Paris Editions du Panthéon 1951 in 8 (19x14) 1 volume broché, couverture rempliée, 499 pages, avec 10 illustrations hors-texte en couleurs de Pierre Leroy. Collection " Pastels ". Exemplaire numéroté sur vélin chiffon Johannot d'Annonay. Très bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Reference : 6265
Bon Ed. numérotée
Librairie Rouchaléou
M. Jean Rouchaléou
7 avenue de Lodève
34725 Saint André de Sangonis
France
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Conformes aux usagex de la librairie ancienne et moderne
Pocket / Pocket fantasy 2001 568 pages in12. 2001. Broché. 568 pages. L'heure a sonné de l'affrontement suprême. Mais quelle est donc cette citadelle assiégée où se livreront les ultimes batailles de la guerre ? La Pierre de l'Adieu où s'étaient fortifiées les forces rebelles ? La place forte de Naglimund plusieurs fois prise et reprise ? Nabban la capitale du Sud courtisée par les deux partis ? Décidément non : c'est au Hayholt que tout a commencé c'est là que tout finira. Dans le labyrinthe des souterrains de l'imprenable forteresse devenue le sanctuaire des forces ennemies Simon Mèche-blanche et ses compagnons progressent à grand peine. C'est au c?ur même de la citadelle qu'il leur faudra livrer le dernier assaut. Là le destin de Simon se décidera la rivalité entre le prince josua et son frère Elias l'usurpateur trouvera sa résolution les trois épées magiques Epine Peine et Clou-Radieux livreront enfin leur secret. Le compte à rebours commence et à son terme la terre d'Osten Ard sera sauvée. ou sombrera dans le chaos suprême auprès duquel la terrible conflagration qui vient d'ébranler l'univers est une aimable plaisanterie
Etat de Neuf
Brussolo Horowitz Simard ... Carol Oates Ben Kemoun Advenier Jaoui
Reference : 100104357
Tipik / Gallimard / Plon / Albin Michel / i in8. Sans date. Broché. 16 volume(s). 16 livres jeunesse (voir description complète): Tom Bursteen le gardien d'Oniriaa + Sotrmbreaker + L'empereur pourpre + Milo Forest: la citadelle des vitreux + Jours avec et jours sang + Nulle et grande gueule + Naotak: Les fantômes du Seagull + Un tigre pour Malgudi + Peggy Sue et les fantômes: le sommeil du démon + Toi moi tous les autres + Rouge bonbon + Le bloc-notes de Louise + Sublutetia + Tom Cox et l'impératrice sanglante + Le quadrille des assassins + Le souffle de la pierre d'Irlande TOME 1: Le feu
Bon état d'ensembe ternissures et légères rousseurs sur certaines tranches intérieurs propres
1788. 511 x 774 mm.
Rare plan anonyme de la ville et citadelle de Besançon, publié en 1788. En 1678, lorsque la Franche-Comté est rattachée à la France par le Traité de Nimègue, le roi Louis XIV choisit Besançon comme capitale de la nouvelle province, à la place de Dole. Tout au long du XVIIIe siècle, la ville connaît une expansion urbaine remarquable et voit sa population doubler. Afin de tenir son rang de première ville de Franche-Comté, Charles-André de Lacoré, nommé intendant de la région en 1761, lance à partir de 1770 une série de travaux de transformation et d'embellissement de la ville, avec l'appui de l'Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Besançon et de Franche-Comté, fondée en 1752. Ces travaux, que l'on retrouve sur ce plan, comprennent la construction d'un hôtel particulier pour la nouvelle intendance de Lacoré, conçu par l'architecte Victor Louis entre 1771 et 1777 ; la création de promenades publiques, dont la promenade Chamars, aménagée entre 1770 et 1781 ; la construction d'un théâtre ou Nouvelle sale de spectacle, derrière le Palais Grandvelle ou Granvelle entre 1778 et 1784, d'après les plans de l'architecte Claude-Nicolas Ledoux ; et enfin l'église Saint-Pierre, construite de 1782 à 1786 sur les plans de l’architecte Claude-Joseph-Alexandre Bertrand. Pour relier la nouvelle Intendance au centre-ville, une rue nouvelle sera percée, la rue de la Traverse, actuelle rue de la Préfecture. L'actuelle place de la Révolution est ici appelée Place Neuve, et l'actuelle place du 8 septembre, place Saint-Pierre, à proximité de la nouvelle église. On