Le grand livre du mois 2003 in 8. 2003. broché.
Reference : 2147509110
Très bon état
Fraguas Margaux
Mme Margaux Fraguas
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66100 Perpignan
France
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MARECHAL SOULT [SOULT, Jean de Dieu, duc de Dalmatie, maréchal de France] - SIEUR LENOBLE, COMMISSAIRE ORDONNATEUR
Reference : 17328
(1806)
1806 une page, format : 23,3 x 36 cm, en-tête pré-imprimée en noir (les mots : Grande Armée 4ème Corps - au Quartier Général - Le - an - LE COMMISSAIRE ORDONNATEUR EN CHEF - A - ), écriture manuscrite à l'encre brune, sur beau papier velin de Hollande, ligné, filigrané "VAN DER LEY" , petite déchirure en haut de la lettre sur 2 cm, mais sans atteinte au texte, signature manuscrite de LENOBLE ( Pierre-Madeleine ) , successivement commissaire -ordonnateur des guerres, et intendant-militaire, Vu par le Maréchal d'Empire commandant en chef le 4ème corps d'armée.. Signature manuscrite du Maréchal d'empire SOULT, Commandant en chef du 4ème Corps d'Armée (Campagne de Prusse) fait à A PASSAU (CAMPAGNE DE PRUSSE) LE 22 JUILLET 1806,
le Texte de La LETTRE est le suivant . :............ Grande Armée 4ème Corps...Au Quartier-Général à Passau (allemagne), le 22 Juillet an 1806 Le Commissaire Ordonnateur en chef Provisoire...Ayant été chargé à Boulogne de la police Générale du Campement et de l'Habillement, comme Commissaire des Guerres, Certifie que lorsqhe le IVème Corps est parti de Boulogne, les Régiments ayant dû rremettre leurs effetsle jour même du départ et les apporter en magasin, il y eût impossibilité de faire la Recette d'aprés les formes prescrites par le Règlement du 12 Brumaire an 12. Son Excellence, Monseigneur le Maréchal Soult, ayant même appris que le départ de la troupe était retardé par l'opiniatreté du Garde-Magasin à exigé une remise régulière, se transporta au magasin et donna l'ordre au commissaire des Guerres de faire exécuter la Remise pour chaque Division, dans une Heure. Il fallut déposer par Régiments les Effets dans la rue et les reconnaitre précipitamment, en présence d'un officier de chaque Corps. Les Conseils d'Administrations ne pouvaient se former pour donner les autorisations exigées par le Réglement. Le Garde-Magasin a sans doute, écrit aux régiments et il n'y a pas de sa faute s'ils ont négligé l'envoi des pièces qu'on réclamait....Le Soussigné croit devoir déclarer que le Sieur Bayart Garde Magasinmérite des éloges pour avoir su conserver les effets au milieu de la précipoitation qu'il fallut mettre dans la Remise des effets de Campement de 40, 000 hommes, il se plait à certifier que pendant les 18/ Mois que le Sieur Bayart a été sous sa Police, il l'a reconnu pour un des meilleurs Employés de l'Armée; aussi, Lorsqu'il a appris que la Réforme des Employés de l'Habillement de la Grande Armée, le laissait sans place, Il Lui a offert une Place de Secrétaire dans ses Bureaux...Signé LENOBLE(commissaire -ordonnateur des guerres, et intendant-militaire).....Vu par le Maréchal d'Empire commandant en chef le 4ème corps d'armée.. Signé SOULT..........................document unique....en bon état (very good condition).
Sans nom 1831. In-8 broché, document imprimé de 114 pages. Bords des 10 dernières pages effrangés sans perte de texte. M. Marrast, Rédcateur en chef de LA TRIBUNE avait écrit, le 9 juillet 1831 : "N'est-il pas vrai que pour ces marchés de fusils et de draps, M. Casimir Perier et M. le Maréchal Soult ont reçu chacun un pot-de-vin qui serait de plus d'un million ? " M. Marrast fût condamné à 6 mois de prison. Bon exemplaire. Rare.
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Paris, Chaumerot jeune [Imprimerie de Brasseur aîné], 1815 in-8, [2] ff. n. ch., 32 pp., cartonnage d'attente Bradel de papier vert, dos orné de filets dorés, pièce de titre noire (reliure de l'époque). Tomaison grattée, coiffes rognées, coins et coupes frottés.
