Paris Chez Jacques Vincent 1724 in 12 (17x10) 1 volume relié plein veau foncé époque, dos à nerfs orné, caissons dorés, tranches teintées, 11 faux-feuillets non-chiffrés, et 292 pages. Nouvelle édition revue, corrigée et augmentée, avec plusieurs explications sur chaque espece de poësie. Bel exemplaire
Reference : 14383
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FASQUELLE - CHARPENTIER. 1909. In-12. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 328 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
1729 Paris, Jacques Vincent, 1729, in 12 de (26)-292-(4) pp., rel. d'ép. de pl. veau brun moucheté, dos à nerfs orné de fers dorés, pièce de titre de mar. rouge, usures et manques aux coiffes, 2 coins émoussés, cachet d'une bibliothèque de jésuites sur le titre, bon ex.
Paris, Veuve Devaux, Sallior, Renouard ; Versailles, Impr. Jacob, Paris, Veuve Devaux, Sallior, Renouard ; Versailles, Impr. Jacoban XI, 1803 ; in-8, cartonnage bradel demi-percaline verte, non rogné. (Relié vers 1880). XII pp., 339 pp., 3 ff. in-4 repliés de musique gravée.ÉDITION ORIGINALE dédiée à G. Garnier, préfet de Versailles. Antonio Scoppa, est né à Messine en 1762. En 1801, à cause des troubles politiques de Naples, il vint en France et s’installa à Versailles comme professeur de langue italienne. Là, il composa cet ouvrage, son premier traité publié en français. Il est mort à Naples en 1817.Versification, prosodie de la poésie italienne et française, les différentes sortes de composition poétique, leur rapport au chant. Avec des exemples de 3 airs français et italiens, formés sur la même texture et les mêmes accents, les licences poétiques... Conclusion qui résulte de toutes ces études : la langue et la poésie françaises sont aussi propres à la musique que l’italienne. Réfutation des opinions de Rousseau à ce sujet. Les trois exemples de musique gravée son, Une romance de Martini, une Sérénade à 2 voix et un Aria.
Paris, Bibliothèque de l'Echo de la Sorbonne (Imp. Le Clère), [1872] 1 vol. (115 x 180 mm) de [2] ff., 242 pp. et [1] f. Demi-chagrin lie-de-vin, dos à nerfs, titre doré (reliure de l'époque). Edition originale. Titre-frontispice de H. Catenacci, gravé par H. Catenacci, gravé par F. Meaulle.
"Premier art poétique français important depuis ceux de Malherbe et de Boileau" (Berès, Stendhal, Baudelaire et leurs émules, 69). Elle paraît en livraison pendant l'été et l'automne 1871, au moment où Rimbaud arrive à Paris, où il est successivement hébergé chez Verlaine, en septembre, puis chez Banville, en novembre. Ce dernier faisait une constatation alors exacte: « Notre outil, c'est la versification du seizième siècle, perfectionnée par les grands poètes du dix-neuvième, versification dont toute la science se trouve réunie en un seul livre, La Légende des Siècles de Victor Hugo, qui doit être la Bible et l'Évangile de tout versificateur français ». Partant, Banville se fait le défenseur acharné de la rime (« La rime est l'unique harmonie des vers, et elle est tout le vers »), à l'image du pantoum qu'il définit, modèle et théorise, de l'acrostiche, ou de la sextine, qu'il attribue, en tête du chapitre X, De quelques curiosités poétiques, à son dédicataire, le Comte de Gramont : « C'est un de nos poètes les plus savants et les plus délicats, M. le comte de Gramont, qui, d'après la Sextine italienne de Pétrarque, inventa, créa la Sextine française en triomphant d'innombrables et de terribles difficultés ». Déjà Banville, dans son Étude sur Ronsard, avait évoqué « cette sorcellerie grâce à laquelle des idées nous sont nécessairement communiquées d'une manière certaine par des mots qui cependant ne les expriment pas [...] Et ces mots inévitables, avec quelle science il [le Comte de Gramont] les éclaire de façon différente et fait jouer sur eux et à côté d'eux la lumière ! ». Sa première sextine parut dans la Revue parisienne de Balzac, qui se fera critique pour la circonstance et se chargera lui-même d'expliquer aux lecteurs ce qu'est une sextine et « de les édifier sur le goût impeccable et sur la prodigieuse habilité d'ouvrier qu'elle exige du poète » (Anthologie des poètes français). Charles Asselineau ne s'y trompa pas davantage, célèbrant chez Gramont « le don de la précision ryhtmique. Il est le seul des poètes contemporains et peut-être le seul poète français qui ait osé s'attaquer aux difficultés de la sextine [...], cette poésie feuillue, plantureuse, a le parfum généreux de l'air des forêts » (Bibliographie romantique, 1872). Lorsque Rimbaud arrive chez Verlaine à Paris en septembre 1871 la publication du petit traité de Banville s'achevait dans les livraisons de L'Écho de la Sorbonne. Si l'on sait que Rimbaud logera chez Banville en novembre 1871 après avoir été hébergé chez Verlaine puis Charles Cros, il est hautement improbable que Rimbaud et Verlaine aient pu ignorer cette publication. Quoi qu'il en soit le traité paraîtra en volume à la fin de l'année 1871 (et non en 1872 comme il est communément admis).
Lemerre. Non daté. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 336 pages. Plusieurs pages désolidarisées.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Classification Dewey : 841-Poésie