) - blasonnement : Écartelé : au 1, du quartier des Comtes Sénateurs de l'Empire ; au 2, d'argent à la croix potencée de sinople ; au 3, d'argent à trois mains dextres appaumées de carnation 2, 1, les doigts tournés à dextre; au 4, d'azur au lion d'or tenant de la patte sénestre une balance d'argent et de la dextre un frein du même. L'écu environné d'une bordure de sable], sans illustrations (no illustration), 295 pages, sans date (1881) Paris : Maurice Dreyfous Editeur, ‎


‎ La Chanson des gueux est un recueil de poèmes de Jean Richepin paru originellement en mai-juin 1876 chez Decaux, puis republié en 1881 sous une forme très différente dite "définitive" chez Dreyfous. En 1876, le public découvre Richepin avec La Chanson des gueux, placée dès le prologue sous l'égide de François Villon. Elle vaut immédiatement à son auteur un procès pour outrage aux bonnes murs. Le livre est saisi, des passages et des poèmes sont censurés et son auteur est condamné à un mois de prison à Sainte-Pélagie, à une amende et à la privation de ses droits civils et politiques.En 1881, Richepin publie une version remaniée qui tient compte de la censure : il supprime deux poèmes, Ballade de joyeuse vie et Fils de fille, plus la traduction de deux "Sonnets bigornes", et en corrige trois, Idylle de pauvres, Frère, il faut vivre, et Voyou. Parallèlement, il en modifie d'autres et surtout il en ajoute trente-cinq inédits, ainsi qu'une préface et un "Glossaire argotique" final. Par exemple, il remanie le premier "Sonnet bigorne" de la partie "GUEUX DES CHAMPS", dont il répertorie ensuite les termes dans le glossaire final et qu'il fait suivre par un "Autre sonnet bigorne" inédit avant 1881 ...... PLAN DE L'OUVRAGE : Prologue : Ballade du Roi des Gueux - Gueux des champs : Chansons de mendiants (14 poèmes)- Les Plantes, les Choses, les Bêtes (10 poèmes) - LOdyssée du vagabond (12 poèmes) - Gueux de Paris : - À Raoul Ponchon (1 poème)- Les Quatre Saisons (23 poèmes) - Au pays de Largonji (18 poèmes), Nous autres gueux : Nos gaietés (12 poèmes)- Nos tristesses (11 poèmes) - Nos gloires (8 poèmes), Épilogue : La fin des gueux ...... EDITION EN PARTIE ORIGINALE ...... Bel exemplaire ..... DE TRÉS BONNE ORIGINE .... TRÉS RARE .... En très bon état (fine condition). en trés bon état ‎

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