Alexis Eymery, Paris 1813, 10,5x17,5cm, broché.
Reference : 23652
Nouvelle édition. Notre exemplaire est présenté sous couverture muette et dans son brochage d'origine, avec étiquette de titre encollée sur le dos.Ouvrage illustré d'un frontispice dépliant. Piqûres sur les plats, manques au dos, quelques petites rousseurs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Elle comprend 120 Fables en édition originale. Paris, Denis Thierry et Claude Barbin, 1678-1679-1694. 5 volumes, nombreuses figures de F. Chauveau, gravées sur cuivre et tirées à mi-page. Ensemble 5 volumes in-12. Plein maroquin bleu nuit, triple filet doré autour des plats, dos à nerfs richement ornés, double filet or sur les coupes, roulette intérieure, tranches dorées sur marbrures. Reliure signée de Belz-Niédrée vers 1865. Tome I : 57 gravures dans le texte, relié sans le f. d’errata puisque les fautes mentionnées ont été corrigées dans notre exemplaire ; Tome II : 60 gravures dans le texte ; Tome III : 44 gravures dans le texte ; Tome IV : 43 gravures dans le texte ; Tome V : 31 gravures dans le texte. Pte. déchirure anciennement restaurée pp. 91 et 221 du tome IV. 159 x 88 mm.
Edition originale collective des Fables de La Fontaine, la seule qui ait été imprimée et corrigée sous la direction de l’auteur. Elle est du plus haut intérêt et de la plus grande importance. Elle comprend 120 Fables en édition originale. Les 3 derniers volumes sont en édition originale ; les deux premiers, réimprimés vers 1692 sous la date de 1678, sont la réimpression de l’édition in-12 de 1668. « Seule édition complète des Fables de La Fontaine qui ait été imprimée sous les yeux de l’auteur. » (Brunet, Manuel du Libraire, III, 751). « Cette précieuse et célèbre édition se trouve difficilement complète et en bon état, la plupart des exemplaires, comme le fait remarquer M. Brunet, ayant passé par les mains des enfants. » (A. Claudin. Cat. Rochebilière, n° 168). Le Tome III contient 41 fables nouvelles et l’épitre dédicatoire à Madame de Montespan. Le Tome IV contient 39 Fables nouvelles avec un épilogue. Le Tome V contient 29 Fables nouvelles. Elle est ornée de plusieurs centaines d’estampes de Fr. Chauveau et de M. Guérard dont la plupart paraissent pour la première fois. « La Fontaine a été salué comme l’inventeur du vers libre. Mais, à vrai dire, ce poète connaît peu de rivaux dans l’art de manier le vers français et là, comme dans cette fusion du lyrisme et du réalisme, La Fontaine dépasse son époque : c’est pourquoi son succès n’a jamais faibli et qu’il est demeuré universel ; c'est pourquoi Taine a pu dire que La Fontaine était ‘la suprême manifestation du génie français’ ». « Le tome III a eu deux tirages : dans le 1er, le 7ème vers de la p. 101 [Et sans cela nos gains seraient assez honnestes], a été omis ; il est rétabli dans le second tirage par le moyen d’un carton sur onglet. Dans le 1er tirage du tome IV, à la fin de la fable Le Singe et le Léopard, on lit ainsi le dernier vers : Bigarrez en dehors ne sont rien en dedans, modifié dans le second tirage, et devenu : N'ont que l'habit pour tous talens ! Le tome V, dont on trouve quelques très rares exemplaires datés de 1693, a eu trois éditions sous la même date : la 1ère porte sur le titre le chiffre de Barbin ; la 2ème a un fleuron typographique ; la 3ème est chiffrée régulièrement jusqu’à la fin, p. 230, et sa composition est entièrement différente. » (Tchémerzine). Le tome III est ici en second tirage, le tome IV en premier tirage, le tome V appartient au troisième tirage. Ces cinq volumes constituent l’édition originale collective des Fables de La Fontaine. L’exemplaire Rochebilière décrit par A. Claudin mesurait de 157 à 158 mm de hauteur selon les volumes ; celui-ci mesure 159 mm. Fort bel exemplaire relié en maroquin bleu de Belz-Niédrée vers 1865.
