Grasset, Paris 1961, 14x19cm, broché.
Reference : 33872
Edition originale sur papier courant. Envoi de Henry de Monfreid. Deux ex-donos en pieds des gardes, infimes piqûres sur la première garde. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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PIERRE TEQUI. 1997. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 299 pages.. . . . Classification Dewey : 231-Dieu et miracles
Sommaire : préparation dans l'ancien et le nouveau testament - abandon dans le bouddhisme et dans le stoicisme . - augustin le coeur se prépare à l'abandan face aux épreuves - abandon et fatalisme dans l'islam - l'abandon christocentrique de saint jean eudes - piny l'abandon de pur amour etc - COLLECTION CROIRE ET SAVOIR . Classification Dewey : 231-Dieu et miracles
Trillat Brigitte, Revin Nina, Maury Isabelle, etc
Reference : RO30352912
(1988)
ISBN : 2862602523
Autrement. 1988. In-8. Broché. Bon état, Coins frottés, Dos satisfaisant, Intérieur frais. pages. Ancien ouvrage de bibliothèque: code barres en 1er plat, étiquette en coiffe en pied, tampons, annotation à l'encre en page de titre. Quelques rousseurs.. . . . Classification Dewey : 306.8-Mariage et famille
"Sommaire: Enfant joyau, enfant fardeau par Brigitte Trillat- Histoires sans nom par Nina Revin- L'""X"" inoubliable - Le don d'abandon par Agnès Laury- Ces Femmes dans l'ombre par Catherine Bonnet- Les délaissés de l'abandon par Martine Duroc- l'enfant abandonné devenu roi: un mythe fondateur par Giulia Sissa-etc. Classification Dewey : 306.8-Mariage et famille"
EDITIONS DU CARMEL. 2012. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 80 pages - 1 supplément au n°289. . . . Classification Dewey : 260-Théologie sociale chrétienne
Sommaire : Confiants jusqu'à l'audace en la bonté du père / l'abandon à l'esprit jusqu'à l'audace / la règle du carmel, chemin de confiance et d'abandon / les carmélites de bernanos Classification Dewey : 260-Théologie sociale chrétienne
"Au bureau du journal. 25 mars 1882. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages environ illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc - Paginées de 186 à 204 dont supplément ""aux enfants trouvés : l'abandon (tableau de P. Renouard. . . . Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon"
"SOMMAIRE : GRAVURES : M. Sully Prudhomme - la sècheresse de 1882 - ""les enfants assistés : la crèche"" - ""aux enfants trouvés"" l'abandon , le change - le nouveau royaume de Serbie - le pélerinage de la mecque ARTICLES : Histoire de la semaine - Courrier de Paris - ""l'art dans la maison"" le salon - Défroqué - les enfants assistés : les bureaux et la crèche - Revue financière - les théatres - Sport et high life - bibliographie - faits divers Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon"
[Imprimerie de J.-A. Quillot] - Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD
Reference : 33946
(1848)
1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".