Roth & Sauter, Lausanne entre 1945 et 1961. De divers format et maquettes, avec la formidable variété et inventivité des couturiers de la vigne et du vin.
Reference : YG20037
Ceux des deux extrémités horizontales sont disponibles isolément, celui à droite en couleur imprimé à l'occasion des 35 ans de mariage de Carl et Hélène Sauter chez le maître rôtisseur Pierre Pelot à Chardonne. > En cas de problème de commande, veuillez nous contacter par notre page d'accueil / If you have any problems with your order please contact us via our homepage <
Librairie Oh 7e Ciel
M. Yves Gindrat
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Cartonnage bleu marine. Dos textile muet. Premier plat avec la mention Album Petiot, collection E, Paris.
Sans mention d'éditeur Sans date. (1925) Petit in-folio. Cartonné. Bel état. 1 volume. Album de présentation de cartes de menus, de carnets de bals et cartes de fantaisie avec de nombreuses illustrations au pochoir dans le style Art-déco, très proche du style de George Barbier. Un rare exemplaire de livres d'échantillons appartenant à l'imprimeur-éditeur Petiot, imprimerie spécialisée dans les menus. Il contient près de 45 modèles de superbes menus gaufrés, imprimés en or, en argent ou en couleurs avec une typographie et des ornements dans l'esprit des années 1920. La référence du stock apparaît sur le coin des cartes.
Précieux exemplaire de cet ouvrage de gastronomie très recherché, bien complet de toutes ses planches, conservé dans son élégante reliure en basane racinée de l’époque. Paris, Capelle et Renand, 1808.In-8 de 356 pp., 17 planches. Relié à l’époque comme la plupart des exemplaires sans la seconde table. Basane racinée, dos lisse orné d’urnes dorées, pièce de titre de maroquin vieux rose. Reliure de l’époque. 194 x 125 mm.
« Edition originale très recherchée ». (Gérard Oberlé, Les Fastes de Bacchus et de Comus, 135).Vicaire 427 ; Simon 805 ; Bitting 203.« Laissons la parole à Ned Rival qui, dans son beau livre sur La Reynière, dit : ‘C'est à notre avis le meilleur ouvrage du gastronome. Moins tributaire de l'actualité que les Almanachs, écrit dans le calme, ce livre s'ouvre par un survol de l'histoire de la table depuis les Anciens jusqu'au premier Empire. L'essentiel est dit avec brio en quelques pages qui aboutissent à cette conclusion : les fortunes ayant changé de mains avec la Révolution, il faut réapprendre aux nouveaux amphitryons et à leurs convives le grand art du savoir- vivre : " tel homme qui de laquais d'un agent de change, ou d'agioteur est devenu en peu d'années millionnaire, se trouve incapable de gouverner comme il faut sa cuisine et sa cave. Il ne suffit pas d'avoir passé sa vie à rincer des verres pour être connaisseur ".L'impertinence du ton ne rebuta pas les lecteurs, aucun ne s'estimant concerné.Le livre se compose de trois parties. La première est un traité de la dissection des viandes. Savoir découper est en effet une connaissance essentielle : "On peut comparer un amphitryon qui ne sait pas découper au possesseur d'une belle bibliothèque qui ne saurait pas lire." Les brèves descriptions des différentes pièces qui peuvent se présenter sous le couteau du maître de maison, du bœuf à l'outarde en passant par la bécasse, sont accompagnées de planches gravées en taille-douce, reproductions des illustrations du célèbre Art de trancher la viande publié par Pierre Petit, sous Louis XIII.La deuxième partie du volume, à laquelle le restaurateur Alexis Balaine apporta son concours, est une nomenclature de menus saisonniers pour 15, 25 et 60 couverts... Les éléments de politesse gourmande qui concluent le volume forment un code de civilité dont certains de nos contemporains pourraient encore tirer profit. » (G. Oberlé).« Grimod reprend ici bien des éléments de l'Almanach et du Journal des gourmands. Il souhaite rappeler à une classe de nouveaux riches, issue de la Révolution, les principes de civilité d'autrefois et l'art subtil du découpage appris dès le jeune âge. Celui-ci prend le premier pas, expliqué pour chaque animal et agrémenté de conseils de cuisson et d'indications de fournisseurs. Cet art permet d'être reçu partout.L'amphitryon doit savoir choisir son menu. Avec l’aide du restaurateur Balaine, Grimod décrit et commente des menus de dîners de vingt-cinq, quarante et soixante couverts pour chaque saison, le tout accompagné d’anecdotes et d’adresses utiles. La troisième partie insiste sur le rôle de l'amphitryon, mais un petit chapitre à l'usage de l'invité semble sorti du Traité d'Antoine de Courtin. Pour se conformer aux usages nouveaux, Grimod décrit la manière de servir le café et les liqueurs après le repas, de recevoir ses convives au salon, de les mettre à l'aise entre eux pour favoriser la conversation. Il n'oublie pas le coût des réceptions et les principes d'économie. La table alphabétique et « raisonnée » traduit le foisonnement d'informations diverses et parfois inattendues de ce livre bien construit, au ton souvent impertinent. ».L’illustration se compose de 17 planches hors-texte du plus haut intérêt quant à la dissection des viandes et des poissons.Précieux exemplaire de cet ouvrage de gastronomie très recherché, bien complet de toutes ses planches, conservé dans son élégante reliure en basane racinée de l’époque.