Exceptionnel exemplaire contenant 3 corrections manuscrites de l’époque aux pages 9, 57 et 176 avec adjonction de mots, le bequet de la page 45 et le premier état avec les deux fautes « donner le lustre » et « amplète » à la 6è et 18è ligne au verso du feuillet Oii. Paris, Claude Barbin, 1668. Avec Privilège du Roy. In-4 de (28) ff., 284 pp. et (1) f. pour l’Épilogue et le Privilège (daté du 6 juin 1667 avec la cession de Barbin à Thierry pour la moitié), suivi de Achevé d’imprimer pour la première fois le 31 mars 1668. Plein veau havane granité, dos à nerfs orné, coupes décorées, tranches jaspées, coiffes et coins anciennement restaurés. Reliure strictement de l’époque. 243 x 177 mm.
« Premier état de l’édition originale des Fables de La Fontaine, l’un des livres les plus célèbres d’Occident, donnée par La Fontaine lui‑même, contenant les six premiers livres. Elle est rare et fort recherchée. » (A. Claudin, Bibliographie des Éditions Originales, n° 164). Tchemerzine, III, pp. 865-866 ; Brunet, III, p. 750 ; En Français dans le texte, n°105. « Edition originale des six premiers livres des Fables » (Tchemerzine, III, 866). L’exemplaire de M. A. Rochebilière (vendu en 1882) possédait un carton du feuillet oii, verso, de la vie d’Esope. Le feuillet original porte à la 6è ligne « donner le lustre » et à la 18è « amplete », cas du présent exemplaire. Cette édition originale est riche de 124 Fables parmi lesquelles « Le Chêne et le roseau », « Le Corbeau et le Renard », « La Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf », « Le Laboureur et ses enfants », « Le Lièvre et la Tortue », « Le Loup et l’Agneau », « Le Lion et le Rat », « Le Meunier, son fils et l’Ane », « La Mort et le bûcheron », « Les Deux Mulets », « L’œil du Maître », « Le Pot de terre et le pot de fer », « Le Renard et la cigogne », « Le Renard et les raisins »... Elle avait été composée pour le Dauphin, fils de Louis XIV (dont les armes ornent la page de titre). Le fabuliste s’y montre fidèle à l’esprit de ses modèles, Ésope et Phèdre, qu’il se contente d’égayer par des traits nouveaux ou familiers, mais Les Fables de 1668 marquent une date capitale dans l’histoire du genre, ..., dès l’Antiquité, l’apologue était passé de la prose grecque... aux vers latins, ..., il appartient à La Fontaine de l’avoir annexé véritablement à la poésie... (En français dans le texte, n° 105). L’édition est illustrée de 118 eaux-fortes, signées François Chauveau, et de bandeaux, lettrines et culs-de-lampe gravés sur bois. Les gravures sont placées en tête des fables, encadrées d’un double filet et signées F. C. (François Chauveau) ; l’édition contient en outre quelques frises et quelques culs de lampe. La publication de la seconde série des Contes de La Fontaine en 1666, avait causé un grand scandale et Louis XIV qui n’aimait pas l’ami de Fouquet lui avait fait faire des observations par Colbert. La Fontaine comprit la nécessité de s’assagir et, le 31 mars 1668, fit paraître la première édition des Fables. L’œuvre eut un succès foudroyant et La Fontaine fut, dès ce moment, considéré comme l’Ésope français. « Cette belle édition originale, imprimée avec soin, est illustrée de petites gravures à mi-pages, signées F. C. (François Chauveau). Les fins de page sont ornées de culs-de-lampe typographiques dont quelques-uns sont d’un beau style. Les armoiries qu’on voit sur le titre sont celles du Grand Dauphin auquel le recueil est dédié. On y trouve les six premiers livres comprenant 124 fables qui paraissent ici pour la première fois, puis l’Épilogue ». (J. Le Petit, Bibliographie des principales Editions originales, p. 234.) La rareté des exemplaires de tout premier état conservés dans leur reliure de l’époque est légendaire. Jules Le Petit, dans sa bibliographie, ne mentionne que des exemplaires reliés au XIXe siècle : « Prix : Vente Solar (1860), bel ex. mar. r. par Trautz-Bauzonnet. 