Librairie Nomade, L'Isle-sur-La-Sorgue Broché oblong, couverture ajourée d'une étoile laissant apparaître le monogramme de l'éditeur Pierre-André Benoît à qui est consacré ce catalogue.
Reference : YG20072
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Librairie Oh 7e Ciel
M. Yves Gindrat
Rue de l'Académie 4
1005 Lausanne
Switzerland
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[Pierre André Benoit [PAB]] - René Char / Pierre André Benoit [PAB]
Reference : DMI-1415
(1984)
RARISSIME TIRAGE DE TÊTE DE CE LIVRE DE RENÉ CHAR TIRÉ À TROIS EXEMPLAIRES SEULEMENT AVEC DEUX COLLAGES DE PAB René Char, La Longue Partance, collages de PAB, Alès, PAB, 16 août 1984, 18x10,7 cm, 7 double f., en feuilles, 28 pages, couverture blanche titrée à rabats, papier cristal. Édition originale. Exemplaire provenant de la bibliothèque de Pierre André Benoit à Rivières 16 exemplaires sur Auvergne justifiés et signés par l'éditeur avec un collage de PAB, III exemplaires notés HC avec deux collages, et 13 exemplaires notés HC ou exemplaires nus sans les illustrations réservés à René Char. Celui-ci, extrêmement rare, le n°II/III justifié HC et signé au crayon par PAB avec deux collages de PAB. René Char (1907-1988). Voilà un nom de la bibliographie de PAB qui nécessiterait un ouvrage à part entière tant les deux hommes furent intimes, malgré des relations parfois tendues, leur correspondance abondante (plus de 1000 lettres de Char à PAB conservées à la BN, certainement tout autant de PAB à Char conservées ans une institution américaine), et leurs productions communes nombreuses, — plus d’une centaine —, illustrées par PAB au premier chef, occasionnellement par Char lui-même, mais surtout par Georges Braque, Jean Hugo, Miró et Picasso, — et ceci sans compter tous les exemplaires de textes nus que Char demandait à PAB et qu’il a pu faire enluminer par des artistes de passage chez lui, comme Alexandre Galpérine par exemple, rendant certains exemplaires absolument uniques (nous en présenterons d’ailleurs un dans notre prochain catalogue). "Avec le docile reflet de la silhouette d’un boxeur, sur l’eau, je me suis endormi. Ensuite j’ai oublié l’essentiel des restes de ma vie là-bas, là-bas magnétisant encore. Je n’avais pas emporté la ligne étroite de mon retour. J’avais l’approbation de mes matins et celle d’un ruisseau piétiné. Les prévoyants, les offensés demeurent loin des chicanes du pouvoir. L’avenir aurait une parole pour eux qui les rapprocherait solitairement du soleil et de ses conventions, et plus tard d’un ombre sans anneau. Je me souciais peu de trouver des traces plus anciennes. Bien que l’âge se fût emparé d’elles, les formes les plus fines dessinaient sur la nue des lopins remuants. C’est ainsi que je rencontrai un homme non las, s’étoilant de privations. J’eus grande envie de m’éloigner, mais sans vaciller je courus à ses côtés, vers plus évident ! La vaste mer, il me semble, sans tempête et sans chaleur." Exemplaire fort désirable, en tirage de tête, avec deux collages de PAB et en provenance de sa bibliothèque personnelle. Envoi soigné, assurance comprise, avec remise contre signature.