Édition originale du premier traité de gastronomie de Menon, «Ses écrits sont sans conteste ceux que l’on consulte le plus souvent». Paris, 1739. A Paris, chez Paulus-Du-Mesnil, 1739. 2 volumes in-12 de: I/ (1) f. bl., viii pp., (2) ff. de table, 456 pp., (12) ff.,8 pl. dépliantes; II/ (18) ff. 386 pp., (1) f. bl. Reliés en plein veau brun marbré, dos à nerfs richement ornés, coupes décorées, tranches rouges. Mouillures dans les marges de certains ff. du second volume sans atteinte au texte. Reliure de l’époque. 165 x 95 mm.
Édition originale rarissime du premier traité de gastronomie de Menon. Vicaire, 588. Ce traité a paru anonyme, mais le nom de son auteur, Menon, se trouve au privilège placé à la fin de tome premier: Ce privilège, Menon l’a cédé, le 26 août 1738, à la dame veuve Prudhomme qui l’a elle-même cédé à Michel-Etienne David et à Pauls du Mesnil. Les huit planches qui se trouvent toutes dans la première partie du tome I représentent des tables dressées pour 24, 16, 50, 30, 14, 18, 20, et 80 couverts. «Aucun auteur culinaire n’a obtenu plus de réédition de ses œuvres. Ses écrits sont sans conteste ceux que l’on consulte le plus souvent». (Michaud) On ne sait rien sur la vie de ce cuisinier. «Marin avait créé une cuisine raffinée, destinée aux soupers galants, aux réceptions royales, dit Cécile Eluard. Menon va donner un livre de recettes pratiques, faciles à exécuter, et poursuivre l’effort de simplification amorcé par Nicolas de Bonnefons au XVIIe siècle. C’est ce qui fit son succès». Il est également l’auteur de deux traités pour les praticiens et d’un important recueil, Les Soupers de la Cour, qui doivent beaucoup au cuisinier Marin, même si Menon ne l’avoue pas. Guégan trouve la cuisine de Menon banale, il y a même relevé quelques recettes franchement mauvaises comme celle des macaronis qu’il faut cuire dans du bouillon gras pendant des heures, jusqu’à ce qu’il épaississe et qu’il ne reste plus de liquide! En revanche, il s’extasie sur ses recettes de pâtisseries qui sont parmi les plus remarquables du XVIIIe siècle. Menon expose son but dans la préface: «Les Maîtres-d’Hôtel trouveront dans le commencement du premier Volume des Menus pour tous les mois de l’année; ils apprendront les ragoûts qui sont de saison, & ce qu’ils doivent ordonner; ils trouveront dans ce Traité, par le moyen de la table alphabétique, tous les ragoûts qu’ils souhaiteront, la façon de les faire, & les fournitures qu’ils doivent donner au Cuisinier». Bel exemplaire conservé dans sa reliure décorée en veau de l’époque. Nos recherches ne nous ont permis d’en localiser que 3 exemplaires dans les Institutions publiques françaises: Grenoble, Aix-en-Provence et Toulouse.
BYBLOS. NON DATE. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 160 pages. Manque en pied sur les 10 premiers pages sans conséquence sur la lecture.. . . . Classification Dewey : 641.5-Cuisine, art culinaire
MENUS EXPRESS. MENUS ECONOMIQUES. MENUS COPAINS. MENUS DE RECEPTION. MENUS FAMILIAUX. ETC Classification Dewey : 641.5-Cuisine, art culinaire
Paris 1910 37
24 menus illustrés en couleurs Grand Marnier, Devambez, in-8 ; 2 menus illustrés en couleurs, Rosset & Cie, Grands Vins de Champagne, Epernay. In-8 ; 3 menus illustrés de CAMIS en noir, Moët & chandon, Champagne, Maison fondée en 1743, in-8 ; 2 menus illustrés, GRATIEN & MEYER,, Saumur, Grands Vins Fins Mousseux, Château de Beaulieu, in-8 et in-12 ; 3 menus illustrés de JAN, CHERRY ROCHER, Grande Liqueur, imp. Waton, in-12 ; 2 menus GRANDE CHARTREUSE, St Etienne, imprimerie Bruyère, 1938, in-12 ; 1 menu illustré, RASPAIL, Excellente Liqueur de Dessert, in-12. Légères piqures et mouillures.