575 fr. – Vente du baron J. Pichon (1869), mar. r. par Trautz, I,360 fr. - Répertoire Morgand et Fatout (1878), ex. grand de marges (0,244 miliim.), mar r. par Trautz, 3400 fr. - Vente de Béhague (1880), mar. r. par Trautz, ex. de la vente Pichon, 2 700 fr. - Vente Guy-Pellion (1882), mar. r. doublé de mar. bl. par Trautz 3, 600 fr. - Vente J. Renard (1881), mar r. par Capé, I,400 Fr - Vente du Comte Roger du Nord (1884), très bel ex. (hauteur 0,247 millim.), mar. citron, par Trautz, I,700 fr ». Brunet (supplément VII, 747) ne mentionne aucun exemplaire en reliure ancienne. Tous sont reliés au XIXe siècle : « en mar. de Trautz, 855 fr. Double ; cet exempl. qui n'était pas des plus beaux, avait été payé 380 fr. ; en mar. de Duru, 495 fr. Chedeau ; en mar. de Trautz, fort beau, 1,360 fr. baron Pichon, revendu 2 050 fr. Benzon ; enfin, en mar. doublé de Trautz, un exempl. de toute beauté, est porté à 2, 800 fr. au catal. Morgand et Fatout ». Quant à Tchemerzine, il ne cite qu’un seul exemplaire relié en veau ancien, celui de Daulnoy vendu au prix considérable de 24 000 Fr. de l’époque. Les rares exemplaires connus en maroquin sont en reliure du XVIIIe, c'est-à-dire postérieurs d’au moins deux générations : celui de la comtesse de Verrue (aujourd'hui perdu) qui commença sa collection à son retour en France en 1700 (1670-1736 ; maroquin rouge, ancienne collection Alexandrine de Rothschild, Répertoire des biens spoliés, section « Livres », p. 400, n° 7715) et celui du comte de Toulouse également en maroquin rouge (1678-1737 ; localisation inconnue). Les deux exemplaires en veau à provenance attestées sont également reliés au XVIIIe siècle : celui du comte d'Hoym qui constitua sa collection entre 1717 et 1735 et mourut en 1737 (veau fauve, vente Hayoit, Sotheby's Paris, 28 juin 2001, n° 47, acquis par le commerce ; dos remonté et très restauré) et le second exemplaire de la comtesse de Verrue pour sa résidence de Meudon (Bibliothèque nationale ; reliure en veau très restaurée), catalogue de la vente Pierre Berès. Citons quelques-uns des exemplaires répertoriés en véritable reliure de l’époque : - en veau brun aux armes du Chancelier Séguier (cf. Brunet ; localisation et état inconnus). - en veau brun, bibliothèque privée. - l’exemplaire Rochebilière de second état mesurait 225 mm de hauteur (n°164). - en 2007, un exemplaire de second état en vélin ancien, mesurant 232 mm de hauteur, avec seulement deux corrections manuscrites de l’époque aux pages 57 et 176, était vendu 195 000 €. - en 2010, un exemplaire de second état en veau identique à celui-ci mais avec une seule correction manuscrite page 176, était vendu 230 000 €. - quant à l’exemplaire Pierre Berès de second état, en vélin du temps, avec une seule correction, il était adjugé 325 000 € le 20 juin 2006, il y a 13 ans. Exceptionnel exemplaire de premier état, à grandes marges (hauteur : 243 mm), conservé dans sa reliure de l’époque, possédant 3 corrections manuscrites de l’époque aux pages 9, 57 et 176, le béquet imprimé collé à la 18e ligne de la page 45 pour corriger le mot Tracas par le mot Fatras et les deux fautes aux lignes 6 et 18 au verso du feuillet Oii : « donner le lustre » et « amplète », caractéristique de premier état. Provenance : Marquis d’Houdetot et vicomte de Miribel (1824-1878).
