‎[Maillol Aristide ] - ‎ ‎VIRGILE ( VIRGILII, Publii Maronis ) Maillol Aristide ‎
‎LES GÉORGIQUES. Texte latin et version française de l Abbé Jacques Delille, gravures sur bois d Aristide Maillol ‎

‎Les Géorgiques. Texte latin et version française de l'abbé Jacques Delille. Gravures sur bois d'Aristide Maillol.‎

‎Paris Les Frères Gonin 1937 2 volumes in-4, box beige rosé orné sur les plats et le dos dun décor de filets verticaux poussés or et à loeser gris parmi lesquels sinsèrent des pièces verticales de maroquin vert bouteille ornées dépis de blé en relief et rehaussés à la feuille dor; doublures de box vert bouteille marbré, gardes de tabis gris, tranches dorées sur brochure, couvertures imprimées. Chemises, étuis (Manuel Gérard).104 bois originaux d'Aristide Maillol, dont certains répétés, et 9 lettrines et bouts de lignes également gravés sur bois. "...En 1908, lors d'une croisière en Grèce, Aristide Maillol avait fait escale à Naples et à Pompeï. Il rapporta de ce voyage l'idée d'illustrer les Géorgiques. A son retour, il exécuta nombre de dessins. Peu de temps après, taillant lui-même une planchette dans le corps d'un vieux poirier, abattu par l'orage, de son verger de Banyuls, il grava le premier bois, celui qui représente des épis de blé, et put heureusement le sauver en 1915 de l'incendie qui détruisit son atelier de Montval. Dans les années qui suivirent, Maillol exécuta d'autres gravures, à Collioures, à Banyuls, à Marly-le-Roy. Puis il abandonna l'oeuvre. C'est seulement au début 1937, sous mon impulsion, qu'il reprit son ancien projet. Il ébaucha d'après nature, de multiples études qui remplissent de nombreux albums et carnets... Je reçus le dernier bois (celui qui figure les abeilles sur les fleurs) en septembre 1944. Quelques jours plus tard, la mort fermait les yeux du sculpteur"... (Extrait de la postface de Philippe Gonin). Tirage unique limité à 750 exemplaires numérotés sur papier spécial pur chanvre et lin Maillol-Gonin (la justification de tirage est à la page 30 du tome premier).. Exemplaire enrichi dune des 100 suites à part sur pur chanvre et lin des bois originaux en noir, des bois originaux en sanguine, accompagnée de 10 gravures en premier état tirées en sanguine sur chine. Chacune des épreuves de cette suite est justifiée et porte le monogramme de lartiste. Elles ont été reliées à part en un troisième volume orné sur les plats dun décor identique à celui des deux reliures du livre.‎

‎Les Géorgiques. Texte latin et version française de l'Abbé Jacques Delille, gravures sur bois d'Aristide Maillol.‎

‎Paris Philippe Gonin 1950 2 volumes in-4, en feuilles, couvertures imprimées (emboîtages de l'éditeur). 104 bois originaux d'Aristide Maillol, dont certains répétés, et 9 lettrines et bouts de lignes également gravés sur bois. "... en 1908, lors d'une croisière en Grèce, Aristide Maillol avait fait escale à Naples et à Pompéi. Il rapporta de ce voyage l'idée d'illustrer les "Géorgiques". A son retour, il exécuta nombre de dessins. Peu de temps après, taillant lui-même une planchette dans le corps d'un vieux poirier abattu par l'orage de son verger de Banyuls, il grava le premier bois, celui qui représente des épis de blé, et put heureusement le sauver en 1915 de l'incendie qui détruisit son atelier de Montval. Dans les années qui suivirent, Maillol exécuta d'autres gravures, à Collioure, à Banyuls, à Marly-le-Roy. Puis il abandonna l'oeuvre. C'est seulement au début 1937, sous mon impulsion, qu'il reprit son ancien projet. Il ébaucha d'après nature, de multiples études qui remplissent de nombreux albums et carnets... Je reçus le dernier bois (celui qui figure les abeilles sur les fleurs) en septembre 1944. Quelques jours plus tard, la mort fermait les yeux du sculpteur..." (Extrait de la postface de Philippe Gonin). Tirage unique limité à 750 exemplaires sur papier spécial pur chanvre et lin Maillol-Gonin.‎

‎Les Géorgiques. Texte latin et version française de l'Abbé Jacques Delille, gravures sur bois d'Aristide Maillol.‎

‎Paris Philippe Gonin 1937-1943 2 volumes in-4, en feuilles, couvertures imprimées (emboîtages de l'éditeur).104 bois originaux d'Aristide Maillol, dont certains répétés, et 9 lettrines et bout de lignes également gravés sur bois. "...En 1908, lors d'une croisière en Grèce, Aristide Maillol avait fait escale à Naples et à Pompeï. Il rapporta de ce voyage l'idée d'illustrer les "Géorgiques". A son retour, il exécuta nombre de dessins. Peu de temps après, taillant lui-même une planchette dans le corps d'un vieux poirier, abattu par l'orage, de son verger de Banyuls, il grava le premier bois, celui qui représente des épis de blé, et put heureusement le sauver en 1915 de l'incendie qui détruisit son atelier de Montval. Dans les années qui suivirent, Maillol exécuta d'autres gravures, à Collioures, à Banyuls, à Marly-le-Roy. Puis il abandonna l'oeuvre. C'est seulement au début 1937, sous mon impulsion, qu'il reprit son ancien projet. Il ébaucha d'après nature, de multiples études qui remplissent de nombreux albums et carnets... Je reçus le dernier bois (celui qui figure les abeilles sur les fleurs) en septembre 1944. Quelques jours plus tard, la mort fermait les yeux du sculpteur"... (Extrait de la postface de Philippe Gonin). Tirage unique limité à 750 exemplaires numérotés sur papier spécial pur chanvre et lin Maillol-Gonin (la justification de tirage est à la page 30 du tome premier).‎

‎Les Géorgiques. Texte latin et version française de l'Abbé Jacques Delille, gravures sur bois d'Aristide Maillol.‎

‎Paris Philippe Gonin 1937-1943 2 volumes in-4, en feuilles, couvertures imprimées (emboîtages de l'éditeur).104 bois originaux d'Aristide Maillol, dont certains répétés, et 9 lettrines et bouts de ligne également gravés sur bois. Tirage unique limité à 750 exemplaires numérotés sur papier spécial pur chanvre et lin Maillol-Gonin (la justification de tirage est à la page 30 du tome premier).‎

‎Les Géorgiques. Texte latin et version française de l'Abbé Jacques Delille, gravures sur bois d'Aristide MAILLOL. [2 volumes en 1]. Illustrations de Aristide MAILLOL‎

‎Genève, Edito-Service 1970 In-4. Cartonnage éditeur caramel, 174-154 pp.‎

‎Réimpression en fac-similé de, Paris, édition Philippe Gonin, 1950, sur papier bouffant vergé des éditions des Papeteries de Bellerive. Bon état d’occasion ‎