S.n., s.l. 1849, 60x80cm environ hors cadre, autre.
Reference : 45148
Réalisé par Charles Landelle l'un des artistes académiques les plus célèbres et les plus prisés du second empire, ce beau portrait de femme assise dans un fauteuil, reprend tous les codes du genre et montre la forte influence d'Ingres, grand maitre du portrait à son époque, qui ne fut pourtant pas son professeur. Le détail des mains en particulier fait directement référence au style du peintre de l'Odalisque et du Bain turc. L'oeuvre qui est signée et datée 1849 en bas à droite rappelle également un autre tableau célèbre: Le portrait de la Veuve Cliquot peint par Léon Cogniet deux ans plus tard. Cette année là le peintre expose deux portraits de femme au salon et nous pensons du fait de l'anonymat souvent public des modèles (simplement titré de l'initiale de leur nom) et du format important de cette peinture qu'il pourrait s'agir de l'un d'entre eux. Né en 1821 à Laval, Charles Landelle s'installe à Paris à l'âge de quatre ans, puis intègre l'École Royale des Beaux-Arts en 1837 comme élève de Paul Delaroche et Ary Scheffer. Au début de sa carrière, Landelle peint plusieurs portraits pour subvenir à ses besoins. Très influencé par la peinture italienne après des voyages dans le Sud de la France et en Italie, il copie quelques toiles des grands maîtres de la Renaissance au Louvre. Médaillé au Salon dès ses premières expositions pour Fra Angelo recevant les inspirations de Dieu (1842) ou Sainte Cécile (1848), il s'illustre par des sujets religieux et historiques qui lui permettent de gagner la reconnaissance de la haute société de son époque. Ses succès critiques au Salon lui assurent vite de nombreuses commandes d'État, notamment Le Repos de la Vierge en 1854 qui lui vaut d'être décoré de la croix de Chevalier de la Légion d'Honneur. Cette même année il réalisa au pastel le portrait d'Alfred de Musset, aujourd'hui conservé au Musée du Louvre. L'artiste embrasse donc une carrière de peintre officiel entre commandes d'État et portraits de membres de la haute société. Capable de s'adapter au goût et aux modes de son temps, Landelle gagne vite une notoriété qu'il sait entretenir, n'oubliant jamais d'offrir un portrait ou une toile à ses bienfaiteurs. Dans la deuxième partie de sa carrière, après que la part officielle de celle-ci se fut quelque peu essoufflée, l'artiste effectue de nombreux voyages au Maroc, en Égypte, en Algérie et se consacre à l'orientalisme qui occupera une grande part de sa production jusqu'à sa mort en 1908. Aujourd'hui un certain nombre de ses oeuvres est conservé en musée. Un fond important a été légué à sa ville d'origine, Laval mais on retrouve également certaines de ses oeuvres au musée du Louvre, au musée Ingres de Montauban, au Musée des Beaux-arts de Grenoble, de Pau, Rouen ou encore au château de Versailles. Attention : Nous n'assurons pas le transport de cette oeuvre. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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[Imprimeries Gounouilhou] - MEAUDRE DE LAPOUYADE ; [ COURTEAULT, Paul ; LABADIE, Ernest ; LAFARGUE, Georges ]
Reference : 64701
(1915)
1 vol. in-4 reliure de l'époque bradel demi-vélin blanc, couverture conservée, Imprimeries Gounouilhou, Paris, 1915 [et 1916 ], 12 pp. avec portrait et 2 pp. avec portrait, enrichi de 2 L.A.S. de Paul Courteault (deux courriers relatifs à la publication du premier article dans le numéro de Septembre 1915 de la "Revue historique de Bordeaux" ; dans la seconde lettre, Paul Courteault demande quelques corrections des épreuves), avec 2 portraits ajoutés (Théodore Dauberval et Jean-Bercher Dauberval, avec notes manuscrites au crayon au verso, ces deux portraits provenant de la vente de la collection d'Ernest Labadie, comme Meaude de Lapouyade le précise au crayon dans la dernière L.A.S.), un portrait ajouté (Madame Dauberval, miniature peinte par Magol), le manuscrit autographe (3 pp. in-4) de "Une miniature de Mme Dauberval par Magol" (article qui paraîtra en 1929 dans la même revue), une L.A.S. d'Ernest Labadie et un L.A.S. de Georges Lafargue intitulée "Un cinquième Portrait !" évoquant dans la collection Jules Delpit un portrait à l'eau forte de Théodore Dauberval.
Bel état pour cet exemplaire unique, enrichis de documents rares. Mme Dauberval brilla comme danseuse sur la scène du Grand-Théâtre, sous le règne de Louis XVI.
Paris, Garnier Frères, s.d. (ca 1910). 12 x 18, 533 pp., 1 portrait en frontispice, reliure pleine toile, bon état.
Paris, Henri Plon, 1864 ; in 8° : 444 pp. br
Superbe ex. de ces célèbres et importants mémoires touchant la révolution, illustré d'un très beau portrait, intérieur très frais, couverture impeccable, à l'état de neuf.Fac similé dépliant d'une page du manuscrit.L'état exceptionnel de cet ex. justifie largement notre prix.
1889 Portrait photographique tiré en photoglyptie extrait de "Our Célébrities" - Londres - Swan Sonnenschein - 1889 - une photographie de 25 x 18 cm contrecollée sur carton fort (29 x 40 cm) - légendé - quelques rousseurs sur la marge du carton -
Avec la notice biographique de 4 pages en anglais par le Dr Louis Engel -
Huguet, Minart et Cie. Avril 1909. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 1 à 24. Nombreuses illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte. Couverture en couleurs.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Sommaire :Le musée Carnavalet par Georges Cain, Portrait de Madame de Grignan par Mignard (1675), Portrait de Lucie Desmoulins par L. Boilly, legs de la baronne Nathaniet de Rothschild (musée Carnavalet), L'acteur Chénard, porte drapeau a la fête civique de la liberté de la Savoie (14 octobre 1799) peint par Boilly, Portrait de Théroigne de Méricourt (XVIIIe siècle), musée carnavalet Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux