Paris Raoul Solar Editeur 1969 in 8 (20,5x14) 1 volume reliure cartonnée de l'éditeur sous jaquette illustrée en couleurs, 340 pages [4]. Achevé d'imprimer à la date de mai 1969. Jean Lartéguy, 1920-2011, journaliste, écrivain, grand reporter, correspondant de guerre, Prix Albert Londres en 1955. Très bel exemplaire
Reference : 32728
Très bon Jaquette en très bon état Couverture rigide
Librairie Rouchaléou
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Conformes aux usagex de la librairie ancienne et moderne
Paris match / rombaldi 1972 in8. 1972. Reliure editeur. 8 romans (en 8 volumes): Les baladins de la Margeride Sauveterre Les murailles d'Israël Tout homme est une guerre civile (2 vol.); Ces voix qui nous viennent de la mer Le paravent japonais un million de dollars le viet les mercenaires --- illustrations en noir et blanc
Très Bon Etat de conservation général couvertures un peu ternies intérieur frais
Solar, 1969, in-8°, 340 pp, reliure skivertex éditeur, jaquette illustrée., bon état
I. Ces voix qui nous viennent de la mer : la guerre de Chine, Pearl Harbor et les premiers jours de la guerre au Japon, la guerre dans le Pacifique, les Kamikazes ; II. Jeunes morts : l'apogée des dictatures, le grand tournant, l'écroulement, guerre de Corée et d'Indochine... — "Voyez les nouveaux poisons que la guerre nous prépare. Elle mélange cette fois dans son chaudron les conflits raciaux, les luttes tribales, religieuses ou idéologiques, la guerre civile et les explosions atomiques... les premières lettres de ce recueil viennent du Japon ; les autres ont été écrites par les étudiants de tous les pays qui s'affrontèrent au cours du conflit 1939-1945 ; tous sont morts. Toutes ces voix qui viennent de la guerre méritent d'être entendues..." — "Ces Voix qui nous viennent de la mer est un recueil de lettres écrites par des étudiants japonais au cours des combats en Chine ou dans le Pacifique, alors qu'ils se préparaient à s'envoler sur leurs avions-suicide pour aller se jeter contre un porte-avions américain, ou s'apprêtaient à monter dans leur torpille humaine. Tous les auteurs de ces lettres sont morts. Derrière ces testaments, tous à tour naïfs, brutaux ou poignants, la mort est toujours présente, et bien souvent ceux qui les écrivent portent déjà sa marque, la fleur de cerisier à trois feuilles, insigne des morts en sursis, des kamikazes. Ce n'est pas le Japon de Pierre Loti que nous révèle ce livre, mais un autre, beaucoup plus réel, où les geishas travaillent dans les usines de guerre, et que peuplent les trafiquants du marché noir, où l'on boit pour oublier la guerre, la police aux aguets, tandis que le kamikaze compte les heures qui le séparent de la mort, d'une mort qu'il sait vaine, car en lisant ces lettres on comprend que ce fameux code de l'honneur avait perdu tout son sens pour les jeunes Japonais." (Hommes et mondes, mai 1954)
Solar 1969 in8. 1969. Cartonné jaquette.
Bon état tranche un peu ternie intérieur propre
Editions Rombaldi 1972 1972. Jean Lartéguy: Ces voix qui nous viennent de la mer/ Editions Rombaldi 1972 . Jean Lartéguy: Ces voix qui nous viennent de la mer/ Editions Rombaldi 1972
Très bon état
Gallimard, 1954, in-8°, 274 pp, broché, bon état (Coll. L'Air du temps). Très bon état.
La guerre de Chine. - Pearl Harbor et les premiers jours de la guerre au Japon. - La guerre dans le Pacifique. - Les Kamikazés. - Hiroshima et la défaite. — "Ces Voix qui nous viennent de la mer est un recueil de lettres écrites par des étudiants japonais au cours des combats en Chine ou dans le Pacifique, alors qu'ils se préparaient à s'envoler sur leurs avions-suicide pour aller se jeter contre un porte-avions américain, ou s'apprêtaient à monter dans leur torpille humaine. Tous les auteurs de ces lettres sont morts. Derrière ces testaments, tous à tour naïfs, brutaux ou poignants, la mort est toujours présente, et bien souvent ceux qui les écrivent portent déjà sa marque, la fleur de cerisier à trois feuilles, insigne des morts en sursis, des kamikazes. Ce n'est pas le Japon de Pierre Loti que nous révèle ce livre, mais un autre, beaucoup plus réel, où les geishas travaillent dans les usines de guerre, et que peuplent les trafiquants du marché noir, où l'on boit pour oublier la guerre, la police aux aguets, tandis que le kamikaze compte les heures qui le séparent de la mort, d'une mort qu'il sait vaine, car en lisant ces lettres on comprend que ce fameux code de l'honneur avait perdu tout son sens pour les jeunes Japonais." (Hommes et mondes, mai 1954)