Paris Calmann Lévy, Editeur 1878 in 12 (18,5x11,5) 1 volume reliure demi basane brune de l'époque, dos à nerfs soulignés de filets à froid, 273 pages, des rousseurs éparses. comte Agenor de Gasparin, 1810-1871. Bon exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Reference : 50048
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Librairie Rouchaléou
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Conformes aux usagex de la librairie ancienne et moderne
A Lausanne en Suisse, chez Jean Mourer ; Hignou et Comp., 1796. In-8 de 376-(2) pp., demi-veau blond à petits coins de vélin, dos lisse, pièce de titre en veau rouge (reliure de l'époque).
Edition originale de deuxième émission, avec les dernières corrections. Mme de Staël avait tout juste trente ans lorsqu'elle publia cet important ouvrage, le premier de ceux qui allaient fonder sa réputation littéraire. L'ouvrage devait compter deux parties ; celle-ci, sur le bonheur des individus, et la seconde, sur le bonheur des Nations, qui ne fut jamais composée.« A peine l'ouvrage venait-il d'être publié que Mme de Staël décidait d'y apporter quelques indispensables modifications d'élocution, lesquelles entraînèrent pour l'éditeur la constitution de six cartons, en sorte que son édition se trouve représentée en deux « états » différents, bien qu'ils comportent, tous deux, le même nombre de pages et qu'ils soient agrémentés, tous deux, du même errata ».Très bon exemplaire, coiffe restaurées.Escoffier, 80 ; Schazmann, 22 ; Longchamp, 29.
Fayard, 2013, in/8 broché, 222 pages.
"Qu'entendons-nous par « bonheur » ? Dépend-il de nos gènes, de la chance, de notre sensibilité ? Est-ce un état durable ou une suite de plaisirs fugaces ? N'est-il que subjectif ? Faut-il le rechercher ? Peut-on le cultiver ? Souffrance et bonheur peuvent-ils coexister ? Pour tenter de répondre à ces questions, Frédéric Lenoir propose un voyage philosophique, joyeux et plein de saveurs. Une promenade stimulante en compagnie des grands sages d'Orient et d'Occident, où l'on traversera le jardin des plaisirs avec Épicure, où l'on entendra raisonner le rire de Montaigne et de Tchouang-tseu, croisera le sourire paisible du Bouddha et d'Épictète, où l'on goûtera à la joie de Spinoza et d'Etty Hillesum. Un cheminement vivant, revigorant, ponctué d'exemples concrets et des dernières découvertes des neurosciences, pour nous aider à vivre mieux et apprendre à être heureux."
Editions Gallimard, 1988. In/8, broché, et jaquette en couleurs, 238 pages.
"Dans cette ultime chronique qu'il a écrite pour les journaux, Jean Giono jongle avec le présent et le passé : le moindre incident fait jaillir, comme une source intarissable, des souvenirs, des histoires, des personnages. Ces textes, datés des années 1966 à 1970, sont empreints de bonhomie, d'une philosophie souriante, parfois un peu passéiste. Cela n'exclut pas l'émotion, et l'on trouve, dans La chasse au bonheur, les plus belles pages, peut-être, que Giono ait jamais écrites sur sa mère. Art de vivre, de voyager, de se nourrir, de se faire des amis, cet ouvrage s'achève sur une chronique consacrée aux parfums, le dernier texte de Giono. «Les parfums permettent d'affronter - et souvent de les vaincre - les mystères les plus terribles», disait-il ici. C'était quelques semaines avant sa mort."
A Paris, De l'Imprimerie de Sébastien Jorry, 1768. In-8 de XXXIV-(2)-586-(2) pp., basane glacée, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin verte, tranches rouges (reliure de l'époque).
Édition originale du traité majeur de Joseph-Marie Gros de Besplas, prédicateur de Louis XV.« A mesure que les attaques violentes contre la propriété, la société et la religion se multiplient dans les écrits des Philosophes, de rares abbés introduisent l'économie politique dans leurs sermons, au point d'être rappelé à l'ordre par les autorités ecclésiastiques. Parmi ceux-ci, l'abbé Gros de Besplas, excluant l'utilité des grandes réformes, avance que le bonheur public, dont la religion et le monarque sont les seuls garants, naît de la possession du nécessaire, d'une certaine abondance et de l'assujettissement à un travail modéré. Ces principes établis, il lance de violentes diatribes contre le luxe qu'il faut réprimer par de forts impôts, déplore que des terres restent en friche faute d'instruments de travail et appelle le Prince à un « partage plus égal de ses terres d'accord avec la justice ». Partant, Besplas développe une théorie qui proportionne la propriété au besoin de chacun : « l'étendue de la possession doit être le signe du nombre d'enfants ».Auteur d'un Rituel des Esprits forts et d'un Discours sur l'Utilité des Voyages, l'abbé Gros de Besplas (1734-1783) est à l'origine des maisons de Force qui remplacèrent les cachots. Frontispice de Charles Eisen gravé par Jean Massard représentant le jeune Dauphin, futur Louis XVI, poursuivant l'ombre de son père, le Dauphin Louis, mort en 1765. Bon exemplaire. Deux coins émoussés.INED, 2163 ; Lichtenberger, Le Socialisme au XVIIIe Siècle, pp. 391-393.
A Paris, De l'Imprimerie de Sébastien Jorry, 1768. In-8 de XXXIV-(2)-586-(2) pp., veau glacé, dos lisse orné d'un joli décor floral, pièce de titre en maroquin rouge, triple filet doré d'encadrement, tranches rouges (reliure de l'époque).
Édition originale du traité majeur de Joseph-Marie Gros de Besplas, prédicateur de Louis XV.« A mesure que les attaques violentes contre la propriété, la société et la religion se multiplient dans les écrits des Philosophes, de rares abbés introduisent l'économie politique dans leurs sermons, au point d'être rappelé à l'ordre par les autorités ecclésiastiques. Parmi ceux-ci, l'abbé Gros de Besplas, excluant l'utilité des grandes réformes, avance que le bonheur public, dont la religion et le monarque sont les seuls garants, naît de la possession du nécessaire, d'une certaine abondance et de l'assujettissement à un travail modéré. Ces principes établis, il lance de violentes diatribes contre le luxe qu'il faut réprimer par de forts impôts, déplore que des terres restent en friche faute d'instruments de travail et appelle le Prince à un « partage plus égal de ses terres d'accord avec la justice ».Partant, Besplas développe une théorie qui proportionne la propriété au besoin de chacun : « l'étendue de la possession doit être le signe du nombre d'enfants ». Auteur d'un Rituel des Esprits forts et d'un Discours sur l'Utilité des Voyages, l'abbé Gros de Besplas (1734-1783) est à l'origine des maisons de Force qui remplacèrent les cachots.Frontispice de Charles Eisen gravé par Jean Massard représentant le jeune Dauphin, futur Louis XVI, poursuivant l'ombre de son père, le Dauphin Louis, mort en 1765.Bel exemplaire. INED, 2163 ; Lichtenberger, Le Socialisme au XVIIIe Siècle, pp. 391-393.