[Jean Cortot] - Pierre André Benoit / Jean Cortot / Claude Sylvère [PAB]
Reference : DMI-1378
(2004)
Pierre André Benoit, aphorisme gravé par Jean Cortot sur la presse de PAB, à Rivières, en 2004, en compagnie de l'artiste d'Aubarine (Gard) Claude Sylvère et Jean-Paul Martin, petit cousin de PAB et créateur des éditions de Rivières. Épreuve d'artiste justifiée EA et signée par Jean Cortot au crayon sous la gravure avec la mention autographe manuscrite "caviardé / Sylvère". Au dos, l'artiste aubarigène a indiqué au crayon "20x14 / série gravure/macule (sur la presse de PAB / gravure de Jean Cortot / caviardé S / EA / S. / 1933/2033". Il s'agit du seul exemplaire de ce type connu, comme nous l'a confirmé Sylvère. Cet aphorisme de PAB a également paru en édition originale sous la forme d'un livre publié par Rivières, en 2004, que nous proposons sur notre boutique : Deux aphorismes de P.A.B. gravés par Jean Cortot (Rivières — Paris, avril 2004, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 4 double f., 21x14,7cm. VI exemplaires) avec 2 gravures en noir dont celle-ci. Pour les Éditions de Rivières, Jean Cortot a composé trois livres : Deux aphorismes de PAB gravés par ses soins, tirés à seulement six exemplaires, dans la continuité de ses réalisations pour l’exposition Pierre André Benoit / Amitiés cachetées à la maison René Char, en 2004 ; puis deux livres peints sur des textes inédits de PAB, en 2005 et 2007, tirés à seulement huit et douze exemplaires, tous uniques, intitulé Traduire et Mon Secret. Tous sont proposés sur notre boutique. Jean Cortot (1925, Alexandrie - 2018) entre à l’atelier à l’atelier d’Othon Friesz en 1942 et expose pour la première fois en 1943. Il participe dès 1946 au Salon de Mai et obtient en 1948 le prix de la jeune peinture et en 1954 celui d’Union Méditerranéenne pour l’Art Moderne à la Biennale de Menton. De la figuration il évolue dans les années soixante vers l’abstraction puis fait une place importante dans son oeuvre à la calligraphie et à l’écriture. Il excelle dans la composition des livres peints avec ses amis poètes. Pierre André Benoit en a imprimé une dizaine avec lui à partir de 1988, sans compter autant de manuscrits de PAB ornés par Cortot composés à 2 ou 3 exemplaires (cf. Jean Cortot, L’Écriture est un dessin, catalogue de l’exposition organisée par Pierre André Benoit au musée PAB, 1er juillet-11 octobre 1992). Claude Daix, dit Sylvère, est né à Soisy sur Montmorency (95). Formé à l’École Estienne (Arts et Industriels du Livre), à Paris, il travaille d’abord dans le milieu de l’imprimerie, mais aussi comme « spécialiste et technicien du geste » dans un bloc opératoire auprès de chirurgiens du fait de son incroyable dextérité, avant de s’installer dans le Gard, en 1974, et de se consacrer pleinement à l’art pictural. Il vit et travaille toujours à Aubarine — Rochegude, à quelques pas de Rivières de Theyrargues, où il a bien connu Pierre André Benoit, sans jamais pour autant concevoir le moindre livre avec lui. Paradoxalement, il en a réalisé plus de 300 avec Jean-Paul Martin pour les Éditions de Rivières et, à ce titre, est l’artiste contemporain qui a le plus illustré de textes de Pierre André Benoit. Après avoir rencontré Jean-Paul Martin, au Musée PAB, Sylvère l’aide à remonter la presse de son cousin et l’initie à la gravure. La proximité géographique de l’artiste et de l’éditeur va jouer un rôle prépondérant dans la riche collaboration entre les deux hommes. De toute rareté, aucun exemplaire n'ayant circulé.
[Pierre André Benoit PAB] - Marc Alyn / Claude Argelier / Pierre André Benoit PAB
Reference : DMI-1212
(1969)
Marc Alyn / Claude Argelier présentent P. A. Benoit / Peintre — Poète — Imprimeur, Centre Culturel Français / Ljubljana (Yougoslavie), 1969. Texte de Marc Alyn. Reproduction d'un collage de PAB. Brochure composée de 2 doubles feuillets volants, 4 pages. Dimensions : 23x17,5cm. Exemplaire unique signé à la mine de plomb par PAB et Marc Alyn, enrichi de deux magnifiques collages originaux, en couleurs, signés au crayon par PAB, dont un de la série "La Nuit" présentée lors de l'exposition, en plus de la gravure signée des tirages de tête. Il a été tiré de ce catalogue orné d'une gravure originale dix exemplaires sur Auvergne à la forme, numérotés de 1 à 10 et trois, marqués A, B, C, réservés aux collaborateurs + quarante exemplaires sur Vélin d'Arches, numérotés de 11 à 50. Exemplaire n°28 sur Vélin d'Arches. Cette exposition a été organisée par l’Association Culturelle Actuelles Formes et Langages dirigée par Marc Alyn et Claude Argelier à Uzès dans le Gard pour le Centre Culturel Français de Ljubljana (Yougoslavie) en mars 1969. Elle a réuni 22 peintures, 18 collages, des gouaches et documents, une trentaine de livres réalisés par PAB avec Picabia, Survage, Braque, Bryen, Jean Hugo, Picasso, Villon, Mirò, Bertini, Carrade, Vieira Da Silva, Dubuffet, P. -A. Gette, Hérold, Ubac, Brigitte Simon ; un choix due gravures de Arp, Braque, Dubuffet, Jean Hugo, Masson, Mirò, PAB, Picasso, Ubac, Vieira Da Silva ; ainsi que quelques livres illustrés par PAB. « Comment ne pas songer, présentant l’oeuvre multiple de Pierre André Benoit, à ces érudits de la Renaissance tout à la fois peintres, poète et éditeurs qui, dans leurs imprimeries de Florence ou de Lyon, dosaient l’encre et l’esprit afin de donner forme à quelque fabuleux bestiaire ? Comme eux, PAB est un créateur complet capable de concevoir, d’écrire, d’illustrer et d’imprimer ses livres, et c’est sans doute ce qui explique l’indicible harmonie - et la rareté bibliophilique - de ses publications. » Marc Alyn Superbe exemplaire, unique, très désirable, enrichi de deux magnifiques collages originaux. * ** Poète, imprimeur, éditeur, collectionneur, Pierre André Benoit dit PAB (1921-1993), natif d'Alès, connut un destin éditorial hors norme. En 1986, il fit don de sa collection d'œuvres d’art à sa ville natale, Alès, et de ses collections littéraires à la Bibliothèque nationale de France (réserve des livres rares et précieux). Peintures, gouaches, dessins, estampes, sculptures, livres d'artistes : près de 425 ouvrages. Le château de Rochebelle fut acquis par la ville d’Alès pour y accueillir en 1989 le Musée-bibliothèque Pierre-André Benoit, soit des peintures, gravures et sculptures d'Alechinsky, Arp, Braque, Bryen, Hugo, Mirò, Picabia, Picasso, Survage, Vieira Da Silva, etc., des livres illustrés par ces artistes avec des textes de Breton, Char, Dubuffet, etc.
[Pierre Alechinsky] - Pierre Alechinsky / Pierre André Benoit [PAB]
Reference : DMI-1420
(1993)
Pierre Alechinsky & Pierre André Benoit, Un nouveau soleil s’est levé, Rivières-Alès, janvier 1993, placard poétique et dessiné, 22,5x32cm. Dessin insolé sur plaque offset, tiré en couleurs et signé par PAB et Alechinsky. 50 épreuves sur Rives, X épreuves d’artistes et 10 épreuves HC (sur la plaque, de la main de PA). 1 des 10 épreuves hors commerce justifiée 3/10 et signée par les deux. Épreuve rarissime, aucun exemplaire n’ayant réellement circulé suite à la mort de PAB survenue le même mois, après à une opération, à Montpellier. Très porté sur les questions de prédictions, de tarot et d’astrologie, PAB racontait souvent, et ce depuis plusieurs années, qu’il était persuadé que sa vie prendrait fin un 20 janvier. Comme le raconte Antoine Coron, quand « il passait cette échéance, [il] jugeait qu’il lui restait au moins un an à vivre ». Le 20 janvier 1993, l’obsession numérologique de PAB pour cette date fatidique trouva quelque part satisfaction dans la mort si souvent souhaitée. Ce placard poétique est l’ultime collaboration entre Alechinsky et lui, dans la foulée de la réalisation d’Un levant au couchant, verres peints isolés sur papier photo reprenant des détails du vitrail pour le Musée PAB … en guise de conclusion à son incroyable vie d’artiste et d’éditeur : « Cheval assis pensant à la chaise vide qui prend l’air attirant l’arbre est ici l’échelle symbolique et l’encrier fumant indiquent le moment où coïncident dans l’écrit montantes et descendantes les pulsions de la vie et celles de la mort quand s’endort le couchant » Pierre Alechinsky (1927-) est l’artiste incontournable des dix dernières années de la vie de PAB. Leur collaboration commence pourtant dès 1967 avec L’Espace d’un doute de Jean-Jacques Lévêque. Les deux hommes ne se rencontrent cependant qu’en 1974 pour la réalisation du livre Entre le pouce et l’index, suivi d’une dizaine d’années sans aucune publication commune. Le 20 juillet 1986, Alechinsky se rend pour la première fois chez PAB à Rivières. Il en découle un livret de photographies in situ Alechinsky ici accompagné d’un magnifique texte de PAB sur la présence de l’artiste belge en ses murs : Il faisait beau. La maison fraîche. Une apparition. Une démonstration du bout des doigts. Le pinceau chinois file dès qu’il est en route. Il suffit d’attraper le bout d’un écheveau lentement enroulé on ne sait quand pour qu’il se dévide machinalement vite et dessine ce qu’il veut. Son trait mince ou gros est fait pour les danses les plus extravagantes. Il nécessite aussi de la Chine l’encre la sagesse et un rien dans l’œil de bridé pour le débrider tout à fait. Ce fut très court il y a toujours ces trajets pour traverser la forêt des impératifs les moins impérieux qui rendent captifs et empêchent de faire plus de ce que l’on croit insignifiant et qui bizarrement survit le mieux. Ici quel lieu où si peu l’on vit où si peu on reste préservé par les ronces et le froid. Au final, la bibliographie commune compte vingt-deux productions dont plus de la moitié entre 1990 et 1992. De toutes les techniques employées par les deux acolytes, nous en présentons quatre dans notre catalogue : gravure sur celluloïd pour Sommeil, gravure sur lamelle d'or pour Hors du monde, photocomposition pour Tête de Clou et enfin dessin insolé sur plaque offset pour ce rarissime placard poétique. Tirage des plus rarissimes de ce placard poétique scellant l'ultime collaboration artistique entre Pierre André Benoit et Pierre Alechinsky, quelques jours avant la mort du poète et éditeur alésien. Envoi des plus soignés, assurance comprise, remise contre signature.
CERTAINEMENT L’UN DES PLUS BEAUX LIVRES JAMAIS RÉALISÉ PAR PAB DANS LE RARE TIRAGE DE TÊTE SUR JAPON NACRÉ André Breton, Le la, lithographie signée de Jean Benoît, PAB, printemps 1961, 13x13 cm, 8 double f., en feuilles, 32 p. + couverture noire illustrée à rabats, papier cristal. Édition originale. Rarissime en tirage de tête avec la lithographie signée à l'encre noire en double état. Il a été tiré 10 exemplaires sur Japon nacré avec le hors-texte en deux états + 50 exemplaires sur Arches justifiés et signes par l'éditeur. Celui-ci l’exemplaire de tête III/X signé et justifié par PAB au colophon à l’encre noire, sur papier japon nacré, avec le hors texte en deux états avec la signature autographe manuscrite de Jean Benoît à l’encre noire : 1 état sur Japon nacré et 1 état sur Arches. La fameuse couverture en noir conçue par l’artiste surréaliste Jean Benoit (1922-2010) est pour Antoine Coron, spécialiste de l’oeuvre de PAB, "la plus belle" jamais réalisée pour un livre de PAB. Il s’agit du deuxième livre et dernier livre d’André Breton aux éditions PAB, après la publication de Adieu ne plaise, texte lu au cimetière Montmartre par André Breton à l'enterrement de Francis Picabia (1879-1953, sous forme de plaquette, avec une photo déchirée de Jean Arp réservée aux 9 exemplaires de tête, en 1954. Cette année-là, Breton collabore également aux revues Le Peignoir de bain et Au jour le jour de PAB. Enfin, en 1956, ce dernier lui dédie la petite plaquette Tout est signe : "Pour André Breton. Cette feuille encore verte cette porte entr’ouverte et ce caillou là si rond ce qu’écrit André Breton ou ce que fait PAB ce qui crie entre les lignes je vous le dis tout est signe." "Il y aura toujours une pelle au vent dans les sables du rêve". Reprenant quelques phrases marquantes, de celles dont il disait déjà en 1924 qu'elles "frappaient à la fenêtre", André Breton donne avec Le la une sorte d'anthologie des maximes étranges qui apparaissent au cours d'un rêve ou au réveil. Le recueil est conçu à la façon d'un bel objet dont l'enjeu était pour l’auteur de mettre en valeur et souligner la force singulière de chacune des phrases. "La "dictée de la pensée" (ou d'autre chose ?) à quoi le surréalisme a voulu originellement se soumettre et s'en remettre à travers l'écriture dite "automatique", j'ai dit à combien d'aléas dans la vie de veille son écoute (active-passive) était exposée. D'un immense prix, par suite, m'ont toujours été ces phrases ou tronçons de phrases, bribes de monologue ou de dialogue extraits du sommeil et retenus sans erreur possible tant leur articulation et leur intonation demeurent nettes au réveil — réveil qu'ils semblent produire car on dirait qu'ils viennent tout juste d'être proférés. Pour sibyllins qu'ils soient, chaque fois que je l'ai pu je les ai recueillis avec tous les égards dûs aux pierres précieuses. Il fut un temps où je les enchâssais tout bruts au départ d'un texte ("le Message automatique" et quelques autres). Je m'imposais par là d'"enchaîner" sur eux, fût-ce dans un tout autre registre, à charge d'obtenir que ce qui allait suivre tint finalement auprès d'eux et participât de leur très haut degré d'effervescence. D'une de ces phrases à allure de sentence particulièrement belle: "Il y aura toujours une pelle au vent dans les sables du rêve", en 1943 j'ai fait la trame d'un long poème: "les Etats généraux", qui est sans doute celui auquel je tiens le plus. Même si, à beaucoup près, "la bouche d'ombre" ne m'a pas parlé avec la même générosité qu'à Hugo et s'est même contentée de propos décousus, l'essentiel est qu'elle ait bien voulu me souffler parfois quelques mots qui me demeurent la pierre de touche, dont je m'assure qu'ils ne s'adressaient qu'à moi seul (tant j'y reconnais, mais toute limpide et portée à la puissance incantatoire, ma propre voix) et que, si décourageants qu'ils soient pour l'interprétation au pied de la lettre, sur le plan émotif ils étaient faits pour me donner le la. Décembre 1960." André Breton L'exemplaire le plus désirable qui soit, sur un magnifique papier japon nacré, avec l'illustration de Jean Benoit en deux états sur deux papiers différents, signés au crayon noir. Envoi soigné, assurance comprise, avec remise contre signature.