peut voir également les deux fortifications principales de la ville construites par Vauban à la fin du XVIIe siècle, le fort Griffon, sur la rive droite du Doubs, et la citadelle, sur la rive gauche, l'un des chefs-d'œuvre de Vauban. Dans la partie basse figure une représentation du polygone d'artillerie, qui était situé au sud-ouest de la ville. Au XVIIIe siècle, un polygone était le lieu où les artilleurs s'exerçaient en temps de paix au tracé et à la construction des batteries, au tir du canon, au jet des bombes et aux manœuvres. Le plan est accompagné d'une liste des principaux édifices (casernes, arsenal, cimetières, moulins, hangars du Génie et de l'Artillerie, églises, etc), d'une description historique de la ville, et d'une légende pour la citadelle. L'échelle est de 200 toises, soit environ 390 mètres. Il existe une édition antérieure de ce plan portant la date de 1786, mais celle-ci ne comporte pas la liste des légendes pour la citadelle et la représentation du polygone. Notre édition de 1788 serait donc la première avec ces deux éléments. Hormis cette légende, de nouveaux bâtiments apparaissent et quelques noms ont été modifiés : l'Hôtel du St Esprit sur l'édition de 1786 devient l'Hôtel de Malthe en 1788 ; Les Cazernes au nord de la ville deviennent Les Cazernes de S.t Paul ; la ruelle de Vezet devient la rue Henry ; près de la porte de Chamard figure la Maison des Bains de Chamard, absente en 1786 ; entre la Porte Rivotte et la Porte Taillée figure un Chantier du Port aux Bois, également absent en 1786 ; près du Fort Griffon, la rue de Charmont est devenue la rue de Chartres, et la rue de Chartres est devenue la rue de Richebourg. Une nouvelle édition, toujours avec cette légende pour la citadelle et le polygone, non datée et publiée par Jean, montre la place du 8 septembre nommée place Napoléon. Cette place, nommée place Saint-Pierre sur l'édition de 1788, prit le nom de place Napoléon le 22 mai 1811 (La République de l'Est, Quotidien régional de Franche-Comté, Belfort et Haute-Alsace, 23 mai 1938, p. 2, article intitulé Éphémérides comtoises). On peut donc dater cette édition par Jean vers 1811. Bonne condition. Rousseur verticale dans la partie haute, rousseurs dans la marge inférieure. Aubry, Bulletin du bouquiniste, 1859, p. 557, 3290 ; Pelletier & Ozanne, p. 173 ; Musée rétrospectif de la classe 14, Cartes et appareils de géographie et de cosmographie, Topographie, à l'Exposition universelle internationale de 1900, à Paris, 1900, p. 70, 106.
LES CAHIERS DU VITREZAIS. 2015. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 169 pages - nombreuses photos en noir et blanc et en couleurs dans le texte.. . . . Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine
"SOMMAIRE : Une ville et sa Citadelle, les militaires à Blaye entre 1870 et 1914 - La IIIe République fait renaître le verrou - De 1870 à 1898, préparer la revanche - La défaite de 1870, le contrecoup de l'impréparation - La marche à la guerre - Moderniser la Citadelle - Une nouvelle génération d'armements - Conséquences pour la Citadelle - La nouvelle garnison : aspects humains - Une garnison renforcée - Garder son bataillon - Le politique et le militaire, ""l'armée nouvelle"" à Blaye - Blaye ville de garnison - Les soldats : ordre et désordres - La participation des militaires aux activités civiles - Le rôle social des autorités - L'action de l'autorité militaire - Rôle actif de la municipalité - Le rôle du politique - Une situation politique complexe - La relation entre l'Etat et la ville de Blaye - Importance de la garnison pour l'économie de la ville - Le coût d'une garnison - La citadelle : un coût annuel non négligeable.. Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine"
s. l.: , s. d. (c. 1880) 22,5 x 17,5 cm, 2 infimes déchirures et infimes rousseurs, très bon état. Modèle à découper avec la citadelle, les soldats et les canons.
Protège cahier et modèle à découper " Citadelle d'Huê". (s. l. n. d. (c. 1880)) [M.C.: Vietnam, Indochine, Annam, histoire coloniale et militaire, protège-cahier, modèle à découper]