Grasset, Paris 1976, 12,5x20,5cm, broché.
Reference : 33885
Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Envoi autographe signé de Hans Hartung au peintre Michelle Forgeois. Iconographie. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Paris Ludovic Baschet 1887 23,5 cm x 31 Cm Autoportrait en deux teintes , d'Henri Pille , peintre et illustrateur français , encadré de 15,5 cm x 24 cm . - 1 p. , 150 gr.
Pas de couverture Très bon 1ère Édition
Presses Universitaires de France, revue "Corps écrit" n° 5, 1983, 207 p., broché, dos bruni, couverture très jaunie, état correct.
Contient: Michel Foucault: L'écrite de soi; Leonor Fini: Trois portraits de l'artiste; G.-E. Clancier: Un vrai marquis; Diane de Margerie: De la roue à la rose; Pierre Albert-Birot: Physicalité, suite de trois poèmes; Serge Koster: Autoportrait bougé; Pierre Kyria: Littérateur: portrait type; Yves Florenne: Autoportrait avec masque; Louis Marin: Variation sur un portrait absent: les autoportraits de Poussin; Daniel Arasse: "La Prudence" de Titien, ou l'autoportrait glissé à la rive de la figure; Maurice Brock: Gérard Dou ou l'infigurabilité du peintre; Silvia Meloni Trkulja: L'autoportrait classé; Philippe Lejeune: Regarder un autoportrait; Christian Delacampagne: Regards, miroirs, rêverie; Pierre Brunel: Borges et l'autre; Béatrice Didier: Autoportrait et journal intime; Michel Mesnil: Cinémasque.
Phone number : 0033 (0)1 42 23 30 39
Presses Universitaires de France. 1983. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 207 pages - quelques planches en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : L'écriture de soi - trois portraits de l'artiste - un vrai marquis - de la roue à la rose - physicalité, suite de trois poèmes - autoportrait bougé - littérateur : portrait type - autoportrait avec un masque - variations sur un portrait absent les autoportraits de poussin - la prudence de titien ou l'autoportrait glissé à la rive de la figure - gérard dou ou l'infigurabilité du peintre etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
<meta charset="utf-8"><p data-mce-fragment="1">La problématique de l’autoportrait est bien la plus mystérieuse et la plus inaccessible de l’histoire de la peinture. Au XX<sup data-mce-fragment="1">e</sup><span data-mce-fragment="1"></span>siècle, l’autoportrait n’est plus seulement l’affirmation d’une fonction mais le siège d’une réflexion plus profonde, une manière d’interroger son double, dans une constante recherche de vérité intérieure, tout en révélant aux yeux des autres une part invisible de soi-même.<br data-mce-fragment="1">Cette recherche de conscience de soi se métamorphose en une fiction à travers chaque autoportrait, dans une représentation souvent très éloignée de ce que l’artiste voit dans le miroir, figurant en quelque sorte une vérité momentanée qui se rejoue dans chaque œuvre et s’exprime de manière très différente selon les peintres.<br data-mce-fragment="1">Autour de Bonnard seront présentées des œuvres de Balthus, Bernard, Cézanne, Chagall, Denis, Maillol, Matisse, Manguin, Marquet, Picasso, Toulouse-Lautrec, Vuillard, Vallotton, ou encore Buffet, Goetz, Hélion, Ibels, Poliakoff, Roussel, Tal Coat et Vieira da Silva.<br data-mce-fragment="1">Dans cette aventure du regard, les essais de Jean Louis Schefer, d’Alain Lévêque et de Véronique Serrano apportent des éclairages historiques et ouvrent des pistes de réflexion ; celui de Roberto Mangú Quesada porte la voix d’un peintre, précieux témoignage de celui qui côtoie inévitablement cet autre qui l’habite.</p><p data-mce-fragment="1"></p><p data-mce-fragment="1">Catalogue d'exposition : Le Cannet, Musée Bonnard, juin - octobre 2021.</p><p data-mce-fragment="1">Bilingue français / anglais.</p> Milan, 2021 SilvanaEditoriale 232 p., 145 illustrations, broché. 19 x 27
Neuf
. "Ludovic Alleaume (Angers 1859- Paris 1941) ""Autoportrait en Goliath""Huile sur carton, 78x47cm, dédicacée ""A mon ami Maurice Sailland Alias Curnonski (sic) j'offre cette vieille étude (faite, vers 1880, à l'École du Musée d'Angers) pour le portrait ci-contre, qui l'intéresse particulièrement"", Paris 1928. Ludovic Alleaume étudie d'abord la peinture à l'école régionale des Beaux-Arts d'Angers auprès d'Eugène Brunclair puis poursuit sa formation à l'Ecole des Beaux-Arts de Paris dans l'atelier de Luc-Olivier Merson. Avec ses frère, Auguste et Paul, spécialistes du vitrail ayant leur atelier à Laval, il participe à de nombreux projets de décoration. Dès 1883 il participe au Salon des artistes français. Portraitiste réputé, il partagera sa vie entre l'atelier de ses frères à Laval et son atelier Parisien Boulevard Saint-Germain. Il collabore également comme illustrateur à la Revue de Bretagne, la Revue d'Anjou et au Monde illustré. Il est décoré du titre de Chevalier de la Légion d'honneur en 1927. Maurice Edmond Sailland, plus connu sous le nom de Curnonsky (Angers 1872-Paris 1956) passe sa jeunesse à Angers et s'installe à Paris pour préparer l'Ecole Normale supérieure dès ses 18 ans. Polygraphe par nécessité, il devient l'un des ""nègres"" de Willy, le premier mari de Colette. C'est à cette époque qu'il prend le pseudonyme de Curnonsky pour se conformer à la mode de la littérature russe alors en vogue. Il prête également sa plume à la publicité. Nous lui devons le nom de ""Bibendum"" du bonhomme Michelin. A partir de 1921, en collaboration avec Marcel Rouff, il commence la publication de La France Gastronomique, véritable encyclopédie des spécialités gastronomiques régionales françaises et des meilleurs restaurants. La littérature gastronomique devient alors le principal sujet de sa production. En 1927, il est élu Prince des Gastronomes devant Maurice des Ombiaux. Il meurt accidentellement en tombant de la fenêtre de son appartement parisien. Bien que tous deux angevins de naissance, Alleaume et Curnonsky se sont vraisemblablement connus à Paris autour d'un bon dîner comme le suggère ce poème de Marguerite Milon dédié au peintre, publié en 1932. : « le Maître est Angevin / Et ne dédaigne pas la table. / Qu'on lui serve un pot de bon vin, / Il trouve le vin délectable. / Les petites femmes qu'il peint / Ont souvent retiré leurs voiles. / Je le crois un peu libertin / Si j'en juge par quelques toiles. / Il déjeune un jour chez les Gueux, / Comme à l'Elysée, en bon Maître, / Les yeux brillants, le cœur fougueux... / Mais la Beauté sait le soumettre ! / ENVOI : / Prince des Arts, que ma chanson / Toute simplette et bien modeste / Dise aussi que vous êtes bon / Bonté vaut mieux que tout le reste."" La tête coupée qui semble bien un autoportrait de Alleaume autour de 1928 au-dessus d'une bouteille a donc été ajoutée par le peintre bien après la réalisation de l'étude vers 1880. Cette bouteille dont l'étiquette est bordée d'un liseré rouge est sans doute un flacon de Cointreau Cursky, la famille Cointreau étant également originaire d'Angers. En 1921, Ludovic Alleaume présidait le dîner du ""Vin d'Anjou"" au restaurant parisien Le Ronceray auquel bien entendu, Curnonsky était présent. Document unique !"