Un des tirages de l'édition originale : il s'agit évidemment d'une justification de la conduite de Soult pendant les Cent-Jours. Cela ne l'empêcha pas d'être compris dans l'ordonnance d'exil du 24 juillet. Figurant en tête du deuxième article, il se retira alors sur sa propriété de Saint-Amans, puis trouva refuge auprès du général Brun de Villeret en Lozère alors qu'est votée le 12 janvier 1816 la loi dite paradoxalement "d'amnistie" qui le contraignit à l'exil. Il resta exilé à Barmen jusqu'en 1819.Davois III, 177. RELIÉ AVEC 3 autres pièces sur l'attitude des maréchaux pendant les Cent-Jours (et une dernière sans rapport aucun) :I. MASSÉNA (André) : Mémoire de M. le maréchal Masséna, duc de Rivoli, prince d'Essling, sur les événemens qui ont eu lieu en Provence, pendant les mois de mars et d'avril 1815 ; suivi de pièces justificatives et d'une carte géographique. Paris, Delaunay [Imprimerie de Fain], 1816, [2] ff. n. ch., 89 pp., avec une carte dépliante. Édition originale, non mise dans le commerce : à la différence de Soult, Masséna était demeuré fidèle aux Bourbons pendant les Cent-Jours, n'acceptant aucun service , et se contentant d'assister à la cérémonie du Champ de mai et de venir siéger à la Chambre des Pairs. Davois II, 215. II. Réponse des Marseillais au Mémoire prétendu justificatif de Mr. le maréchal Masséna. Marseille, Dubié, 1816, titre, 136 pp. Unique édition : le texte émane du parti ultra, évidemment. Davois II, 211 (s.v., avec une erreur de collation).III. Le Maréchal Ney devant les maréchaux de France. Paris, Imprimerie de C.-F. Patris, Chaumerot, 1815, [2] ff. n. ch., 41 pp., avec un portrait-frontispice. Absent de Davois.IV. Précis historique du procès et de la condamnation des Templiers. Paris, Debray, Galand, Aze, Caillot, an XIII (1805), 54 pp. Petit opuscule qui parut pour donner aux spectateurs des notions historiques à l'occasion de la sortie de pièce à succès de François Raynouard, Les Templiers, tragédie, représentée à la Comédie-Française le 24 floréal an XIII [14 mai 1805]. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Hachette, 1955, in-8°, 368 pp, 9 cartes dans le texte, broché, jaquette illustrée, bon état
Edition originale de cette partie des Mémoires de Soult, jamais publiée auparavant. (Tulard, 1354). "Ses soldats le surnommaient « Bras de fer », tant il exigeait d'eux. C'est sans doute cette opiniâtreté qui permit à Jean de Dieu Soult, duc de Dalmatie, d’être celui des maréchaux de Napoléon qui se maintiendra le plus longtemps dans cette infernale guerre d’Espagne et du Portugal. Quatre longues années retracées dans ces Mémoires qui débutent avec la descente de l’Empereur dans la péninsule à l’automne 1808 afin de reprendre Madrid. Jean de Dieu Soult est à ses côtés et balaie une partie des troupes britanniques qui doivent rembarquer à la Corogne. Nommé major général des armées en Espagne, il s’empare ensuite de l’Andalousie où il va régner en proconsul mais sans céder un pouce de terrain aux armées anglo-espagnoles qui l’entourent. Beaucoup de critiques ont été émises contre cet homme ambitieux mais aussi redoutable organisateur, administrateur hors pair et que Napoléon, après son action décisive à Austerlitz avait sacré « le meilleur manoeuvrier d’Europe » : d’avoir voulu, selon certains, se faire sacrer roi de Portugal, de s’être enrichi, de ne pas avoir porté secours à ses camarades comme Masséna, échoué devant les lignes de Torres Vedras qui ont rendu Lisbonne inexpugnable. Mais comme le dira Napoléon, Soult est la seule « tête militaire » de ce conflit lointain. Les Mémoires du maréchal montrent surtout ce que fut cette guerre cruelle durant laquelle naquit le mot devenu universel de « guérilla » : menée sans moyens, au milieu des intrigues, loin de tout et surtout du regard de l’Empereur qui la méprisait, il fallait effectivement être de fer pour ne pas connaître la défaite. Un texte indispensable pour tous ceux qui s’intéressent à l’épopée impériale et à ce terrible conflit, début de sa chute, qui fit plus 100.000 morts côté français."
Toulouse, Imprimerie Gibrac, 1852 in-4, 15 pp., avec un frontispice en chromolithographie représentant les armes du maréchal, et un portrait lithographié en noir, broché sous couverture imprimée défraîchie.
Jean de Dieu Soult mourut en son château de Berg, le 26 novembre 1851. A la suite d'une brève notice biographique, l'opuscule narre les derniers moments du maréchal, ses obsèques et reproduit les discours prononcés sur sa tombe (celui d'Anacharis Combes et celui du colonel Lheureux).Au CCF, exemplaires seulement à la BnF, Toulouse et Albi. Pas dans Davois. Rare. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT