Christine Bonneton 2006 320 pages 15x25x2cm. 2006. Broché. 320 pages.
Reference : 2147491283
ISBN : 2862533599
Très bon état
Fraguas Margaux
Mme Margaux Fraguas
23 rue Armand Izarn
66100 Perpignan
France
06 12 21 42 25
Colissimo France : 7 euros International : Livre et brochure 6 euros
Laffont, 1990 gr. in-8°, 503 pp, nouvelle édition revue et mise à jour, index, broché, couv. illustrée, bon état
"L'auteur a voulu, essentiellement, reconstituer et renouveler, à la lumière des travaux les plus récents, l'histoire totale d'une insularité laquelle a été, le plus souvent, pour les Corses, bien plus un handicap qu'une source de profits. Il nous apporte, dans cette entreprise, une double expérience. Celle de l'universitaire, tout d'abord, dont la connaissance approfondie de la langue, de la littérature et de la civilisation italiennes qu'il enseigne à l'Université de Provence ne peuvent qu'enrichir une histoire de la Corse si longuement reliée à celle de l'Italie ; l'expérience, également, d'un Corse qui poursuit ses recherches sur le passé de son pays avec toute la « sympathie » lucide, au sens de ce terme que l'a défini Henri Marrou, c'est-à-dire en évitant l'hyperbolisme agaçant ou le dénigrement systématique. Ainsi, les chapitres consacrés à Sampiero Corso, à Pascal Paoli, à Napoléon Bonaparte sont absolument dépourvus de toute tendance au culte de la personnalité. De la même manière, les mobiles de la politique française à l'égard de la Corse à l'époque d'Henri II sont expliqués sans déformation, a posteriori, du sens de ces événements. Beaucoup de lieux communs sur la Corse et sur les Corses, sont, par ailleurs, résolument démystifiés. (...) Nous disposons d'un ouvrage qui, à partir d'une documentation considérable et fort bien utilisée, constitue, avec beaucoup de sens historique, de nuance et de précision à la fois, la meilleure synthèse actuellement réalisée sur l'histoire de la Corse et sur ses problèmes présents." (Antoine Olivesi, Annales du Midi)
Nice, Imprimerie de « L’Eclaireur de Nice », 1932, in-8°, 338 pp, un tableau généalogique dépliant in fine, broché, un portrait au 1er plat, trace de scotch au bas du dos, bon état
Ouvrage destiné à démontrer l'origine corse de Colomb. Où il est "assuré" que C. Colomb est né à Calvi en 1441... — "Dans plusieurs ouvrages, on peut trouver d'ingénieuses démonstrations qui tendent à prouver les origines corses de Christophe Colomb. À Calvi, la thèse a eu des adeptes puisque l'on peut y voir sa maison natale. « Ville de Calvi. Ici est né en 1441 Christophe Colomb, immortalisé par la découverte du Nouveau Monde alors que Calvi était sous la domination génoise. Mort à Valladolid le 20 mai 1506 ». Cette affirmation, gravée dans le marbre, a eu pour origine le fait qu'un grand nombre de Calvais ont participé aux premières navigations transatlantiques. À l'époque de la naissance de Cristoforo Colombo, une partie de la Corse était en effet une portion du territoire de la République de Gênes et Calvi était une cité aussi génoise que Savone ou Gênes, mais l'absence d'archives relègue cette supposition dans le domaine certes du possible mais surtout dans celui des souhaits. La maison qui porte cette inscription se trouve dans la rue « del Filo » (il est dit que le père de Colomb était tisserand !), ce qui ajouterait une pierre à l'édifice malgré tout chancelant de l'hypothèse corse défendue, comme le souligne Michel Vergé-Franceschi, par des historiens « plus émotionnellement chauvins que scientifiquement sérieux »." (Michel Chandeigne, Sur la route de Colomb et Magellan : idées reçues sur les Grandes Découvertes, 2011)
Lorient, Imprimerie Al. Catherine, 93 rue du Port, 1902. Plaquette in-8 broché de 50 pages, au format 21,5 x 13,5 cm. Couverture avec titre imprimé et petite vignette illustrée. Dos carré, muet, avec petits frottis et infimes manques. Plats avec bords brunis, infimes frottis aux coins et aux bords. Petite déchirure au coin supérieur gauche et petit manque circulaire au coin inférieur gauche. Pages de garde partiellement collées au verso des couverture. Intérieur frais. Exemplaire non coupé. Livre écrit par Arthur Togab, anagramme de Arthur Bagot qui fut écrivain, poète. Il fut aussi Receveur des douanes, notamment en fonction à Roscoff puis Fos-sur-Mer. Il prit sa retraite à Paimpol et imprimait lui-même ses ouvrages . Rarissime édition originale datée de 1902, non répertoriée à la BNF. La seule que l'on trouve est datée de 1905. Petit tirage.
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Julliard, 1986, gr. in-8°, 245 pp, 26 photos et documents sur 16 pl. hors texte, broché, couv. illustrée, bon état
L'exécution du bandit Spada le 21 juin 1935 dans le vieux quartier de la Citadelle de Bastia marqua sans aucun doute en Corse la fin d'une époque. L'étrange personnalité de ce hors-la-loi qui sema la terreur et mourut sur l'échafaud, illuminé par l'espérance d'une vie éternelle, constitue la charnière entre le banditisme dit « d'honneur et de vengeance » chanté dans les “lamenti” et le gangstérisme « commercial » que les insulaires reniaient. A travers l'émotion vécue des souvenirs personnels de l'auteur et l'authenticité d'une documentation exceptionnelle et inédite, héritée en grande partie de son père dont l'immense talent d'avocat ne suffit pas à sauver la tête du bandit, la vie de Spada s'inscrit dans une chronique saisissante de la Corse... Celle-ci nous est peinte avec la rudesse de ses moeurs, la violence des luttes électorales, la vendetta, l'amour passionné de ce peuple ardent et fier pour les armes, un procès hors du commun succédant à la démesure de la répression policière, la splendeur farouche de sa nature, l'envoutement du maquis qui fut toujours l'auxiliaire tragique de son histoire.
Editions Universitaires, 1982, gr. in-8°, 251 pp, prévace de Fernand Ettori, 26 pp d'annexes, broché, couv. illustrée, bon état. Edition originale
La vie quotidienne à l'Ile Rousse au début du 20e siècle à travers l'enfance de Marie de 1894 à 1918. L'auteur brosse avec minutie le tableau d'une communauté immuable avec ses mœurs et coutumes. Le récit est transcrit par Michèle Castelli d'après les souvenirs racontés par sa grand-mère. — Marie di Lola se souvient... De ses parents, Lola, sa mère paisana, et Joseph, son père pêcheur ; de sa nombreuse fratrie ; des veillées inoubliables à la bougie ; des croyances immuables de son île qui marqueront pour toujours la petite fille ; de la cueillette des olives en plein maquis ; des Ambrosi, les voisins bruyants de l'étage du dessus, mais i vicini sò cucini ; de la pompe à eau, place Paoli, où « un jeune homme ne doit pas pomper trop fréquemment pour la même jeune fille, c'est compromettant » ; de la découverte du continent, Marseille, terre fantasmée par les insulaires... Et tant d'autres rituels et coutumes, de souvenirs saillants et authentiques d'une enfance au tout début du XXe siècle à L'Ile-Rousse, en Corse.