Chez la veuve de Claude Barbin, à Paris 1700, in 12 (10x17cm), (16) 367pp., relié.
Reference : 30079
Edition originale de ce recueil, qui contient des maximes de La Rochefoucauld dans d'intéressantes variantes. Illustré d'un portrait en médaillon de Edelink. Reliure en plein veau fauve glacé d'époque. Dos à nerfs richement orné. Pièce de titre en maroquin rouge. Malgré quelques trous de ver, belle reliure d'époque. Mouillure angulaire à quelques feuillets. certaines pages jaunies. Charles Marguetel de Saint-Denis, seigneur de Saint-Évremond (1614-1703), fut un moraliste et un critique libertin, sa rigueur et son indépendance critique annonce les philosophes des Lumières, et ce fut peut-être le premier auteur qui fit de la critique un métier. il se préoccupa peu de ses écrits qui circulèrent surtout par manuscrit de son vivant. Cette édition, qui recueille diverses pièces de l'auteur, dont de nombreuses lettres, est due à l'abbé de raguenet, qui compléta l'ensemble de maximes de La Rochefoucault (p. 208-271), d'une pièce de La Fontaine, d'une lettre de Corneille... Le succès littéraire de Saint Evremont engagea les littérateurs à lui attribuer de nombreuses oeuvres, telles ces maximes de La Rochefoucault, sensiblement différents des éditions récentes du même auteur - Photos sur www.Edition-originale.com -
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181. edition Chez la veuve de Claude Barbin, à Paris 1700, in 12 (10x17cm), 367 pages, relié plein veau, 5 nerfs. Edition originale de ce recueil, qui contient des maximes de La Rochefoucauld dans d'intéressantes variantes. Illustré d'un portrait en médaillon de Edelink. Reliure en plein veau fauve glacé d'époque. Dos à nerfs richement orné. Pièce de titre en maroquin rouge. Charles Marguetel de Saint-Denis, seigneur de Saint-Évremond (1614-1703), fut un moraliste et un critique libertin, sa rigueur et son indépendance critique annonce les philosophes des Lumières, et ce fut peut-être le premier auteur qui fit de la critique un métier. il se préoccupa peu de ses écrits qui circulèrent surtout par manuscrit de son vivant. Cette édition, qui recueille diverses pièces de l'auteur, dont de nombreuses lettres, est due à l'abbé de raguenet, qui compléta l'ensemble de maximes de La Rochefoucault (p. 208-271), d'une pièce de La Fontaine, d'une lettre de Corneille... Le succès littéraire de Saint Evremont engagea les littérateurs à lui attribuer de nombreuses oeuvres, telles ces maximes de La Rochefoucault, sensiblement différents des éditions récentes du même auteur, haut de la coiffe decolle . Photo possible
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Paris, Barbin, 1700. In-12, plein veau époque, dos à nerfs orné de fleurons et de filets dorés, titre doré. Titre, 6 ff non chiffrés, 367 pp, 1 p non chiffrée. Edition originale, premier tirage avec "Lettre au Roy" pages 69-71 et les noms de lieux et de personnages en toutes lettres pages 362-363 (cf Tchemerzine X, 97). Ouvrage illustré d'un portrait de l'auteur en frontispice par Edelinck. 1 coin et coiffe supérieure restaurés, 2 coins un peu abîmés, cuir épidermé, papier jauni.
A Paris, chez Jean Guignard, à l’entrée de la Grand’salle, à l’Image Saint Jean, 1696. In-12, reliure en veau brun de l’époque, dos à nerfs orné, pièce de titre, frottements et défauts aux mors, aux coins et aux coiffes, mais reliure solide et agréable,1 feuillet page de titre, 424 pages , 2 feuillets contenant Table de ce qui est contenu dans les Nouvelles de Mademoiselle L’H***, et extrait du privilège du Roy.
Les contes est récits contenus dans cet ouvrage : Marmoisan ou l’innocente tromperie. Nouvelle héroïque et satirique. A Mademoiselle Perrault. Pages 1-115. A Mademoiselle De Rasilly en luy envoiyant L’Avard puny. Pages 116- 162. Les enchantements de l’éloquence ou les effets de la douceur nouvelle à Madame la duchesse d’Epernon. Pages 163-228. L’adroite princesse ou les aventures de Finette ; Nouvelle. A Madame la Comtesse de Murat. Pages 229-298. Lettre à madame D. G.***. Pages 299-318. Autres ouvrages en vers et en prose. Pages 319-399. Avis aux libraires. Pages 400-403. Le parnasse reconnoissant ou le triomphe de Madame Des-Houlières à Mademoiselle de Scuderi. Pages 404-424. Ce recueil de contes est paru un an avant les Contes de Perrault de Charles de Perrault oncle de la romancière. Édition originale et rare.