Paris Librairie Plon. E. Plon, Nourrit et Cie, Imprimeurs-Editeurs ( sans date, fin XIXème ) 0 in 12 (18,5x12) 1 volume broché, 260 pages [1], quelques rousseurs visibles sur les tranches. Mention de troisième édition. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Reference : 27120
Très bon Broché Ed. numérotée
Librairie Rouchaléou
M. Jean Rouchaléou
7 avenue de Lodève
34725 Saint André de Sangonis
France
librairie.rouchaleou@orange.fr
06 86 01 78 28
Conformes aux usagex de la librairie ancienne et moderne
2008 Arles, Actes sud, 2008, 11.5 x 21.5 , 287 pp état neuf car service de presse
traduit du japonais par Isabelle Sakaï.
PLON. 1888. In-12. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 260 pages- dos insolé. . . . Classification Dewey : 0-GENERALITES
Classification Dewey : 0-GENERALITES
1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul.
Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...
(Paris, 1820). Small 8vo. Contemporary (original?) blank blue paper wrappers. Annulated stamp to title-page, otherwise a nice, clean, and fresh copy. 68 pp. + 5 engraved plates.
First edition, in the extremely scarce off-print, of the first announcement of Ampère's seminal discoveries on electromagnetism, which laid the foundation for electrodynamics. Ampère first heard of Ørsted's discovery of electromagnetism on the 4th of September, when Arago announced Ørsted's results to the Paris Academy of Sciences. In Ørsted's experiment, a current-carrying wire is held over and under a compass needle - the result being that the needle is positioned at 45 degrees in respect to the wire. Ampére immediately saw that this result made no physical sense and realized that the true nature of the effect could not be observed until the force of terrestrial magnetism was somehow neutralized;"" what Ørsted had observed and reported on was the resultant of the force from the wire and that from the earth's magnetic field. Ampère discovered that the compass needle sets at 90 degrees to the current-carrying wire, when the effect of terrestial magnetism is eliminated. He also observed that current-carrying wires which are formed as spirals act as permanent magnets, and this lead him to his theory that electricity in motion produces magnetism and that permanent magnets must contain electrical currents. And thus Ampère laid the foundation of the new field of electrodynamics.""""Ampère, professor of mathematics at the Polytechnique, heard of Oersted's discovery and immediately set up a series of experiments to determine the exact relationships of current-flow and magnetism. In a week Ampère presented the first of a series of papers establishing the laws of forces acting between conductors carrying current."""" (Dibner). Ampère's seminal results were announced in a series of memoires read before the Paris Academy of Sciences in September and October 1820. These memoires were first published in the September and October issues of Arago's """"Annales de Chimie et de Physique"""", and in November Ampère had the scarce seperate printing of his findings published under the title """"Mémoires sur I'action mutuelle de deux courans électriques, sur celle qui existe entre un courant électrique et un aimant ou le globe terrestre, et celle de deux aimans I'un sur I'autre"""". It is this publication that is considered """"his first great memoir on electrodynamics"""" (DSB).Sparrow: 8""; Dibner: 62; Honeyman: 83; Barchas 51 (only the periodical-issue); Wheeler 762 (only the periodical-issue).
Paris, Au Bureau de la Jurisprudence Générale 1844-1857, 275x220mm, relié demi-basane, dos à faux-nerfs, titre et ornementations dorés, plats papier marbré, reliure d’époque. Bel exemplaire.
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