Premier tirage rare des 100 belles eaux-fortes gravées sur les dessins du Titien. Rome, Vincenzo Luchino, 1563.Petit in-4 de (4) ff. y compris le frontispice, 100 ff. ornés de 100 eaux-fortes à pleine page. Vélin ivoire rigide, dos lisse, pièce de titre de maroquin olive, tranche bleues. Reliure italienne ancienne. 213 x 156 mm.
Édition originale posthume des Fables de Faerne publiée par Silvio Antoniano. Brunet, II, 1160 ; Harvard, Italian, 178 ; Praz, p. 57 ; Adams Cambridge, I, F 115. Le Pape Pie IV avait commandé à Faerne, de Crémone, de faire un choix de cent fables d’Esope et autres. Faerne mourut en 1561 avant d’avoir terminé son ouvrage qui fut complété et édité en 1563. La Fontaine reprendrait un siècle plus tard quelques-unes de ces fables : « Le pot de terre et le pot de fer », « L’âne chargé d’éponges et l’âne chargé de sel », « La cigale et la fourmi », « L’alouette et ses petits », « Le renard et les raisins », « Le renard et le corbeau ». Cette belle édition est ornée en tout premier tirage des 100 belles figures sur cuivre à pleine page, gravées sur des dessins que l’on a attribués au Titien. Des exemplaires datés 1564 et même 1565 présentent ces planches en tout point semblables mais les bibliographes considèrent que les exemplaires de 1563 présentent seuls la particularité du tout premier tirage. Très expressives et empreintes de mouvement, ces eaux-fortes de belle facture sont à rapprocher des gravures sur bois inspirées elles-aussi des dessins du Titien et qui illustreront en 1570 les Fables de Verdizzoti. Très bel exemplaire, immense de marges (hauteur 213 mm contre 210 mm pour l’exemplaire Harvard) de cette édition originale « rare et peu commune » (Brunet) d’un très beau livre de fables italien illustré. Il provient de la bibliothèque Paul Harth avec ex-libris.
Entièrement mis en couleurs à l’époque et conservés dans leur cartonnage du XVIIe siècle. Amsterdam, Dirck Pietersz, 1617. In-4 : 3*4, A2B-2H4 2I6 ; pp. (12), 126 ff. ornés de 125 gravures à mi-page. 125 double-pages avec une fable imprimée sur la page de droite et la gravure illustrant la fable en regard. [Relié avec] : II- Vondel, Joost van Den. Den Gulden Winckel der Konstlievende Nedelanders. Amsterdam, Dirck Pieterz, [1613]. A-V4 ; lvs. (1-4), 5-78, (2), soit 78 ff. ornés de 74gravures, (2) ff. Les 4 premiers ff. ont été coupés au niveau de la marge latérale sans manque de texte. Soit deux ouvrages reliés en un volume in-4. Qq. déchirures marginales restaurées, qq. mouillures. Cartonnage bleu du XVIIIe siècle, dos lisse avec étiquette pour le titre en papier, non rogné. Reliure du XVIIIe siècle. 196 x 149 mm.
Rares éditions originales de ces deux recueils de fables illustrés de 199 superbes gravures au total. I- Editio princeps but the complete set of plates has been derived from ‘Esbatement Moral des animaux’ and printed from the original blocks. « Title engraving and 125 numbered copperplate emblems by Marcus Gheeraerts. Unger 85; de Vries 73; Hodnett p. 69 ; Schuytvlot 54. » Landwher, Emblem and fable books printed in the Low countries, 886 ; Praz p. 532. L’ensemble des 125 gravures de fables, ainsi que la vignette du feuillet de titre ont été coloriées à la main à l’époque. The emblems of Vorteliicke Warande are especially charming, with most portraying animals with anthropomorphic brio. II- “Engraved title by P. Serwouters and 74 full-page copperplate emblems by G. de Jode after C. van den Broeck. Each emblem with a distichon heading, below another of a Bible text. The plates have a letter engraved in the plate from A to T. Editio princeps but the plates derive from L. van Haecht Goitsenhoven. Unger 71; de Vries 52; Schuytvlot 45 ». Landwehr, 876. Le “Prince des poètes” néerlandais, Joost van den Vondel réserve ses fables «difficiles» pour son recueil De Vorsteliicke Warande der dieren (Le Jardin royal des animaux, Amsterdam, 1617). L’ensemble des 74 gravures ainsi que le frontispice ont été coloriés à la main à l’époque. Précieuse réunion de deux livres de fables illustrés de la plus grande rareté, en éditions princeps, entièrement mis en couleurs à l’époque et conservés dans leur reliure en cartonnage du XVIIIe siècle.
Somptueux exemplaire à l’état neuf. Paris, chez Moutard, Libraire de la Reine, 1774. 2 volumes in-8 de : 1 frontispice, xxxii pp., 340 ; 1 frontispice, 339-(1) pp. Maroquin rouge, triple filet doré encadrant les plats, armoiries au centre des plats, dos à nerfs ornés, filet or sur les coupes, tranches dorées. Reliure de l’époque aux armes de la Reine Marie-Antoinette. 195 x 125 mm.
« En tout 2 frontispices, par Cochin, gravés, le premier par Tillard, le second à l’eau forte par Aug. De Saint-Aubin, terminé par Leveau » (Cohen, c. 105). Les Fables de l’Abbé Aubert (1731-1814) eurent un grand succès. En 1773, on crée pour Aubert, au Collège de France une chaire de littérature française. « Fils d’un violoniste, Jean-Louis Aubert se fit connaitre par quelques Fables publiées dans le ‘Mercure de France’. Elles reçurent une chaleureuse approbation de Voltaire, qui y voyait ‘la raison ornée des charmes de l’esprit’, ‘du sublime écrit avec naïveté’. Critique de goût avec autant d’esprit que d’érudition, il dirigea, de 1752 à 1772, les ‘Affiches, annonces et avis divers’, puis continua le ‘Journal de Trévoux sous le titre de ‘Journal des Beaux-Arts et des Sciences’. Nommé professeur de littérature française au Collège de France en 1773, il prit un an plus tard la direction de la ‘Gazette de France’ et se vit également chargé de la surveillance des journaux étrangers. » (Dictionnaire des Auteurs, I, 148). Voltaire, à qui le nouveau fabuliste avait envoyé son recueil, lui écrivit : « J’ai lu vos fables avec tout le plaisir qu’on doit sentir quand on voit la raison ornée des charmes de l’esprit. Il y en a qui respirent la philosophie la plus digne de l’homme… Vous avez le mérite du style, celui de l’invention, dans un genre où tout paraissait avoir été dit » - « Vous vous êtes mis à côté de La Fontaine… ». L’exemplaire est cité et décrit par Cohen (Guide de l’amateur de livres à gravures du XVIIIe siècle, c. 105) : « Un exemplaire en maroquin rouge sur papier vélin aux armes de Marie-Antoinette, était dans la collection Parran, et se trouve chez M. Adolphe Bordes ». L’exemplaire figure au Catalogue de la Bibliothèque de la Reine Marie-Antoinette au Château des Tuileries (Ernest Quentin Bauchart, 1884) « Très bel exemplaire ». Référence : Fer n°4 reproduit dans OHR 2508 (Olivier-Hermal). Somptueux exemplaire à l’état neuf.